Les conséquences de ce surentraînement sont variables : risque de blessures, altération durable des performances ou encore troubles de l'humeur. Un symptôme reste toutefois constant : une fatigue persistante.
Le syndrome du cœur d'athlète est un ensemble de modifications anatomiques et fonctionnelles qui touchent le cœur de sujets qui s'entraînent > 1 heure/jour presque tous les jours. Ces modifications sont asymptomatiques; les signes comprennent bradycardie, souffle systolique et bruits cardiaques supplémentaires.
Selon les chercheurs, trop d'exercice physique pourrait conduire, non seulement à de la fatigue, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires, mais aussi à une baisse de nos capacités cérébrales, et de l'impulsivité. Et, peut-être, au développement de burn-out. S'entraîner, c'est bien.
1. La boxe. Selon plusieurs études, la boxe est l'un des sports les plus exigeants physiquement au monde. La boxe nécessite de la force, de la puissance, de l'endurance et la capacité de résister à d'énormes coups sur une longue période de temps.
Le cœur apprécie tout particulièrement les activités physiques dites d'endurance, dont les trois principales sont la natation, la course et le vélo. Ces sports sont de moyenne intensité : entre 60 et 70 % du maximum que l'on peut fournir.
De nos jours, plusieurs examens médicaux permettent d'effectuer un bilan cardiovasculaire et de déterminer si une personne souffre d'un problème cardiaque. Parmi eux, il y a l'IRM, l'échographie Doppler et l'électrocardiogramme. Des examens qui nécessitent du matériel spécifique et des professionnels de santé.
Ce sont vos muscles qui, arrivant à un niveau de fatigue dû à cet effort intense, vont s'étirer et se contracter très rapidement, de manière instinctive. Ils vont alors sur-stimuler leurs terminaisons nerveuses, entraînant ces tremblements.
L'énergie est apportée en début de séance par les stocks de glycogène situés au sein des muscles et du foie, jusqu'à leur épuisement progressif, se manifestant par une hypoglycémie, une fatigue intense et la sensation de « jambes coupées ».
Est-ce bien de faire de la musculation tous les jours ? Surtout pas! Mieux vaut ne pas s'entraîner tous les jours pour bien progresser en musculation. Il est essentiel de planifier des jours spécifiques de repos pour permettre à votre corps de se régénérer, même si vous ne travaillez pas les mêmes groupes musculaires.
L'activité physique peut, lorsqu'elle est excessive, entraîner des problèmes cardiovasculaires : fatigue cardiaque, hypertension artérielle, infarctus, etc. Pour éviter ces problèmes de santé, il est important d'effectuer un examen préalable à la pratique du sport et de savoir entraîner son cœur de manière raisonnable.
La boxe demande énormément de résistance physique, d'endurance, de puissance et de force, mais ce n'est pas tout. Il faut aussi en effet avoir du courage pour se pointer devant un adversaire qui va tenter de nous en mettre plein la gueule. En étant aussi exigeant, le sport s'est hissé sur la première marche du podium.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
"Il est utile aussi de consulter un cardiologue avant certaines interventions chirurgicales (bilan préopératoire), lors de la reprise du sport après 45 ans chez un homme ou une femme plutôt sédentaire et en cas de pratique sportive intensive (par exemple semi-marathon, marathon)", indique le Pr. Mounier-Vehier.
La bigorexie ou addiction au sport est, depuis 2011, identifiée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Cette dépendance est caractérisée par le besoin perpétuel d'être en mouvement et de repousser toujours plus ses limites.
La présence de douleurs articulaires prolongées
Lorsque vous ressentez une fatigue chronique qui prend beaucoup de temps, il est fort probable que vos articulations soient à bout de force à cause de l'excès d'entraînement. Ainsi, les douleurs musculaires sont aussi des indicateurs de surentraînement.
Physiologiquement, le phénomène est le même quelle que soit l'addiction : en pratiquant un sport de façon très intensive, le patient devient dépendant aux hormones et autres neuromédiateurs naturels produits par son organisme : dopamine, adrénaline ou endorphine. Le sportif devient donc accro à son insu.