Comparable au mal de mer ou, plus généralement, au mal des transports, le mal de l'air se manifeste par des nausées accompagnées de pâleur, de sueurs, de vertiges, de maux de tête et de vomissements.
Prenez des respirations lentes et profondes pour vous détendre. Reposez votre tête contre le dos de votre siège et gardez-la aussi immobile que possible. Une dose de GRAVOLTMvous aidera à soulager les nausées, les vomissements et les étourdissements causés par le mal de l'air.
Le mal de l'air est une sensation induite par les voyages aériens, il s'agit d'une forme spécifique de cinétose, considérée comme une réponse normale pour les individus en bonne santé. C'est essentiellement la même chose que le mal de voiture mais transposée en avion.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®)
Pour prévenir ou traiter le mal des transports, il est possible d'utiliser : un médicament de la famille des antihistaminiques H1. Ces médicaments peuvent être obtenus sans ordonnance, néanmoins leur utilisation sans avis médical est déconseillée chez la personne âgée et chez la femme enceinte ou qui allaite.
L'apparition des symptômes commence généralement vers l'âge de 2 ans et se poursuit jusqu'à 14 ans, avec un pic d'incidence entre 6 et 10 ans. En dessous de 2 ans, il y a une certaine immaturité cérébrale qui semble faire que l'enfant n'y est pas ou peu sensible.
Le médecin spécialisé dans les problèmes de l'équilibre est l'ORL. En cas de trouble de l'équilibre ou plus spécifiquement de cinétose, une consultation ORL est indiquée.
Facteurs de risque
Certaines personnes sont plus prédisposées que d'autres au mal des transports. Le mal des transports est plus fréquent chez les femmes et chez les enfants de 2 à 12 ans, ainsi que chez les personnes prédisposées aux migraines ou qui présentent une labyrinthite.
Le mal des transports, qui se traduit par des nausées et maux de tête parfois importants, est lié à un décalage entre les informations envoyées par l'oreille interne et celles envoyées par les yeux. Il existe de nombreux moyens de calmer ces nausées et d'éviter que cela n'handicape tous les voyages que vous effectuez.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
Ne penchez pas la tête en avant, tenez votre livre droit et à hauteur de visage pour que votre champ de vision soit aligné le plus possible sur l'horizon. Veillez à ce qu'il ne fasse ni trop froid ni trop chaud dans l'habitacle.
Le mal des transports (également appelé cinétose ou naupathie) peut accompagner un déplacement en mer (mal de mer), en avion (mal de l'air), en train ou en voiture. Ce problème est fréquent et habituellement bénin. Certaines mesures permettent de prévenir souvent sa survenue.
Les nausées et les vomissements sont le plus souvent liés à des maladies bénignes et passagères (gastro-entérite, migraine, prise de médicaments, mal des transports…) Lorsqu'ils sont accompagnés d'autres symptômes, des maladies plus graves peuvent être en cause (méningite, occlusion intestinale…)
Le mal des transports est dû à un trouble entre la perception visuelle et le système vestibulaire contenu dans l'oreille interne, qui joue un rôle primordial dans le sens de l'équilibre car il perçoit le mouvement et l'orientation par rapport à la verticale.
Les TER sont largement au dessus des autres à cause des locomotives diesel sur les lignes non électrifiées qui plombent la moyenne (ainsi que des bus thermiques qui font partie de l'offre TER), explique le site de vulgarisation climatique Bon pote.
Le « mal de terre », qui peut provoquer les mêmes symptômes de nausées, de vertiges ou de vomissements que le mal des transports, se manifeste parfois au moment du retour à la terre après un long voyage en mer. L'organisme, qui s'était habitué aux mouvements du bateau, doit se réadapter et retrouver son équilibre.
Le phénomène est assez simple : D'un côté, les yeux indiquent au passager que le bateau ne bouge pas - ou peu. De l'autre, son oreille interne lui dit tout le contraire. C'est cette différence d'appréciation que l'organisme a du mal à comprendre et qui provoque nausées, étourdissement et autres malaises.
Évitez les repas trop copieux, mais ne partez pas non plus l'estomac vide. Privilégiez les aliments solides. Toutefois, évitez de manger trop gras et de boire de l'alcool. Pour limiter les nausées, pendant le voyage, gardez la tête droite, en utilisant l'appui-tête, et les jambes surélevées, dans l'idéal.
Prenez la voiture à un moment où il n'y a pas trop de circulation afin d'avoir une conduite régulière. Les freinages brusques et les accélérations rapides majorent les nausées. Si possible, évitez les itinéraires qui ont beaucoup de virages.
Pour éviter la nausée en bus, évitez les aliments qui sont susceptibles de provoquer une indigestion, tels que les aliments frits, épicés ou trop sucrés. De plus, l'alcool et la caféine peuvent également aggraver les symptômes de nausée, il est donc préférable de les éviter avant votre voyage.
Notre corps, nos jambes, nos bras sont immobiles, mais dans le même temps, nos yeux voient bien que l'on bouge, que le paysage défile par la fenêtre. Une multitude d'informations contradictoires arrivent à notre cerveau. Cela provoque cette terrible sensation de mal au cœur, de mal des transports.
Le patch. Un dispositif transdermique peut être prescrit par votre médecin. Il contient un antiémétique atropinique, la scopolamine. Réservé à l'adulte, il s'applique la veille au soir derrière l'oreille, pour un départ le matin (entre 6 et 12 heures avant le départ) et doit se garder tout le long du voyage.