Les femmes n'ont pas exactement toutes les mêmes pertes blanches. Leur texture peut être plus ou moins épaisse et leur couleur plus ou moins blanchâtre ou transparente. Elles sont normales si elles ne s'accompagnent ni de démangeaisons, ni de douleurs et ne dégage pas de mauvaises odeurs.
Les pertes blanches sont des pertes vaginales parfaitement naturelles chez la femme. Elles sont blanchâtres ou transparentes et surviennent dès l'apparition des premières règles jusqu'à la ménopause. Il ne faut pas négliger leur aspect, leur couleur et leur odeur car elles peuvent révéler un problème de santé.
Toutes les femmes, à partir de la puberté, ont des pertes blanches tous les jours. Certains jours, elles sont très abondantes, transparentes, et fluides et d'autres jours plus opaques, voire un peu jaunes. C'est parfaitement normal, car cela dépend des hormones au fil du cycle.
Les pertes blanches sont des sécrétions naturelles produites par le vagin et l'utérus. Elles sont composées de glaire cervicale, substance visqueuse expulsée par le col de l'utérus. Les pertes blanches sont de couleur blanche ou jaune claire, ont un aspect transparent ou un peu laiteux, et sont généralement inodores.
Ces leucorrhées sont le plus souvent de couleurs blanchâtres ou translucides. De la même façon, elles ne présentent en général aucune mauvaise odeur particulière, si ce n'est une odeur légèrement acide mais très peu perceptible.
Ce sont des pertes vaginales symptomatiques d'une infection. Elles sont colorées (jaunâtres, verdâtres...) ou blanches, ont parfois une mauvaise odeur et peuvent contenir du sang. Elles sont parfois associées à d'autres symptômes locaux (brûlures, prurit...) ou généraux (fièvre, fatigue, douleurs du bas-ventre...).
La cause la plus courante des pertes blanches est l'arrivée prochaine des règles. Pendant quelques jours à la fin d'un cycle et au début du suivant, les sécrétions vaginales transparentes peuvent se transformer en pertes blanches laiteuses, leur quantité augmente et leur texture devient plus épaisse.
Les pertes blanches apparaissent à peu près un an avant les premières règles. Visibles sur les sous-vêtements, ces substances blanchâtres ou transparentes sont produites par l'organisme tout au long du cycle menstruel. Elles sont normales et impossibles à faire disparaître.
Un aspect pâteux ou crémeux des pertes blanches est généralement le signe d'une mycose vaginale. Elles n'ont pas d'odeur particulière mais sont fréquemment accompagnées de démangeaisons plus ou moins intenses ou d'une sensation de brûlure.
Les pertes blanches sont composées de glaire cervicale.
Combien de temps durent-elles ? L'écoulement commence dès le début de la puberté de la femme, accompagné du début des règles, jusqu'à la ménopause. En d'autres termes, ces sécrétions surviennent toute la durée de la vie hormonale d'une femme.
Les pertes blanches sont très visibles chez certaines femmes et très peu chez d'autres. On peut très bien avoir des pertes blanches peu abondantes et cependant suffisantes qui restent dans le col de l'utérus. Donc l'absence de pertes blanches n'est pas spécialement inquiétante.
dormir sans sous-vêtement pour laisser l'air circuler autour de la vulve ; éviter de porter des pantalons trop serrés et des collants de nylon ; éviter de garder un maillot de bain mouillé ; avoir des relations sexuelles protégées, pour prévenir le risque de trichomonase et d'autres infections transmises sexuellement.
La glaire cervicale : c'est une sécrétion émise par des glandes situées dans le fond du vagin, au niveau du col de l'utérus, dites glandes endocervicales.
Initialement, les principales pertes sont claires et blanches. Mais lorsqu'elles sont au contact de l'air, elles peuvent prendre une couleur crème, voire jaune. Une petite quantité de sang peut aussi foncer la couleur des sécrétions vaginales. C'est généralement le cas juste avant l'arrivée des règles.
Lavez-vous les mains avant et après chaque changement de protection intime ; Nettoyez à l'eau claire ou avec un savon adapté votre zone intime deux fois par jour (matin et soir), pour la garder propre et éviter les odeurs.
Importante démangeaison sur les grandes lèvres, les petites lèvres et la vulve. Présence de pertes vaginales peu abondantes, de couleurs blanches très compactes (semblable à du lait caillé). Apparition de rougeurs et de petits boutons sur la vulve. Sensation de brûlure ou irritation durant les rapports sexuels.
Certains produits comme le yaourt, la Cranberry, le thé au gingembre et le soja peuvent aider à maintenir une bonne santé au niveau du vagin.
Bien que cela puisse paraître comme étant un phénomène rare, la lubrification excessive chez les femmes ne l'est finalement pas. D'ailleurs, elle est même assez commune.
Les causes sont multiples : infectieuses, allergiques, dermatologiques, cicatricielles après un accouchement ou une chirurgie, hormonales après la ménopause, liées à une endométriose, à la présence de kystes ou de fibromes, ou encore plus rarement de malformations vulvo-vaginales.
Ce phénomène courant peut également être lié à une perturbation de la flore vaginale, le port de vêtements trop serrés, des soins intimes trop agressifs ou une irritation de la muqueuse vaginale. Certains médicaments peuvent également causer une sécheresse vaginale comme les psychotropes ou les antihypertenseurs.