On utilise « ça » lorsqu'on peut le remplacer par « cela ». - « çà » est un adverbe de lieu. - « sa » est un adjectif possessif. On utilise « sa » lorsqu'on peut le remplacer par « la sienne » ou par « ses ».
- Ça est un pronom démonstratif, abréviation familière de cela. - Çà est un adverbe de lieu, qui signifie d'un côté et de l'autre. Ex. : On retrouve çà (= ici) et là des traces de la présence de l'homme des cavernes dans la région.
Quand on écrit "s'est" devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s' par me, te ou m', t'. Exemple : Je me suis cogné, tu t'es cogné, l'enfant s'est cogné. ➡️ On écrit "c'est", quand on peut le remplacer par "cela".
On voit souvent « çà » écrit pour « ça » (« c'est comme çà » pour « c'est comme ça »), or « çà » ne se rencontre guère que dans la locution figée « çà et là ». Vous pouvez remplacer ce mot par « cela » ? C'est alors le pronom démonstratif « ça », qui ne prend jamais d'accent.
(Il) était, c'est le verbe être l'imparfait être, imparfait. Quand j'ai rencontré Victor, c'était l'hiver. Il y a vingt ans, j'étais jeune et jolie.
En français, il existe 2 mots qui se prononcent [sa] : « sa » est un déterminant féminin ; « ça » est un pronom démonstratif.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
C'était est la contraction du pronom « ce » suivi du verbe « être » conjugué à l'imparfait à la 3e personne du singulier. On peut remplacer « c'était » par « cela était ».
Pourquoi n'écrit-on pas « ça c'est bien passé » ? Parce que « s'est passé» correspond au verbe passer, employé à la forme pronominale (se passer) et conjugué à la 3e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. « ça » pronom démonstratif, est employé en langage familier à la place de ceci, cela.
Ce n'est pas le cas pour « mais » et « jamais » qui se terminent par un « -s » dit adverbial, qu'on rencontre dans divers adverbes (« alors », « puis ») et prépositions (« après », « dès »). Dans certains cas (« mais », « plus »), ce « -s » vient du latin, dans d'autres non (« alors »).
Règle « sa » : En ce qui concerne l'emploi de « sa », il est utilisé pour marquer la possession et se trouve devant un nom féminin. Dans le cas d'un nom masculin, on écrira « son ». En résumé, si vous ne pouvez pas remplacer par « cela » et pouvez remplacer par « la sienne », alors écrivez « sa ».
Utilise du vocabulaire justement que tu connais, des expressions idiomatiques que tu connais, parce que quand tu vas les utiliser, tu vas te sentir bien, la personne qui sera en face de toi sera un peu impressionnée et tu auras donc la possibilité d'être beaucoup moins timide et de moins stresser.
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
Locution-phrase
(Bretagne) (Lorraine) (Familier) Formule de salut, à la manière de ça va. Eh, salut, gros !
On ne dit pas: « au plaisir »
Mais plutôt: « au plaisir de vous revoir » ou « au plaisir de vous entendre ». Le formule « au plaisir » est courte et inachevée.
Les seuls adverbes pouvant être directement modifiés par l'adverbe beaucoup sont : mieux, moins, plus, trop. Elle est beaucoup plus bavarde que lui. Il va beaucoup mieux. Avec tous les autres adjectifs et adverbes, on emploie bien (ou très) et non beaucoup.
Il faut bien écrire que c'était ces jours-ci.
Dans « c'est » « C » est le pronom démonstratif « CE » suivi du verbe être (est). Pour cette raison, il est possible de substituer « C' par « Cela ». Le sens ne change pas. Dans « s'est » « S' est le pronom personnel « SE » suivi de l'auxiliaire dans une phrase au passé composé.
Locution adverbiale
S'emploie pour exprimer l'incertitude quant à la proposition qui précède ou suit. Qui sait, ils ont pu avoir des bouchons sur l'autoroute... Qui sait si les médecins suffiront à la guérir...
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose. « C'est » et « s'est » se prononcent de la même manière, mais on les utilise différemment car chacun a sa propre signification. Ce sont donc des homophones.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Ce est soit un pronom démonstratif qui s'emploie avec être (ce sont, ce sera…) ou avec un pronom relatif (ce que, ce dont…), soit un déterminant démonstratif qui se place avant un nom.
Montrez-lui plutôt de l'intérêt en lui demandant comment s'est déroulée sa journée. Manifester de l'attention et de l'intérêt pour quelqu'un, surtout dans une société remplie de distractions comme la nôtre, peut être le meilleur signe de bienveillance qui soit.