manifestations physiques : accélération du rythme cardiaque (palpitations, tachycardie), pâleur, tremblements, transpiration, sensation de d'étouffement ou d'étranglement, douleurs thoraciques, nausées, vomissements, vertiges, maux de tête … signes comportementaux : prostration ou agitation sans but, déambulation …
L'infarctus du myocarde ou crise cardiaque nécessite une prise en charge urgente. Devant une douleur thoracique en étau et diffusant dans les bras et mâchoires ou en présence de signes moins caractéristiques : douleur isolée d'un bras, malaise..., n'hésitez pas à appeler le 15 ou le 112.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Les symptômes de l'infarctus sont une douleur de la poitrine qui dure plus de 20 à 30 minutes. Elle irradie derrière le sternum, dans le dos, les épaules, la mâchoire, ainsi que dans le bras gauche. D'autres symptômes sont possibles : anxiété, sueurs, vertiges, essoufflement, par exemple.
Une douleur très intense et/ou persistante au niveau du coeur nécessite une prise en charge médicale immédiate. Il faut contacter les services d'urgence médicale en composant le 15 ou le 112.
La maladie concerne surtout les hommes de plus de 55 ans et les femmes de 65 à 70 ans. Mais l'infarctus peut survenir plus tôt si les facteurs de risque cardiovasculaire sont cumulés.
La crise cardiaque survient quand une artère du coeur (aussi appelée « artère coronaire ») se trouve soudainement fermée ou bloquée par un caillot de sang. Même si la fermeture se produit soudainement, elle résulte souvent d'un dépôt de plaque qui s'est formé dans les artères au fil du temps.
Crise cardiaque chez les jeunes
Contrairement à une idée répandue, la survenue d'une crise cardiaque avant l'âge de 45 ans survient pour la moitié des cas chez des personnes ayant des facteurs de risque cardiovasculaire préexistants et/ou consommateurs de drogues récréatives.
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
Le signe le plus commun est la douleur ou l'inconfort thoracique. Toutefois, ces dernières peuvent subir une crise cardiaque sans ressentir de pression à la poitrine.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Infarctus ou « crise cardiaque »
La douleur ne cède pas et reste intense sur la durée. La crise d'angoisse peut provoquer des sensations d'étouffement et d'essoufflement. La crise cardiaque ne provoque pas de sensation d'étouffement ou d'essoufflement.
On distingue deux grandes catégories de crises soit les généralisées ou les focales. La crise généralisée touche l'intégralité du cerveau tandis que la crise focale se situe dans une région précise du cerveau appelée région focale. Ces deux catégories de crises renferment différents types de crises.
D'une part, la crise d'angoisse peut être déclenchée par un "processus névrotique", c'est-à-dire par le conflit qu'engendre l'existence simultanée d'un désir et d'un interdit pour un même objet. D'autre part, elle peut avoir pour origine une phobie, correspondant à une peur maladive liée à un mauvais souvenir.
Qu'est-ce qu'une crise d'angoisse ? Une crise d'angoisse est un épisode imprévisible de peur intense qui déclenche des symptômes physiques violents. Elle se caractérise par une forte crise de panique associée à une impression de mort imminente et de perte de contrôle de soi.
Avoir peur d'être atteint d'un cancer, de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie grave… Selon un sondage, 13% des Français sont angoissés à l'idée d'être malade ou de le devenir, même sans en présenter les symptômes. Quand cette angoisse vire à l'obsession, on parle d'hypocondrie.
Cela se produit lorsque le cerveau n'envoie pas les signaux électriques appropriés aux muscles qui contrôlent les mécanismes respiratoires pendant le sommeil et que l'on pense que cela provient d'un problème au niveau du tronc cérébral.
Les cause d'une douleur à la poitrine sont multiples. Elle peut être liée à un infarctus du myocarde, une embolie pulmonaire, une péricardite, une dissection aortique. Cela peut être aussi des douleurs liées à des pathologies pulmonaires, des douleurs projetées d'origine digestive.
L'IDM du sujet jeune touche préférentiellement les hommes avec une prévalence comprise entre 79 et 95 % selon les séries [1]. Dans l'enquête FAST-MI 2015, 85 % des patients (≤ 45 ans) pris en charge étaient des hommes. Le tabagisme actif est rapporté comme le principal facteur de risque dans cette population.
La pointe au coeur est une forme de douleur thoracique, dont les causes peuvent être multiples. Elle peut être due à l'angoisse. Elle se traduit par une douleur vive, comme une décharge électrique ou un picotement aigu au niveau de la poitrine.
Bien souvent, cette sensation est très angoissante, aggravant ainsi la douleur. Parfois, le point au cœur peut déclencher de véritables attaques de panique avec une sensation de mort imminente. Dans tous les cas, lorsque la cause cardiaque a été écartée, le point au cœur s'explique par une anxiété qui déborde.