Quel que soit le rapport qu'entretient l'enfant avec son père, il est donc rare (même si « l'élève a dépassé le maître ») qu'aucun sentiment ne soit ressenti. Cependant, certaines personnes ont bel et bien grandi sans amour paternel et déclarent ne pas ressentir la moindre affection pour leur père.
Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce. Il a également été rejeté dans l'enfance et répète maintenant ce comportement avec ses enfants.
Il n'y a pas d'obligation à aimer ses parents, par contre, nous sommes dans obligation de respecter ceux qui nous ont donné la vie et qui nous ont élevé. Cela signifie respecter leur histoire, respecter ce qu'ils sont, respecter leurs failles, reconnaître ce qu'ils nous ont transmis.
Il s'agit du père souvent absent car il fait passer son travail, son passe-temps ou ses amis avant tout le reste. Ce genre de père se repose beaucoup sur la mère en ce qui concerne l'éducation et les soins apportés à l'enfant. Même s'il est présent physiquement, il ne s'implique que très peu dans son rôle de père.
Le simple fait de passer du temps ensemble à partager votre vie à travers des photos et des histoires peut aider votre père à mieux connaitre votre nouvelle vie. Même si vous ne parlez pas trop, votre présence seule peut créer une sorte de connexion. Vous pouvez vous contenter de vous assoir tranquillement ensemble.
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.
Le père impose une écoute différente de celle de la mère ; il est un support, une sécurité, un moyen de construction importante pour l'enfant. Le père, c'est aussi le garant de cette autorité constructive qui positionne les limites et qui fera des enfants des adultes responsables.
Si votre père est en colère ou violent, vous devez éviter de vous disputer avec lui ou de le raisonner. Dans ce genre de situation, la meilleure des choses à faire est de rester silencieux(se) et de ne parler que s'il s'adresse directement à vous.
Oui, il est possible de ne pas aimer son père et/ou sa mère. Ou plus exactement, il suffit parfois d'un événement, d'une blessure symbolique de trop, pour que, par désespoir, l'amour que l'on éprouve pour un parent, se transforme en haine.
Les études montrent que les causes sont généralement graves, que ce soient de la violence, de la négligence ou des problèmes de toxicomanie. Même si les membres de la famille ne sont pas d'accord sur ce qui s'est passé ou sur l'état de la relation, au moins une personne perçoit la relation comme négative.
Un enfant préfère sa maman parce qu'il a vécu dans son ventre pendant quarante semaines ou plus. Pendant qu'il se développe, c'est elle qui lui donne des nutriments, de l'oxygène et qui le protège.
Une petite fille a besoin de voir ses parents s'aimer et se désirer; indispensable pour qu'elle puisse à son tour aimer et être aimée. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle vivra une relation d'amour et de désir, à l'instar de celle de ses parents.
D'après son enquête publiée dans le Journal of Family Psychology, l'aîné a une position privilégiée au sein de la famille. Elle a établi ce constat après avoir étudié de près plus de 380 familles sur une période de trois ans. Le premier enfant de la famille bénéficie de toute l'attention des parents au début.
Cette impression peut aussi être causée par des conflits répétitifs ou une communication difficile. Il est aussi possible qu'elle soit provoquée par une rivalité au niveau de la fratrie. Certains enfants sont plus sensibles aux inégalités.
La réponse du Dr Marie Lion-Julin * « Il semble qu'il y ait quelque chose de très narcissique chez votre mère. Qu'elle aime uniquement quand ça la valorise. Or, pour une raison qui vous échappe, sa première fille l'a valorisée, et vous un peu moins.
Un bon père est présent aux côtés de son enfant pour tisser des liens privilégiés et partager des moments de complicité : faire des câlins, donner le bain... Il le rassure, le protège et le réconforte tout en l'aidant à devenir autonome. Il pose des limites et des interdits de manière positive.
Selon le dictionnaire Larousse, le géniteur est « le père physiologique » (par opposition au père légal). C'est la « personne qui engendre quelqu'un ». Selon ce même dictionnaire, le père est « l'homme qui a engendré ou qui a adopté un ou plusieurs enfants ».
Qui est le plus important des deux ? Selon une nouvelle étude (en anglais) menée par des chercheurs de l'Université de l'Iowa, être attaché à son père est tout aussi utile qu'être proche de sa mère.
L'agressivité envers sa famille vient signaler que la relation entre la personne agressive et sa famille mérite d'être traitée autrement que par l'indifférence, coup de gueules ou carrément des passage à l'acte : un père qui frappe sa femme, la fille qui tape son père ou le fils qui agresse sa mère.