Il est impossible d'agir directement sur le volume de vapeur d'eau que renferme l'atmosphère, car l'eau est présente partout – elle couvre 71 % de la surface terrestre.
La disparition progressive de l'eau (H2O) se déroule dans la très haute atmosphère de Mars : le rayonnement solaire et la chimie dissocient les molécules d'eau en atomes d'hydrogène et d'oxygène que la faible gravité martienne ne peut empêcher de s'échapper dans l'espace.
L'élévation des températures conduit donc à une augmentation des concentrations de vapeur d'eau atmosphérique. Puisque la vapeur d'eau absorbe le rayonnement infrarouge, on a alors un renforcement de l'effet de serre, qui conduit à une augmentation supplémentaire des températures.
La principale raison est que la vapeur émise par les activités humaines se transforme en liquide avant d'atteindre le haut de la troposphère, augmentant ainsi le couvert nuageux et retombant rapidement sous forme de pluie [6]. Nos émissions de vapeur d'eau ne jouent donc pas de rôle de GES.
En rencontrant des températures plus basses, cette dernière subit un phénomène de condensation. Elle se condense en fines gouttelettes formant les nuages. Puis, les gouttelettes grossissent et finissent par tomber sous forme de pluie ou de neige, c'est l'étape des précipitations.
Le changement climatique accroît la pression sur les masses d'eau. Des inondations et sécheresses à l'acidification des océans et à l'élévation du niveau des mers, les incidences du changement climatique sur l'eau devraient s'intensifier dans les prochaines années. Ces changements suscitent des mesures en Europe.
Le rôle de la vapeur d'eau est d'humidifier l'atmosphère et diminuer l'oédème des voies respiratoires. C'est donc un moyen très efficace pour soulager les laryngites et les toux rauques ou pénibles.
La Veille de l'atmosphère globale mesure la vapeur d'eau atmosphérique en raison du grand rôle que joue cette dernière dans le système climatique, en tant que puissant gaz à effet de serre et agent de formation des nuages.
La vapeur d'eau est un gaz qui se forme lorsque l'eau passe de l'état liquide à l'état gazeux.
Vapeur d'eau atmosphérique et cycle :
L'eau s'évapore de la surface de la Terre et monte dans l'atmosphère terrestre dans des courants chauds. Elle se condense en nuages, est balayée par le vent, puis retombe sur la Terre sous forme de pluie, de grêle ou de neige.
En fait, le cycle de l'eau a de nombreux effets sur le climat, au niveau local, mais au niveau global le plus important reste son effet amplificateur du dérèglement climatique, car la vapeur d'eau est le premier gaz à effet de serre, effectivement elle contribue à 60 % à l'effet de serre.
La vapeur d'eau, contenue dans les nuages ou les fumées des tours des centrales nucléaires est un puissant gaz à effet de serregaz à effet de serre (GES).
La vapeur d'eau autrement dit vapeur, est de l'eau à l'état gazeux. Elle se produit à pression atmosphérique à partir du point d'ébullition soit 100°C. Lorsqu'elle est comprimée, la vapeur est supérieure en température. Par exemple à 10 bars (10 fois la pression atmosphérique) la vapeur est à 180 °C.
Les gaz à effet de serre (GES) sont des composants gazeux qui absorbent le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre et contribuent ainsi à l'effet de serre. L'augmentation de leur concentration dans l'atmosphère terrestre est l'un des facteurs à l'origine du réchauffement climatique.
La structure de l'eau dépend de son état physique. L'état gazeux (vapeur) correspond exactement à la formule H2O et en particulier au modèle angulaire (figure 1).
La transformation du kilogramme d'eau liquide en gaz ou vapeur d'eau, appelée vaporisation, nécessite une quantité importante d'énergie appelée chaleur latente de vaporisation ou enthal- pie de vaporisation.
Dans les 100 premiers kilomètres, l'atmosphère est composée à 91 % d'azote et d'oxygène. Ses autres constituants sont les cinq gaz nobles : argon, néon, hélium, krypton et xénon ainsi que le gaz carbonique, l'hydrogène, le méthane, l'oxyde d'azote, l'ozone et la vapeur d'eau.
Dans le cas de l'air humide, la pression partielle (p_h2o/p_tot) d'eau vapeur est minuscule par rapport à la pression partielle d'air sec. Du coup, ça signifie que les molécules d'eau vapeur n'ont que très très peu d'interactions entre elles dans tout le volume, ce qui en fait un gaz parfait dans cette situation.
L'air chaud et humide monte, en montant il se refroidit, donnant de son énergie à l'air qu'il rencontre. L'eau qu'il contient se refroidit donc aussi, et en se refroidissant arrive à la température de point de rosée et se condense. Donc plus on monte dans la salle de bain, plus il y a de brume.
Eau et santé
L'eau contaminée et le manque d'assainissement entraînent la transmission de maladies comme le choléra, la diarrhée, la dysenterie, l'hépatite A, la fièvre typhoïde et la poliomyélite.
L'intensité accrue des précipitations pourrait aggraver la pollution de l'eau, dans la mesure où ces précipitations emmèneraient avec elles davantage de polluants vers les aquifères souterrains, et ce d'autant plus que l'érosion associée à des précipitations intenses rend ces substances plus mobiles.
Pour les connaisseurs, on parle ainsi de AGW soit "Anthropogenic global warming".
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.