Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Lésion cérébrale
"Les principales causes sont : le traumatisme crânien, l'accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique ou hémorragique, une tumeur cérébrale, une anoxie cérébrale (manque d'oxygène dans le cerveau suite à un arrêt cardiaque par exemple) ou une infection (encéphalite, abcès)" explique le Pr Cotten.
Une lésion cérébrale se manifeste souvent par des handicaps physiques: les personnes touchées ne peuvent plus marcher ni parler correctement, ou encore elles présentent une hémiplégie. Cependant, les conséquences vont beaucoup plus loin: elles touchent aussi le comportement, l'intellect et la personnalité.
La maladie d'Alzheimer.
La majorité des traumatismes crâniens n'auront pas besoin d'examen complémentaire, il suffira d'une surveillance au domicile ou à l'hôpital en fonction de la gravité pendant 48h. En cas de traumatisme important ou de facteur de risque, un scanner cérébral est indiqué.
Les lésions cutanées suspectes
À première vue, ces lésions ne peuvent être catégorisées comme bénignes ou malignes. Dans cette situation, une biopsie chirurgicale permet d'envoyer un échantillon de tissus en laboratoire d'anatomopathologie afin de l'analyser et de poser le diagnostic.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
La consultation de ce spécialiste est nécessaire pour des traumatismes crâniens, à la suite d'un accident vasculaire cérébral (AVC), d'hématomes ou d'hémorragies à l'intérieur de la boîte crânienne ou de tumeurs cérébrales.
Une lésion cérébrale est une lésion qui touche le cerveau. En général, il s'agit d'une destruction plus ou moins étendue du tissu nerveux entraînant un déficit dans la perception, la cognition, la sensibilité ou la motricité en fonction du rôle que jouait la région atteinte dans l'architecture neurocognitive.
Après un choc à la tête (ou après un processus d'accélération-décélération brutale type « coup du lapin ») on parle de traumatisme crânien léger (TCL) quand certains signes sont en faveur d' un ébranlement discret mais réel du cerveau.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Autre signe constant chez les traumatisés crâniens dits «légers»: le syndrome post-commotionnel. La personne souffre de troubles de l'équilibre, de la mémoire, de la concentration, du sommeil, de fatigue, d'irritabilité, de maux de tête, de vertiges positionnels plus ou moins importants.
Une étude révèle qu'un cerveau fatigué réclame des pauses, à moins qu'une incitation financière n'en repousse les limites.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.