Les personnes qui ont eu une enfance difficile ont un point en commun : un sentiment de vide. Elles atteignent souvent l'âge adulte avec le sentiment que quelque chose ne va pas, que quelque chose fait défaut en elles.
avoir le sentiment de ne plus vouloir ou de ne plus pouvoir vivre. épisodes répétés de violence physique ou sexuelle. sentiment de haine envers soi-même ou faible estime de soi. craindre les gens et les relations avec les autres.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
Un enfant qui souffre. Quoi qu'il en soit, un enfant difficile est un enfant qui souffre, rappelle Philippe Jeammet : « Un enfant difficile est le miroir d'un malaise dans sa famille ou ailleurs. C'est le moyen que cet enfant a trouvé pour agir face à une situation qu'il subit afin d'être moins mal.
JoeyStarr, Lââm ou encore Frédéric Lopez... Voici les célébrités qui ont été victimes d'une enfance traumatisante.
Si vous êtes sensible à la colère ou au comportement des autres, comme boire trop, exprimez-le et dites-lui ce dont vous avez besoin, fixez des limites. Encore une fois, en s'affirmant, vous faites maintenant en tant qu'adulte ce que vous ne pourriez pas pu faire en tant qu'enfant.
Se reconnecter avec son enfant intérieur est une technique thérapeutique pour se libérer des blessures du passé, de trop de colère ou de tristesse réduite au silence. En apprenant à écouter l'enfant en soi, l'adulte réhabilite celui qu'il a été. Reconnaître sa souffrance c'est déjà commencer à guérir.
Selon les différents ouvrages publiés sur la question, la période de l'adolescence commencerait entre 9 et 16 ans et finirait vers 22 ans. Mais pour certains scientifiques, cette période tendrait à se rallonger jusqu'à 24 ans en moyenne.
Les traumatismes infantiles
Des traumatismes plus graves peuvent entraîner des cas de trouble de stress post-traumatique chez les enfants et les adultes, avec des conséquences telles qu'une perte de conscience ou de mémoire, des problèmes relationnels, une vision déformée de la réalité et des problèmes émotionnels.
En effet, les conséquences négatives à l'âge adulte peuvent, elles aussi, revêtir de nombreuses formes : violence contre soi-même (addiction, automutilation, etc.), violence à l'égard de l'entourage (agressions, etc.), difficultés d'insertion professionnelle et sociale, espérance de vie réduite, etc.
Dans son ouvrage très intéressant « les 5 blessures qui empêchent d'être soi même» Lise BOURBEAU définit 5 blessures : la blessure d' abandon, d' humiliation, de rejet, de trahison, d'injustice.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
La réactivation est émotionnelle (ex : peur), corporelle (ex : boule dans le ventre) et surtout identique au passé. Ces ressentis étant enregistrés en mémoire traumatique, lorsqu'ils se réactivent, c'est la panique pour le cerveau…
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
L'amnésie peut ne pas apparaître immédiatement après un événement traumatique ou stressant. Elle peut prendre des heures, des jours, voire plus avant d'apparaître. Peu après la perte de mémoire, certaines personnes semblent confuses. Certaines sont très angoissées.
Les personnes atteintes de stress post-traumatique présentent un déséquilibre de la connectivité du cerveau. Les différentes connexions entre les zones cérébrales sont altérées, ce qui génère des symptômes allant de l'insomnie aux troubles du comportement alimentaire.
Elles peuvent être déclenchées par un stimulus externe tel qu'une odeur, la vue d'un objet ou encore un son. Le flashback est le plus souvent associé à une expérience passée traumatisante et est l'un des symptômes du stress post-traumatique.
La Convention des droits de l'enfant des Nations Unies définit l'enfance comme la période allant de la naissance à 18 ans et l'adolescence comme la période allant de 10 à 19 ans.
Mais l'adolescence est également une période de grande vulnérabilité où les jeunes peuvent adopter des comportements excessifs voire à risques : alcool, drogues, violence, exposition de soi sur Internet, dépendance affective…
Les filles sont pubères en moyenne entre 11 et 12 ans, les garçons entre 12 et 14 ans. La fin de l'adolescence est plus difficile à préciser et varie beaucoup d'un adolescent à l'autre : on peut estimer que l'adolescence se termine en moyenne vers 21 ans.
Il s'agit du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de la trahison et de l'injustice. “Ce sont les blessures qui nous viennent d'expériences passées non acceptées. Elles peuvent s'étendre du simple souvenir marqué par une émotion désagréable ou une absence de sens, aux traumatismes.
Refouler, s'en accommoder ou faire comme si elles n'avaient jamais existé... Lorsqu'elles sont ignorées, les blessures du passé peuvent réapparaitre sans prévenir. Brian a perdu son emploi il y a peu de temps et les souvenirs de maltraitance durant son enfance refont surface.