La contamination par le HPV est dans la majorité des cas asymptomatique. Le temps qui s'écoule entre la contagion et l'apparition des symptômes peut varier de plusieurs semaines à plusieurs années. Il existe différents symptômes en fonction des différentes souches du papillomavirus.
Comment savoir si j'ai un papillomavirus (HPV) à risque ? Le papillomavirus à risque étant asymptomatique, la seule façon de dépister précocement les lésions induites est de faire faire régulièrement, chez son gynécologue ou médecin traitant, un prélèvement cervico-utérin appelé "frottis".
PÉRIODE D'INCUBATION: Imprécise, car elle peut varier entre un mois et plusieurs années, mais sa durée est habituellement de 3 semaines à 8 mois, et la plupart des verrues apparaissent de 2 à 3 mois après l'infection(9); cependant, la plupart des cas d'infections ne présenteront aucun symptôme(8).
"Oui le papillomavirus peut se transmettre lors des rapports. Le papillomavirus est très contagieux. Donc si une femme a toujours son papillomavirus, il faut se protéger lors des rapports. Et le seul moyen de se protéger est de mettre un préservatif pour qu'il n'y ait pas de contact directement de peau à peau.
La transmission peut avoir lieu par voie cutanée (caresses), par des supports souillés (linge de toilette), mais aussi lors du contact entre une muqueuse infectée et une muqueuse saine (rapport sexuel vaginal, oral ou anal). Le virus est absent du sperme, de la salive ou du sang.
Sans que ce soit lié à une nouvelle infection, le papillomavirus humain (HPV) peut se réactiver chez les femmes après la ménopause suite à une infection acquise des années auparavant, et ces infections peuvent rester ainsi, à l'état latent jusqu'à durant 2 ans, en dessous des limites de détection, un peu comme le virus ...
Les HPV à haut risque cancérogène qu'on appelle aussi oncogènes (HPV 16, 18, 31, 33, 45, 52, 58 et en particulier les HPV 16 et 18). Ils peuvent provoquer le développement de lésions précancéreuses qui peuvent évoluer au bout de plusieurs années voir dizaines d'années en cancers.
Pour s'en prémunir, il existe un vaccin : le Gardasil. Lorsqu'il est inoculé à une jeune femme par exemple, une barrière d'anticorps vient tapisser les muqueuses génitales. Lorsque les souches du virus 16, 18, 6 et 11 arrivent au niveau des muqueuses, cette barrière protectrice les empêche d'entrer dans les cellules.
Il existe des facteurs qui contribuent à la persistance de l'infection HPV notamment le tabac, les partenaires multiples, une faible défense immunitaires, une infection par d'autres maladies sexuellement transmissibles. Dans plus de 80 % le virus disparaît par les défenses de l'organisme et n'entraine aucune séquelle.
Vivre avec le VPH
Les verrues génitales peuvent être traitées à l'aide de médicaments en crème ou éliminées en les gelant (cryothérapie), en les brûlant (électrothérapie) ou en effectuant une intervention chirurgicale.
Est-il possible d'avoir un frottis normal et un test HPV positif ? Oui, en fonction de l'âge de la patiente, il est dans ce cas recommandé de répéter le test HPV. La persistance de cette infection au-delà de 12 mois impose de réaliser des investigations complémentaires (colposcopie, biopsie..).
une perte de poids, de la fatigue, une perte d'appétit ; des pertes vaginales malodorantes et une gêne au niveau du vagin ; et. un œdème sur une jambe ou les deux.
Histoire naturelle. Une infection à HPV se résorbe spontanément dans plus de 80 % des cas, y compris en l'absence de traitement (phénomène appelé « clairance virale »). Environ 70 % des infections se résorbent spontanément un an après l'infection par le HPV et 90 % deux ans après l'infection.
Ainsi, un test HPV positif signifie juste qu'on a mis en évidence la présence d'une infection à HPV à haut risque sans savoir s'il s'agit d'une infection récente, qui va guérir naturellement et sans conséquence ou s'il s'agit d'une infection persistante, éventuellement associée à une lésion du col utérin, voire à un ...
Des douleurs pelviennes peuvent être l'un des symptômes d'alerte d'un cancer du col de l'utérus. "Malheureusement le plus souvent, quand la femme a mal au niveau de la région pelvienne (partie basse du ventre), on est sur un cancer qui est déjà bien avancé", prévient le Pr Carcopino.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.
Un état pré-cancéreux est la forme que prend un tissu, organe ou partie d'organe, où est susceptible de se développer un cancer propre à ce tissu ou cet organe. Il peut se reconnaître par une lésion, dite précancéreuse.
Contrairement à d'autres infections ou maladies sexuellement transmissibles, le Papillomavirus n'est pas présent dans la salive, le sang ou le sperme.
Cet examen dure environ 10 minutes. Bien qu'il puisse provoquer un léger saignement, il n'est pas douloureux car la prise est très superficielle et ne nécessite pas d'anesthésie.
Des chercheurs du Health Science Center de l'Université du Texas à Houston (Etats-Unis) révèlent qu'un extrait du champignon japonais Shiitake (Lentinula Edodes) serait efficace dans le traitement du Papillomavirus humain (HPV), la cause principale du cancer du col de l'utérus.
Lorsqu'il est diagnostiqué à un stade précoce (stade I et stade II) – ce qui représente heureusement la plupart des cas – ses chances de guérison oscillent entre 70 % et 90 %.
Histoire naturelle. Une infection à HPV se résorbe spontanément dans plus de 80 % des cas, y compris en l'absence de traitement (phénomène appelé « clairance virale »). Environ 70 % des infections se résorbent spontanément un an après l'infection par le HPV et 90 % deux ans après l'infection.
D'autres produits sont parfois employés : l'imiquimod, l'acide trichloroacétique, la cimétidine et le 5-fluoro-uracile ou 5-FU (souvent utilisé pour les verrues génitales).
Risques de l'intervention
Le principal risque est hémorragique. Il peut survenir soit immédiatement lors de la conisation et nécessiter la mise en place de points hémostatiques ou d'une mèche vaginale. Le risque hémorragique peut également survenir quelques jours après l'intervention, après le retour à domicile.
Les papillomavirus humains (HPV) de type 16 et 18 sont responsables de 70% des cancers du col de l'utérus. La contamination se fait le plus souvent dans les premières années de la vie sexuelle et environ 80 % des femmes sont exposées à ces virus au cours de leur vie.