Critères pour choisir son type de radiateur à eau
Le matériau : fonte, aluminium ou acier. La puissance, qu'il faut calculer en fonction de la taille de la pièce, sa qualité d'isolation et le confort thermique que vous souhaitez. La réactivité L'inertie.
le réglage indépendant des radiateurs : sur un système bitube, chaque radiateur est relié par son propre circuit à la chaudière. Dans un système monotube, tous les radiateurs sont reliés avec le même tube, en série.
Le fil bleu (Neutre) va sur la borne N, le fil marron ou rouge (Phase) va sur la borne L tandis que le fil noir (Pilote) va sur la zone 1. La section minimale de ces trois fils varie selon la puissance installée dans le logement. En sachant que les radiateurs ne peuvent jamais s'installer dans une salle d'eau.
35 °C pour un plancher chauffant. 45°C pour des radiateurs basse température (chaleur douce) Entre 55 et 60°C pour des radiateurs moyenne température. Entre 70 et 75°C pour des radiateurs haute température.
L'installation d'un radiateur nécessite un raccordement direct avec le tableau électrique, impossible donc de repiquer sur un branchement existant pour une prise électrique par exemple.
Un disjoncteur 20 A possède la capacité de protéger un circuit de chauffage d'une puissance maximale de 4 500 W. Il est donc possible de raccorder à ce circuit trois convecteurs de 1500 W, par exemple.
D'après ce que vous indiquez vous ne dépasser pas 2000 watts par circuit donc le 1.5 convient.
Une installation mono tube utilise un seul tube qui rentre d'un coté du radiateur, qui ressort pour aller sur le second radiateur etc.. c'est une montage en série. Ce dernier type d'installation n'est pas recommandé car empêche les réglages de chaque radiateurs.
Ce type de chauffage particulier signifie qu'un tube parallèle effectue seul le retour de l'eau vers la chaudière, en direct. Utilisé avec un montage en série ou en dérivé, ce système accentue malheureusement encore plus la perte calorifique de l'ensemble de l'installation.
Le radiateur à inertie accumule également la chaleur, mais en fonction des besoins. De plus, même éteint, il continue de chauffer. Il n'y a donc pas de baisse brutale de température. Par ailleurs, le radiateur à inertie est un équipement plus récent.
Les radiateurs en aluminium
L'inertie est moyenne mais permet tout de même à la température du radiateur de redescendre progressivement une fois le chauffage coupé. Le radiateur en aluminium a l'avantage d'être plus léger que celui en fonte et moins cher, il est donc plus facile à installer.
De fait, un radiateur électrique de 2 000 W consomme 8,7 ampères ; deux radiateurs de la même puissance consomment 17,4 ampères. Dans un petit logement comprenant un ou deux convecteurs, un disjoncteur 16 A suffira donc amplement, car les préconisations de la norme sont des maxima.
Le fil pilote est un système français développé dans les années 1970 qui s'est généralisé dans le courant des années 90. Il est destiné à piloter par plages horaires et par modes de température les thermostats des systèmes de chauffage, comme des radiateurs ou des sèche-serviettes par exemple.
Plus concrètement : deux possibilités s'offrent à vous selon que le fil pilote est raccordé au tableau électrique' ou pas. S'il n'est pas relié, il est nécessaire d'utiliser une boîte de connexion afin de raccorder le thermostat avec fil pilote à la borne du tableau électrique.
Dans le top de la gamme des radiateurs à eau chaude on trouve la très connue marque ACOVA. Leurs chauffages sont généralement très design, apportent un excellent confort de chauffe, avec une grande puissance et offrent un design épuré et très agréable au regard. Ils se situent généralement entre 1 000 € et 2 000 €.
Un plancher chauffant ou des radiateurs basse température seront donc tous deux adaptés pour fonctionner avec une chaudière à condensation. Il est déconseillé de mettre des emetteurs haute température car les rendements des chaudières sont moins bons quand elles chauffent de l'eau à haute température.
Un radiateur à eau chaude, neuf, peut être totalement performant pendant 15 à 25 ans. À condition bien entendu que la chaudière et l'ensemble du circuit d'eau soient entretenus au fil des années (purges, désembouage, vérification de la pression, entre autres).