En cas d'usage prolongé, y compris aux doses recommandées en thérapeutique, son arrêt brusque expose à des symptômes de sevrage. Un effet rebond, caractérisé par une reprise des douleurs, et d'éventuels troubles psychiques, tels qu'une anxiété et des symptômes de dépression, est à anticiper après l'arrêt.
Il est possible d'arrêter seul ou aidé par votre médecin traitant, en diminuant très progressivement les quantités, ce qui permet de ne pas ressentir les effets du manque.
Vous êtes plus à risque d'utiliser le tramadol pour calmer une anxiété et non la douleur. Signe de dépendance, la perte d'efficacité en fin de dose. La douleur revient plus tôt, des symptômes de sevrage apparaissent, par exemple.
En effet, si l'effet du médicament diminue, certains patients augmentent les doses sans l'avis d'un médecin. Cette sensation de bien être crée une dépendance et une sensation de manque.
La forte consommation de Tramadol a aussi des incidences sur l'ordre public du fait de ses effets secondaires : étourdissements, sensation d'euphorie, agitation, anxiété et hallucinations, contribuant notamment à altérer le rapport à la peur et à la douleur.
En effet, le tramadol sans association est le plus puissant des antalgiques opioïdes de niveau II , et son conditionnement permet des doses importantes (jusqu'à 400 mg par jour).
fortes variations d'humeur, une irritabilité propos incompréhensibles et incohérents, des problèmes d'élocution. troubles de la mémoire et de la concentration. plaintes au sujet de maux de tête, d'insomnie, de culpabilité, d'angoisse ou de solitude.
La codéine et la dihydrocodéine.
Outre l'anxiété et les problèmes de sommeil, d'autres symptômes de sevrage sont possibles: agitation, sensibilité accrue à la lumière et au bruit, troubles sensoriels des nerfs (p. ex. picotements), crampes et contractions musculaires, troubles du sommeil, vertiges, états de confusion, etc.
En cas d'usage prolongé, y compris aux doses recommandées en thérapeutique, son arrêt brusque expose à des symptômes de sevrage. Un effet rebond, caractérisé par une reprise des douleurs, et d'éventuels troubles psychiques, tels qu'une anxiété et des symptômes de dépression, est à anticiper après l'arrêt.
Le tramadol provoque fréquemment des troubles digestifs, comme les nausées et la constipation, des vertiges, la bouche sèche, une somnolence. La revue Prescrire soulignait le risque de troubles du rythme cardiaque et d'hypoglycémie, particulièrement dangereuse chez les personnes âgées.
· Maux de tête, somnolence, · Fatigue, · Constipation, sécheresse de la bouche, vomissements, · Sueurs excessives (hyperhidrose).
Le sevrage de la nicotine dure environ 15 jours à 3 semaines, en fonction des individus, ses symptômes éventuels les plus fréquents sont les troubles du sommeil (insomnie, sommeil agité), l'irritabilité, l'anxiété, les humeurs dépressives, l'hyperactivité et l'augmentation de l'appétit.
Pour les sujets dégradant peu la codéine, il est possible de prescrire du tramadol. Il se lie aux récepteurs opioïdes mu (avec une faible affinité), mais inhibe aussi, dans les neurones, la « recapture » de deux neuromédiateurs, la sérotonine et la noradrénaline, à l'instar des antidépresseurs.
Le tramadol, seul (Topalgic, Contramal...) ou avec du paracétamol (Ixprim, Zaldiar...), peut entraîner vertiges, céphalées et somnolence, surtout à doses élevées. Dans tous les cas, éviter les boissons alcoolisées au cours du traitement.
Le tramadol n'est pas considéré comme un produit dopant. Utilisé fréquemment par les cyclistes, il ne fait pas partie des substances interdites par l'Agence mondiale du dopage. Mais à cause de son effet sur la douleur et par ricochet sur la performance sportive, il est sous surveillance depuis 2012 par l'agence.
douleur aiguë : 2 gélules lors de la première prise, puis 1 ou 2 gélules lors des prises suivantes, à renouveler si nécessaire toutes les 4 à 6 heures. douleur chronique : 1 ou 2 gélules toutes les 4 à 6 heures.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
DT : deux lettres bien connues des personnes alcooliques, celles qui riment avec agitation, tremblements et hallucinations terrifiantes, les symptômes caractéristiques du Delirium Tremens ou syndrome du manque.
Il s'agit du vertige paroxystique positionnel bénin. "Celui-ci se déclenche lorsque les cristaux de l'oreille interne, les otolithes, se déplacent et bouchent les canaux de l'oreille", détaille Gérald Kierzek. Ce type de vertige arrive soudainement et peut être assez sévère mais reste toutefois bénin.
Ses effets secondaires peuvent être redoutables : nausées, perte d'appétit, addiction, mal être et surtout on l'accuse notamment de provoquer une baisse d'attention qui entraînerait des chutes dans le peloton (lire notre encadré plus bas).
Sa durée d'action est de 4 à 6 heures, et sa demi-vie d'élimination est de 5 à 7 heures. Comme les autres opiacés, le tramadol a un métabolisme hépatique qui utilise les voies des cytochromes (CYP4502D6), conduisant à la production de nombreux métabolites dont un seul est actif.
Les calmants, également appelés analgésiques, sont souvent utilisés pour atténuer la douleur chronique. Les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que l'ibuprofène et le naproxène peuvent apporter un certain soulagement. L'acétaminophène est également utilisé fréquemment.