Lors de ces piqûres sauvages, l'agresseur peut alors injecter une substance dans votre organisme. Les symptômes rapportés par les témoignages sont divers : bouffées de chaleur, sueurs froides, vertiges, malaise, black-out...
Avec l'usage du GHB à des fins criminelles dans les boîtes de nuit, c'est le phénomène des piqûres mystérieuses qui prend de l'ampleur dans ces mêmes établissements. Et un peu partout en France.
Piqûre de moustique : rougeur circulaire de la taille d'une pièce de un euro. Piqûre de tique : un point noir inhabituel sur la peau. Piqûre de puces : éruptions cutanées et apparition de boutons roses ou rouges. Piqûre d'araignée : démangeaisons de la peau, gonflement et rougeur de la zone mordue.
Parmi les facteurs mis en avant par les nombreuses études scientifiques qui expliquent ce phénomène : la température corporelle (en gros au plus on dégage de chaleur au plus on se fait piquer), l'humidité (si on est tout moite, on a plus de chance d'être attaqué) et le dioxyde de carbone que nous expirons.
Des personnes disent avoir été piquées au moyen d'une seringue, droguées pour certaines. S'il est difficile d'en savoir plus sur ce phénomène – psychose ou vrai danger -, les salles de concerts s'adaptent pour assurer la sécurité des usagers.
Effets : quels sont les symptômes d'alerte ? Sensations de malaise, tête qui tourne, bouffées de chaleur, "trous noirs", nausées, amnésie ou encore trouble du comportement sont rapportés par les victimes.
En France, du GHB - aussi appelé la drogue du violeur - a été retrouvé dans le sang de quelques victimes début mai à Roanne (Loire). Plusieurs femmes avaient subi des piqûres dans une boîte de nuit de la ville.
1. Introduction dans l'organisme d'une aiguille pleine (acupuncture) ou creuse (injection, ponction), dans un dessein thérapeutique ou diagnostique. 2. Perforation de la peau ou d'une muqueuse faite par un instrument, un insecte, une plante, etc. ; la plaie ainsi produite.
Les drogues peuvent être injectées dans une veine (voie intraveineuse), un muscle (voie intramusculaire) ou sous la peau (voie sous-cutanée).
Le GHB est un sédatif puissant, entraînant un sommeil très profond qui peut durer plusieurs heures et durant lequel la personne peut vomir et s'étouffer.
Selon les chercheurs, ces insectes seraient attirés par le rouge, l'orange et le noir. Ceux qui se sentent particulièrement en proie à leurs redoutables piqûres devront donc opter pour des tenues teintées de vert, de bleu clair, de violet ou encore de blanc.
Le truc, c'est que certains ne s'en rendent même pas compte, comme l'explique notre entomologiste : « Quand le moustique pique, il injecte un peu de sa salive, dont l'effet est anesthésiant. Lorsque le corps commence à se débarrasser de cette substance étrangère, une sensation de démangeaison peut apparaître.
Une étude a constaté que les personnes de type O et A étaient plus susceptibles d'attirer les moustiques que ceux de type B. 85 % des gens sécrètent un signal chimique à travers leur peau qui indique leur type de groupe sanguin.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Le "sniff" : La drogue sous forme de poudre est aspirée par le nez à l'aide d'une paille. Ce mode de consommation entraîne fréquemment des irritations des muqueuses nasales, parfois des nécroses des paroies nasales ainsi que des problèmes pulmonaires.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Il se peut qu'il soit très évasif par rapport à ses allées et venues, ou à ses activités. L'adolescent qui se drogue aura souvent un comportement fuyant; il évitera de vous regarder dans les yeux, il passera le plus de temps possible isolé dans sa chambre, il sera peut-être bourru et arrogant en votre présence.
Dans la liste des drogues qui font maigrir, on retrouve : le cannabis, le CBD, la cocaïne, l'ecstasy ou encore la cigarette...
Piqûres à la seringue : enquête sur le phénomène qui inquiète police et soignants avant l'été Les enquêteurs recensent 461 victimes d'injections sauvages à travers le pays, en majorité des femmes. Les analyses n'ont pas détecté la présence de drogues. Des expertises ciblant plus de produits sont en cours.
Ce sont essentiellement des étudiantes victimes de piqûre dans les lieux festifs, mais là encore aucun produit toxique n'a été repéré. Et aucun suspect n'a été arrêté.