Les symptômes d'un traumatisme crânien sont multiples : maux de tête, nausées et vomissements, et diverses atteintes neurologiques comme des pertes de sensibilité, de la motricité ou une aphasie, une somnolence ou des troubles visuels.
L'examen clinique : des maux de tête intenses ou persistants, une perte de connaissance, des vomissements répétés, l'apparition d'une paralysie, des convulsions, sont des signes de gravité.
Si le choc est difficile à apprécier, consultez tout de même un médecin; mais cela devient urgent si la victime se plaint de maux de tête, s'il y a perte de connaissance, de maux de tête, de troubles de l'équilibre ou de trouble de la mémoire, de troubles de la vision, des vertiges, ou des difficultés à bouger les bras ...
La victime s'est cognée la tête non violemment. La douleur du choc a rapidement disparu. Si la victime ne présente aucune symptôme inhabituel, consulter un professionnel de la santé n'est pas nécessaire, sauf si l'état de santé se détériore.
Les symptômes sont notamment un mal de tête persistant, de la somnolence, de la confusion, des troubles de la mémoire, une paralysie du côté opposé du corps, des troubles de la parole ou du langage et d'autres symptômes qui dépendent de la région cérébrale lésée.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
De mauvaises nuits néfastes au nettoyage du cerveau
"Le sommeil jouerait un rôle important dans le nettoyage des déchets dans le cerveau après un traumatisme crânien, si vous ne dormez pas bien, vous ne pourrez pas nettoyer votre cerveau correctement", résume Juan Piantino, auteur principal de cette recherche.
Le risque n'est habituellement pas lié à la présence d'une éventuelle fracture du crâne, qui ne nécessite en principe pas de traitement particulier, mais à une possible atteinte du cerveau (la plupart du temps par ébranlement) à l'intérieur de la boîte crânienne.
La fatigue mentale est une plainte majeure retrouvée chez 30 à 70 % des patients traumatisés crâniens [45].
Perte de connaissance prolongée ou altération du niveau de conscience. Désorientation ou confusion; amnésie. Accentuation des céphalées. Vomissements répétés ou persistants.
Selon l'échelle de Glasgow, nous pouvons classer le traumatisme crânien en trois niveaux : – mineur si GCS ≥ 13 ; – modéré si GCS entre 9 et 12 ; – sévère si GCS ≤ ou égale à 8. L'examen des pupilles comprend la taille, la réactivité et la symétrie.
La névralgie d'Arnold est une douleur nerveuse à type de brûlure de décharge ou d'élancement qui fait suite a un traumatisme léger ou important. Elle est généralement unilatérale, avec une sensation douloureuse qui suit le trajet en casque du nerf (c'est à dire de la base du crâne jusqu'à l'arcade sourcilière).
« Un traumatisme crânien se traduit fréquemment par une commotion cérébrale qui peut entraîner une altération du fonctionnement des neurones », explique le neurologue Jean-François Chermann. « Concrètement, on ne perd pas directement des neurones.
Des difficultés d'élocution. Une fatigue accrue. Des difficultés de mémorisation, de concentration, de compréhension… Une apathie ou au contraire une irritabilité, une impulsivité, une désinhibition, des troubles de l'humeur…
Les signes et symptômes d'une commotion cérébrale
Environ une personne sur cinq ressentira ses premiers symptômes jusqu'à 72 heures après avoir subi un traumatisme à la tête.
Concrètement, un choc à la tête peut entraîner deux types d'atteinte cérébrale: soit le cerveau a heurté la boîte crânienne (la cavité osseuse qui le protège) soit il s'est déplacé à l'intérieur de celle-ci à la suite d'un freinage brutal (phénomène d'accélération-décélération) ou d'une forte secousse (bébé secoué).
La première cause de traumatisme crânien est représentée par les accidents de la voie publique, la deuxième par les chutes, ce qui désigne les personnes âgées ou alcooliques à risque.
Les vomissements : attention, ils peuvent être fréquents après un traumatisme crânien. Dans le cerveau, il existe une zone appelée « Trigger zone » ou « zone du vomissement ». Stimulée au moment du choc, cette zone peut faire vomir l'enfant. Un vomissement simple n'est donc pas exceptionnel.
Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
On doit suspecter une commotion cérébrale en présence de l'un des signes ou symptômes suivants : Confusion, désorientation; ne pas se souvenir de l'heure, du lieu, de l'activité, de l'équipe adverse ou du pointage. Amnésie; ne pas se rappeler ce qui s'est passé avant, pendant ou après le choc.