Pour vous en assurer, faites ce test simple. Posez votre main sur un mur : si le mur est froid, c'est le signe d'une mauvaise isolation thermique ; si le mur est chaud mais se refroidit à proximité d'une fenêtre ou d'une porte, c'est le signe d'une mauvaise isolation de votre menuiserie.
Vérifiez vos murs et les angles de votre plafond pour voir s'ils ne présentent pas des traces d'humidité, de moisissures ou encore des parois froides. En effet, les problèmes d'humidité sont souvent liés à une mauvaise isolation.
Positionnez la flamme près des points sensibles (fenêtres, porte d'entrée, toiture, plancher...). Si vous constatez un frémissement de la flamme, cela signifie que des fuites d'air sont bel et bien existantes dans votre logement et que l'isolation thermique a donc certainement besoin d'être revue.
La méthode la plus courante pour isoler un plafond de l'intérieur est la pose d'un faux plafond, aussi appelé plafond suspendu. L'isolant est ainsi inséré entre le plafond et le matériau choisi pour le faux plafond. Le plus souvent il s'agit de plâtre, de lames de bois, de lambris, ou encore de terre cuite.
Le polyuréthane et le polystyrène présentent la meilleure performance pour profiter d'une fine couche (à partir de 7 cm). Quant au liège expansé, plus onéreux, il est recommandé pour les milieux humides comme les sous-sols (panneaux de minimum 15 cm d'épaisseur). C'est également un excellent isolant phonique !
Pour isoler un plafond tendu, utilisez de préférence un isolant mince et rigide comme des dalles de polystyrène, ou les rouleaux de liège, d'aluminium ou de polyuréthane. Ces isolants présentent l'avantage de pouvoir être également enduits ou repeints. Certaines dalles ou plaques sont aussi directement colorées.
Les signes d'une mauvaise isolation : la check-list. Votre maison ou votre appartement sont-ils mal, voire très mal isolés si, en hiver : Vos murs et planchers sont anormalement froids. Certaines pièces de votre logement sont plus fraîches que d'autres, ou plus difficiles à chauffer.
Dans des combles, la souris va plutôt faire des bruits de pas légers ou de grattage. Si vous entendez plusieurs rongeurs qui semblent marcher voire courir dans vos faux-plafonds, vous avez sans doute des souris.
Pour protéger les particuliers de failles éventuelles, les travaux réalisés peuvent être vérifiés sur le terrain par Bureau Veritas, expert accrédité. Fondée il y a 50 ans, l'Agence Nationale de l'Habitat (Anah) est un opérateur public en charge de l'amélioration de l'habitat global.
En règle générale, il faut compter entre entre 100 et 250€ pour la réalisation de votre diagnostic de performance énergétique. Il faut savoir que le DPE n'est pas soumis à un tarif réglementé par la gouvernement. Chaque diagnostiqueur ou professionnel qualifié pour établir un DPE peut fixer le prix qu'il souhaite.
Une maison ne peut jamais être trop isolée, mais la qualité de son air intérieur peut tout de même être affectée par un autre facteur : l'étanchéité.
Un sonomètre, semblable à un micro, qui enregistre l'ensemble des sons : bruits du logement, des équipements, de l'extérieur… Ils sont ensuite mesurés à l'aide d'un logiciel de calcul. Cela permet de s'assurer que l'impact des nuisances sonores est maîtrisé.
Pour faire réaliser un Diagnostic Thermique, l'idéal est de s'adresser à un thermicien qualifié. Son intervention est facturée en moyenne 300 €.
L'étude thermique dure généralement une journée entière. Un expert thermicien se rend à votre domicile, ou sur les lieux de votre futur logement en construction, et commence son analyse à l'aide de divers appareils tels qu'une caméra thermique, ou encore des outils de mesure précis pour établir un rapport détaillé.
Emis à une fréquence supérieure à 20 000 Hz, ils sont perceptibles uniquement par certains animaux et insectes. Dans le cas des rats et des souris, les ultrasons ont pour effet de rendre hostile leur environnement. En effet, leur système de communication est perturbé.
Les souris (comme la plupart des rongeurs, rats, mulots, etc.) ne supportent pas les fortes odeurs. Celles du clou de girofle, de l'eucalyptus, la sauge, le laurier ou la menthe poivrée (plantes ou huile essentielle sur des cotons imbibés) sont efficaces pour les repousser.
Les répulsifs peuvent être naturels comme de la menthe poivrée, de l'eucalyptus ou encore des feuilles de laurier ou de jacynthe. Vous pouvez également opter pour des produits plus chimiques ou des ultrasons anti-souris et rats.
La température ambiante (ou de consigne)
Pour obtenir un confort thermique satisfaisant, il faut paramétrer une température de consigne suffisante. On a l'habitude de dire que la température ambiante de confort se situe entre 19°C et 20°C.
Il commence par vérifier les matériaux, les appareils de chauffage, l'ancienneté de la construction et des murs. Ensuite, à l'aide de sa caméra thermique, il va déceler les zones moisies, les fuites et les ponts thermiques. Il inspectera les parties responsables de déperdition de chaleur, comme le toit ou les fenêtres.
La norme RT 2020 préconise une résistance thermique d'au moins 4 pour isoler les plafonds. Cette valeur est toujours conditionnée à une épaisseur donnée pour chaque isolant. Pour atteindre R=4, il faut par exemple une épaisseur d'environ 20 cm de laine de verre contre un peu moins de 10 cm avec du liège.
L'isolation thermique du plafond permet de lutter contre les déperditions de chaleur et de réduire ainsi la facture énergétique. 30% des déperditions s'effectuent par le plafond puis la toiture.
Non, vous ne rêvez pas : le sol est responsable de 10% des déperditions thermiques de votre logement. Procéder à l'isolation du sol par le dessus ou par le dessous est donc nécessaire pour améliorer votre confort thermique et faire des économies d'énergie !