Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
On peut déterminer si une liaison est covalente polaire ou covalente non polaire en calculant l'électronégativité. L'électronégativité est une mesure de la force d'attraction pour attirer les électrons dans une liaison chimique. Chaque élément possède une électronégativité spécifique.
Lorsque la différence d'électronégativité entre deux éléments est supérieure à 1,8, la liaison entre ces deux éléments est généralement ionique. Lorsque la différence d'électronégativité est inférieure à 1,8, la liaison a plutôt tendance à être covalente.
Il existe en chimie trois types de liaison : la liaison covalente, qui résulte de la mise en commun d'électrons entre deux atomes, la liaison ionique où les électrons d'un ion sont transférés à un atome voisin, et la liaison intermoléculaire ou Van der Waals (à laquelle appartiennent les liaisons hydrogène), qui sont ...
Si deux atomes partagent une seule liaison covalente, on parle de simple liaison. Si deux atomes partagent deux liaisons covalentes, on parle de double liaison, s'ils partagent trois liaisons covalentes, on parle de triple liaison. Les liaisons doubles sont plus stables et fortes que les liaisons simples.
Nombre d'électrons sur la couche de valence
Afin de déterminer le nombre de liaisons que va former l'atome, il faut déterminer le nombre d'électrons qu'il y a sur la couche de valence (la plus externe). En effet, deux atomes se lient entre eux en mettant en commun les électrons de leurs couches de valence.
Ce sont des hydrocarbures (substances formées uniquement de carbone et d'hydrogène) acycliques (chaîne carbonée ouverte), possédant une double liaison carbone-carbone (C=C). Leur formule générale est CnH2n. Ils sont rares à l'état naturel.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.
Liaison ester : qu'est-ce que c'est ? Liaison entre un groupe alcool (-OH) et un groupe acide carboxylique (-COOH), formée par élimination d'une molécule d'eau (H2O).
Exemple : l'atome d'oxygène
Pour compléter sa couche de valence il engage deux de ses six électrons dans deux liaisons covalentes, il reste donc 6-2 = 4 électrons qui se regroupent par deux pour former 4/2 = 2 doublets non liants.
Une molécule est polaire si elle possède des liaisons polarisées et si les positions moyennes des charges électriques partielles positives et négatives ne sont pas confondues. Si l'une des deux conditions n'est pas réalisée, la molécule est apolaire.
On considère quatre types de liaisons, susceptibles de se former selon le remplissage des couches électroniques les plus externes des atomes concernés : La liaison covalente où 2 électrons sont mis en commun, ou partagés, par deux atomes dont la couche électronique externe est presque complète.
En conséquence, la molécule porte un moment dipolaire important, avec une charge partielle négative δ- portée par l'atome de fluor et une charge partielle positive δ+ portée par l'atome d'hydrogène. Le fluorure d'hydrogène est donc une molécule polaire.
Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) d'une de leurs couches externes afin de former un doublet d'électrons liant les deux atomes.
Liaisons hydrogène et forces de Van der Waals
Cette liaison hydrogène n'est donc pas une liaison ordinaire. Elle est plus faible qu'une liaison covalente, mais directionnelle tout comme elle. De nature électrostatique, elle ne se manifeste qu'avec des atomes très électronégatifs.
Une interaction non covalente diffère d'une liaison covalente en ce qu'elle n'implique pas le partage d'électrons, mais implique plutôt des variations plus dispersées des interactions électromagnétiques entre molécules ou au sein d'une molécule.
En chimie organique, un ester est un dérivé d' acide carboxylique. Ce composé se caractérise par un groupe fonctionnel -(C=O)-O- où le carbone porteur de la fonction, entouré de deux chaînes carbonées, est relié simultanément à un oxygène par une double liaison, à un second oxygène par une liaison simple.
Une liaison phosphodiester se forme entre le groupe phosphate d'un nucléotide et le sucre pentose du nucléotide suivant. C'est ainsi que les nucléotides individuels forment de longues chaînes de chaque côté de la figure.
En chimie organique, un aldéhyde est une molécule dont la fonction caractéristique est un groupe carbonyle C=O. situé obligatoirement au bout de la chaîne carbonée, c'est-à-dire que le carbone porteur de la fonction est lié par une double liaison à un oxygène et par une simple liaison à un hydrogène.
L'atome Na perd un électron et devient ainsi l'ion Na+ afin de réaliser égalemnt l'octet périphérique. L'atome Cl gagne un électron et devient ainsi l'ion Cl-. Les ions Na+ et Cl-, ainsi formés, étant de signes contraires, s'attirent mutuellement par attraction électrostatique et forment une liaison ionique.
La molécule de dioxyde de carbone est une molécule apolaire.
Se dit des composés possédant dans leur molécule une double liaison carbone-carbone.
Règle de Markovnikov : dans l'addition d'un acide halogéné (HCl, HBr, etc.) à un alcène asymétrique (RCH=CH2, par ex.), l'ion d'hydrogène (H+) se fixe sur le carbone qui porte le plus d'atomes d'hydrogène.
Des molécules sont dites « isomères » lorsqu'elles ont la même formule brute mais des structures différentes. Le phénomène d'isomérie a été remarqué pour la première fois au XIXe siècle. À cette époque, les chimistes pensaient que les propriétés d'une substance dépendaient entièrement de sa formule brute.