Être une bonne personne ne veut pas dire que vous ne commettez jamais d'erreur, explique Lisa Grushcow – il s'agit plutôt de trouver la meilleure façon de réagir quand ça vous arrive. La bonté n'est pas un trait inné immuable, mais plutôt quelque chose qui peut être évalué, recalibré et amélioré au fil du temps.
Si vous pensez que vous êtes une mauvaise personne, c'est que vous êtes certainement sur la voie du changement. Les mauvaises personnes ne pensent pas qu'elles le sont. Elles agissent simplement dans leur propre intérêt et font du mal aux autres sans aucune raison.
La gentillesse est un trait de la personnalité qui se caractérise par une bienveillance et une attention envers les autres en fonction de leurs besoins. Souvent associée à tort à la faiblesse ou à la bêtise, la gentillesse est une qualité qui peut se traduire par une aide, une écoute, ou seulement un sourire.
Dans les deux cas, c'est un gros problème de confiance et d'estime de soi : ils ont besoin de l'aval des autres pour se sentir bien. Et pour cela, ils sont prêts à monnayer leur bien-être et leur équilibre personnel pour sentir la reconnaissance de ceux à qui ils ont rendu service coûte que coûte.
Les gens gentils sont des personnes qui se comportent bien en société et donc qui évitent d'avoir des ennuis. Ne participez pas à des actes de vandalisme, n'endommagez aucun bien (peu importe qu'il s'agisse d'une propriété privée ou d'un bien public) et ne consommez pas de drogues.
Quelle est la différence entre une belle personne et une bonne personne ?
Une « bonne personne » fait du bien ; a un grand cœur qu'elle répand volontiers autour d'elle. Dans un cas comme dans l'autre ces personnes nous édifient, mais probablement avec un rayonnement plus grand pour la « belle personne » qui non seulement fait le bien, mais le fait avec élégance.
Les bonnes personnes sont des âmes pleines de courage.
Elles ont pris soin des leurs dans les bons comme dans les mauvais moments, elles ont renoncé à beaucoup de choses pour le bien des autres et rien de cela ne pèse sur elles ou ne génère en elles des regrets ou de la frustration.
Lorsque la gentillesse est excessive, elle peut devenir nocive pour soi-même. Si vous êtes trop gentil avec votre entourage et que vous vous sentez triste et déprimé tout le temps, c'est à cause de votre trop grande gentillesse. Il y aurait en effet, un lien entre gentillesse et dépression.
« La gentillesse ne paie pas », dit-on. Et pourtant, c'est fou le bien qu'elle fait ! Mieux, à en croire, Franck Martin, auteur du livre « le Pouvoir des gentils »*, qui sort en cette Journée de la gentillesse, c'est « la valeur montante ». Car parmi ses vertus, la gentillesse « rend plus fort », dit-il.
Selon les recherches menées à ce sujet, pour être gentil avec vous-même, vous avez besoin de développer trois habiletés : La bonté envers soi-même. Cela consiste à agir de manière compréhensive et aimable avec soi-même. Par exemple, nous pouvons nous pardonner au lieu de culpabiliser au moment de commettre une erreur.
Nous en sommes convaincus : la gentillesse est une valeur moderne, plus que jamais nécessaire. Valeur positive embrassant générosité, bienveillance et altruisme, la gentillesse a pourtant souvent mauvaise presse.
Il l'explique par le fonctionnement du cerveau : "Nous avons trois cerveaux : le cerveau reptilien, celui de l'instinct, là où va se jouer la méchanceté. Le cerveau limbique, celui de l'émotion, et le cerveau néocortical, celui de la raison qui réprime nos instincts.
La cause de son comportement se cache peut-être dans une difficulté à assumer ses sentiments amoureux. Vous lui plaisez mais, pour une raison ou pour une autre, il sait que vous ne pourrez jamais être ensemble. Et vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir est très frustrant.