La douleur rénale est souvent décrite comme une douleur vive. Elle peut également être accompagnée de nausées, de vomissements, de fièvre ou de frissons. De son côté, la douleur dorsale peut être une douleur plus sourde, qui a tendance à s'aggraver avec le mouvement.
Les signes au début de l'insuffisance rénale :
Fatigue excessive à l'effort. Manque d'appétit. Besoin d'uriner plusieurs fois par nuit. Hypertension artérielle et/ou œdèmes.
une fièvre supérieure à 38,5 °C, des frissons, un malaise général ; des douleurs de la région lombaire (fosse lombaire) et/ou abdominale, en général d'un seul côté. Elles peuvent être spontanées, ou apparaître lors de la palpation par le médecin.
La colique néphrétique est une douleur aiguë, unilatérale et lombaire. Elle est le plus souvent due à la présence d'un calcul dans l'un des 2 uretères. Si la crise s'accompagne de certains symptômes, elle doit amener à consulter en urgence.
La douleur provoquée par les troubles rénaux est en général ressentie sur le côté (flanc) ou au niveau du bas du dos. Occasionnellement, elle irradie vers la partie centrale de l'abdomen.
Par exemple, l'eau minérale Evian, avec sa teneur en calcium modérée, peut être un bon choix pour favoriser la dissolution des calculs rénaux.
Symptômes et signes
Une infection locale engendre une inflammation de la région infectée qui se traduit par une douleur, une rougeur, un œdème, la formation d'un abcès rempli de pus (infection à germes pyogènes), parfois une élévation de la température.
Les personnes peuvent ressentir un besoin impérieux d'uriner fréquemment, en particulier lors du passage du calcul dans l'uretère. Les symptômes suivants peuvent parfois survenir : frissons, fièvre, brûlures ou douleur pendant la miction, urine trouble avec une mauvaise odeur et gonflement abdominal.
Les reins sont situés dans l'abdomen. Contrairement à une croyance répandue, ils ne sont pas localisés en bas du dos, mais un peu plus haut à la hauteur des deux dernières côtes vertébrales.
Symptômes de l'infection rénale
(infection vésicale), avec des mictions fréquentes et douloureuses. Un rein ou les deux peuvent augmenter de volume et être douloureux, et les médecins peuvent déceler une douleur dans le dos du côté atteint. Les muscles de l'abdomen sont parfois extrêmement contracturés.
Généralement, les médecins suspectent une septicémie lors de l'apparition soudaine d'une très haute ou très basse température, d'une accélération du rythme cardiaque ou de la fréquence respiratoire ou d'une diminution de la tension artérielle, chez une personne atteinte d'une infection.
Les boissons diurétiques : notamment le thé ou les tisanes aux plantes (genévrier, thym, prêle des champs, pissenlit), peuvent vous aider à traiter une infection urinaire plus rapidement. Cela accélère la production d'urine et donc l'élimination des bactéries de la vessie.
Les pierres aux reins ont des symptômes qui vont de l'inconfort lors de l'évacuation de l'urine à des douleurs intenses au bas dos, sous les côtes et dans le bas ventre. Vous pourriez également retrouver du sang et du pus dans vos urines.
Outre une alimentation inappropriée, le manque d'activité physique, la sédentarité, la prise de poids et le stress augmentent en effet le risque lithogène. Les autres raisons de la formation de calculs sont multiples. Dans environ 10 % des cas, les calculs résultent de maladies acquises.
Les aliments riches en oxalates, comme les produits à base de soya, les légumes à feuilles vert foncé comme les épinards, la rhubarbe, les betteraves, le son de blé, les noix, les graines, le chocolat et les fraises, contribuent à augmenter la concentration d'oxalate urinaire4,8.
En cas de calculs rénaux, votre médecin pourra vous prescrire des antispasmodiques type Spasfon° pour calmer la douleur, et ou des anti-inflammatoires.
La pyélonéphrite emphysémateuse est une infection nécrotique du rein caractérisée par la présence de gaz au sein du parenchyme rénal, des cavités excrétrices ou des espaces péri rénaux. Il s'agit d'une forme grave pouvant engager le pronostic vital.
La consommation de produits laitiers, en particulier de ceux allégés en matières grasses, est associée à une diminution du risque de développer la maladie rénale chronique.
Conclusion. Bien que peu connu et de mécanisme encore mal compris, le potentiel néphrotoxique du paracétamol est pourtant bien réel et peut amener dans les cas extrêmes à l'emploi de l'hémodialyse ; à l'heure actuelle, aucun traitement préventif n'a fait ses preuves.