« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
-Conclusion: -'On' = Un pronom indéfini qu'on peut remplacer par le pronom personnel 'il' ou 'nous' et la phrase reste correcte . -'Ont' =Verbe ou auxiliaire 'avoir' conjugué à la 3e personne du pluriel au présent et qu'on peut conjuguer à l'imparfait et la phrase reste correcte.
Ses est un adjectif possessif ADJECTIFS POSSESSIFS, qui marque l'appartenance. Il aime ses chiens. Ces est un adjectif démonstratif ADJECTIFS DEMONSTRATIFS, qui sert à designer quelqu'un ou quelque chose. Tu as vu ces gens ?
Pour bien faire la différence entre tout et tous, que l'on parle d'un adverbe, d'un adjectif ou d'un nom, une règle simple permet de ne jamais se tromper. Il faut identifier dans quel cas suivant on se trouve : Tout : masculin singulier. - Tout le vin a été bu.
Règle pour écrire « ses » : « ses » est un possessif, il est utilisé pour exprimer la possession de quelque chose par quelqu'un. Là encore, « ses » est la forme plurielle de « son » ou « sa. » Il suffit donc d'essayer de le remplacer par sa forme au singulier pour savoir s'il faut écrire « ses » avec un « s. »
Quand on n' précède un verbe, il y a toujours une deuxième négation qui suit (rien, pas, jamais...) ou que pour exprimer une restriction (ne...que). Quand le pronom indéfini on se trouve devant un verbe qui commence par une voyelle, remplace-le par le pronom il pour savoir si tu dois écrire la négation n'.
Exemple : ''Le travail qu'ont effectué nos collaborateurs est excellent.'' « Qu'ont » est la réunion du pronom relatif « que » et du verbe avoir conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif. On peut remplacer « qu'ont » par « qu'avaient ».
Déjà, il ne faut pas confondre les mots on et ont : écrire ont t'aime n'est pas correct. Ensuite, il faut accorder le verbe correctement, et donc ne pas écrire on t'aiment . Et enfin, ne pas additionner ces deux erreurs, en écrivant ont t'aiment !
Pronom indéfini
Ce “on” est très souvent utilisé dans les proverbes ou maximes. Pour vérifier qu'il s'agit d'un pronom indéfini, remplacez “on” par “quelqu'un”, “tout le monde” ou “l'homme”. Son verbe se met toujours à la troisième personne du singulier.
L'article se place devant on si ce dernier suit que et ses composés lorsque, puisque, quoique pour éviter le son "con". Quoi que l'on en dise, les résultats ne sont pas si mauvais (mieux que quoi qu'on en dise). Il est difficile de s'arrêter lorsque l'on a commencé jeune (mieux que lorsqu'on a commencé).
À l'inverse, on est préférable à l'on
a) Quand on est suivi d'un mot commençant par l, pour éviter une allitération (répétition d'une même consonne). On se cultive quand l'on lit beaucoup. On se cultive quand on lit beaucoup. Cela demeure vrai dans les cas présentant un hiatus.
L'accord du verbe conjugué avec le pronom on comme sujet se fait toujours à la 3e personne du singulier. Le pronom on a la même valeur qu'un il, il commande donc un accord à la 3e personne du singulier. On en parle, mais on n'en sait pas plus. On avait des données importantes à lui transmettre.
Quand on a la valeur d'un pronom personnel (on représente des personnes particulières, il peut être remplacé par je, tu, nous, vous), les accords peuvent se faire au masculin ou au féminin et au singulier ou au pluriel selon le genre et le nombre des personnes désignées par on.
, c'est-à-dire lorsqu'il signifie les êtres humains en général, les gens, l'adjectif se met au masculin singulier : On n'est pas raisonnable quand on est amoureux. Il y a un siècle, on était plus petit.
Les deux sont corrects. Dans un langage soutenu, on préfèrera que l'on. Si on est suivi d'une voyelle, on préfèrera que l'on : Je viens d'apprendre que l'on avait cambriolé la pharmacie.
Vous vous trompez effectivement sur ce qu'est un COD.
La réunion a duré longtemps. Le sujet du verbe « durer » est ( … qui est-ce qui a duré ? ) « la réunion ». —> les réunions ont duré longtemps.
Le pronom on
On écrit sans t le pronom indéfini on. Il occupe toujours la place de sujet. Si on vous en parle, faites-le moi savoir. On peut s'assurer que l'on a affaire au pronom quand on peut le remplacer par un autre pronom.
La langue soutenue et l'Académie française refusent l'emploi de la locution « des fois », courant dans le français de tous les jours. Il faudrait lui préférer des synonymes, comme « parfois », « quelquefois« , « de temps en temps », « de temps à autre », ou les plus littéraires « maintes fois », « bien des fois », etc.
Voici une petite explication toute simple. -> On utilise tout, quand ce qui suit est au singulier. -> On utilise tous, quand le nom qui suit est au pluriel. tout = adjectif féminin : toute, pluriel : tous, toutes.
Il conviendrait d'écrire: On n'est qu'au début du processus de négociation. On n'en est qu'au début. (écrit après avoir parlé du processus de négociation: Le processus de négociation est en cours mais on n'en est qu'au debut. )
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Le mot « c'est » : -il peut être remplacé par « ceci est ». C'est de la bouillie. Ceci est de la bouillie.
Exemple : C'était aussi mon cahier de l'année dernière (mon = déterminant possessif, cahier = nom masculin). Tandis que, dans une phrase « s'était » est précédé d'un participe passé, ou d'un adjectif qualificatif. Cet homophone ne peut être utilisé qu'avec la troisième personne du singulier.