Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Un infarctus silencieux est une crise cardiaque qui survient sans symptômes clairs, ou parfois sans symptômes du tout. De ce fait, la crise cardiaque passe inaperçue et n'est souvent reconnue que quelques jours, mois ou même années après.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Selon une étude américaine menée en Caroline du Nord, et portant sur 9500 personnes d'âge moyen (45 à 64 ans), il se produit en une quinzaine d'années presque autant (45%) d'infarctus du myocarde qui passent complètement inaperçus que d'infarctus avec symptômes (55%).
L'infarctus peut se manifester brutalement, comme un “coup de tonnerre”. Mais parfois, la sensation de gêne est présente depuis plusieurs jours et la typique douleur thoracique est absente.
Un électrocardiogramme effectué sur place par les équipes de premier secours peut permettre de confirmer le diagnostic d'infarctus.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Une douleur très intense et/ou persistante au niveau du coeur nécessite une prise en charge médicale immédiate. Il faut contacter les services d'urgence médicale en composant le 15 ou le 112.
D'autres symptômes sont possibles : anxiété, sueurs, vertiges, essoufflement, par exemple. Chez les femmes, ces douleurs peuvent être localisées au niveau de l'estomac ou du ventre, ce qui est plus rare chez les hommes. Elles peuvent s'accompagner de nausées, de vomissements, ou de grande fatigue soudaine.
Pour l'infarctus du myocarde, le principal signe qui doit alerter est une douleur thoracique en barre, qui serre comme un étau et pèse sur la poitrine. C'est une douleur très forte, qui ne passe pas, avec une irradiation dans le bras gauche, la mâchoire, l'épaule ou le poignet.
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
La douleur du thorax (ou douleur à la poitrine) est fréquente. La douleur thoracique désigne toute douleur ou toute sensation anormale et pénible localisée dans la zone du thorax. On parle également de douleur à la poitrine.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.
Palpitations, perception des battements du cœur qui sont lents, rapides ou irréguliers. Evanouissement, perte de connaissance, syncope. Sensation de vertige. Nausées et vomissements.
Infarctus ou « crise cardiaque »
La douleur ne cède pas et reste intense sur la durée. La crise d'angoisse peut provoquer des sensations d'étouffement et d'essoufflement. La crise cardiaque ne provoque pas de sensation d'étouffement ou d'essoufflement.
"Typiquement la douleur est thoracique gauche, avec une sensation d'étai et de serrement, favorisée par l'effort. Elle peut irradier dans la gorge, la mâchoire ou le bras gauche, il s'agit parfois d'ailleurs le seul signe, notamment chez les femmes", détaille le médecin.
Infarctus : la mortalité revient à la normale au bout de 2 ans.
si une ou plusieurs artères ne sont que partiellement obstruées (le sang y circule encore) : un traitement médicamenteux suffit dans l'immédiat. Des anti-aggrégants plaquettaires (aspirine, clopidogrel...) ou des anticoagulants (héparine, fondaparinux) peuvent être administrés en urgence.
Lorsque la fréquence cardiaque est au-dessus de la barre des 100 battements par minute. Une fréquence cardiaque au-dessus de 100 n'est pas signe de bonne santé.