Quels sont les symptômes d'une hyperplasie bénigne de la prostate ? Lors d'hypertrophie bénigne de la prostate, uriner devient difficile : l'émission d'urine est lente à démarrer, le flux est faible et saccadé, et des gouttes d'urine continuent à s'écouler pendant une minute ou deux.
Le dépistage consistera en un dosage du PSA et un toucher rectal. Une IRM de la prostate peut aussi être réalisée dans certains cas.
En France, environ 1 million d'hommes de plus de 50 ans sont concernés par ce qu'on appelle l'hypertrophie bénigne de la prostate. Généralement sans gravité, elle peut néanmoins être très gênante et nécessiter une prise en charge médicale, voire une opération.
Baptisé PUR, pour « Prostate Urine Risk », ce nouveau dispositif éviterait le passage en clinique et les examens désagréables, comme le toucher rectal. Ce test rapide consiste en un simple test urinaire, à réaliser chez soi et dont les résultats peuvent ensuite être envoyés dans un laboratoire pour être interprétés.
Les troubles sont irritatifs : besoins pressants et fréquents d'aller aux toilettes, difficultés à se retenir. Et aussi obstructifs : faible jet urinaire, difficulté à démarrer la miction, gouttes retardataires, sensation de ne pas vider complètement sa vessie.
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
difficulté à uriner (besoin de pousser, miction difficile à commencer ou arrêter, jet d'urine faible ou qui s'interrompt), sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, brûlure ou douleur en urinant, présence de sang dans l'urine ou le sperme.
Faites le plein de lycopène en mangeant des tomates et autres fruits et légumes très colorés, car ce pigment de la famille des caroténoïdes est un puissant antioxydant qui pourrait contribuer à maintenir stable la taille de la prostate et à freiner le développement tumoral. Et surtout, prenez du zinc !
(Prostatodynie) La prostatite est une douleur associée à un gonflement, une inflammation, ou les deux, de la prostate. La cause est parfois une infection bactérienne. Des douleurs peuvent se manifester dans la zone comprise entre le scrotum et l'anus ou dans la région lombaire, le pénis ou les testicules.
L'augmentation du volume de la prostate est à l'origine des symptômes . La prostate augmente de volume sous l'effet d'un déséquilibre entre deux mécanismes : l'un qui pousse les cellules prostatiques à proliférer, l'autre qui conduit à la mort cellulaire (apoptose).
Une prostate volumineuse comprime l'urètre tout en faisant pression sur la vessie, ce qui engendre un besoin fréquent d'uriner et divers problèmes de miction, selon le cas (débit plus faible et intermittent, douleurs, etc.). Presque tous les hommes sont sujets à l'hypertrophie bénigne de la prostate, en vieillissant.
Une hématurie, présence de sang dans les urines, est également un symptôme précoce du cancer de la prostate, ainsi que des tumeurs de la vessie ou des reins (bien plus rares). La présence de sang dans le sperme est également évocatrice d'un cancer de la prostate.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
La solution: une combinaison de plantes. - Les graines de courge réduisent l'augmentation de volume de la glande. En consommer 1 ou 2 cuillères à soupe par jour, par exemple le soir en guise d'apéritif où elles remplaceront les cacahuètes, ou au petit déjeuner. - Les tisanes d'épilobe.
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
L'âge est le principal facteur de risque identifié pour le cancer de la prostate. Ce risque est de 1% à 7% entre 50 et 64 ans, il monte de 14% à 26% entre 65 ans et 74 ans et enfin, les risques augmentent de 40% entre 75 ans et 79 ans jusqu'à atteindre 50% à partir de 80 ans.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
Le patient peut donc avoir des rapports sexuels normaux (érection normale, orgasme normal) mais sans éjaculation.
Le cancer de la prostate est ainsi classé selon 4 stades : stades T1 et T2, le cancer de prostate est localisé à la prostate, et stade T3 et T4, le cancer de prostate est localement avancé.