Il ne faut plus serrer les mollets ni les genoux, laisser les talons peser dans les étriers, et sentir son bassin s'ancrer dans le creux de la selle. Comment bien s'asseoir dans la selle ? Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est qu'il faut tenir avec les fesses, et non pas avec les mains (via les rênes) ou les jambes.
La position neutre est une position dans laquelle le cavalier est en équilibre sur ses étriers, hanches fléchies, avec les épaules légèrement en avant. Aussi appelée position « 2 points » ou « en suspension », elle allège le poids sur le dos du cheval, lui permettant de sauter plus facilement et en douceur.
Quand le cheval est au galop, essayez de vous redresser au maximum en mettant vos épaules en arrière. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur le pommeau avec l'une de votre main. Cette position légèrement en arrière signifie au cheval qu'il doit ralentir ou s'arrêter.
Un cheval qui se gratte sur vous est à proscrire même si cela vous fait plaisir. C'est vous et vous seul, qui devez venir lui gratter la tête et non l'inverse. De même qu'un cheval, n'est pas brut de nature c'est notre comportement envers lui (conscient ou inconscient) qui l'incite à être brut envers nous.
Lorsque l'on tombe, c'est comme la voiture qui roule. Si vous tomber à plat, alors votre voiture s'est arrêtée d'un coup. Si vous voulez ralentir, mettez-vous en boule pour rouler. Ensuite, naturellement votre corps va ralentir.
Avant de demander un départ au galop, il est impératif de trouver le bon trot, afin que la transition se fasse dans le confort. Installez vous sur un grand cercle, votre cheval doit être en équilibre, cadencé, et serein. Il ne doit pas anticiper. Si besoin ralentissez un peu avant de partir au galop.
Comment se placer pour mener en main
On place sa main gauche sur les rênes, à environ 40 centimètres de la bouche du cheval. On tient fermement, mais sans tirer ou bloquer le cheval. Il doit simplement comprendre que vous tenez les rênes et que vous dirigez. En serrant trop fort vous risqueriez de lui faire mal.
Au Moyen-Âge, les chevaliers, majoritairement droitiers, portaient leur épée sur le côté gauche, afin de pouvoir la saisir rapidement en cas de besoin. Ils se mettaient donc en selle, montant par le côté gauche du cheval, pour ne pas être gênés. Cette tradition aurait traversé les siècles et perduré jusqu'à nos jours.
Galop 5. Le cavalier doit savoir organiser le transport de l'animal dans un van ou un camion. A cheval, il doit être capable de prendre le galop avec précision, et d'enchaîner des parcours de dressage et de saut. Enfin, il doit être capable d'aller en extérieur et de maîtriser les 3 allures sur tous les terrains.
Commencez déjà par essayer de vous mettre debout au pas, puis au galop, et ensuite seulement au trot, car c'est à cette allure qu'il est le plus difficile de tenir debout. Techniquement, procédez toujours de la même manière : partez de la position à califourchon, puis mettez-vous à genou, et enfin debout.
Des genoux serrés
Pour éviter de serrer les genoux, il faut revoir déjà la position sur le plat. Ouvrir l'articulation coxo-fémorale (la hanche) et décontracter les muscles adducteurs de la hanche, qui sinon viennent plaquer les cuisses, et les genoux contre la selles.
Pour réussir son Galop® 3, il faut passer plusieurs tests. Des tests de pratique (Saut d'obstacle - dressage ..) et un test théorique. Lors du test de dressage du Galop® 3 il faut savoir trotter sur le bon diagonal, partir au galop sur le bon pied.
Pour débuter cet exercice, prenez le galop avec votre cheval sur le petit côté et commencez un début de diagonale en sortant du coin. Avant X, vous réalisez une transition au trot avec un changement de direction à la lettre X, puis vous redemandez le galop en revenant sur la piste.
Pour obtenir l'action, vous devez fermes vos mains sur les rênes et les monter légèrement. Vous pouvez également reculer un peu vos épaules pour accentuer l'action. Dès que l'animal ralentit, cédez. Ouvrez vos doigts, baissez vos mains, décontractez vos jambes.
Pensez-vous que c'est un signe d'affection ? Léa Lansade: Des études scientifiques ont montré que ce comportement de léchage reflète le tempérament des chevaux : certains ont une prédisposition naturelle à être très proches de l'homme, à le lécher ou le mordiller, tandis que d'autres restent toujours très éloignés.
A l'arrêt, prenez une rêne et tirez la tête du cheval vers votre étrier. Faites ce geste des dizaines de fois de chaque côté jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de résistance. Si le cheval tourne, attendez qu'il s'arrête puis relâchez. Faites ensuite la même chose pour arrêter votre cheval au pas, puis au trot.
Vous devez toujours rester calme, une petite tape et un « non » ferme suffiront. Vous ne devez pas laisser votre cheval prendre le dessus sur vous de cette façon. De même, s'il menace de frapper, donnez-lui une tape sur la croupe, toujours avec un « non » ferme.
En équitation, les blessures les plus fréquentes sont principalement dues aux chutes et à la manipulation du cheval . Les commotions cérébrales, les entorses, les fractures ou encore les morsures sont autant de blessures qui peuvent survenir lors de cette activité.
Les personnes pratiquant l'équitation s'exposent à un risque de chute et de blessure, notamment à la poitrine, aux bras et aux jambes. Reposant sur les données de plus de 20 000 cavaliers, l'étude montre en outre que les dommages cérébraux ne sont pas rares chez les cavaliers.