On distingue donc trois axes : l'axe de roulis autour duquel s'incline l'avion ; l'axe de tangage autour duquel l'assiette augmente, ou diminue ; l'axe de lacet autour duquel la direction, le cap, augmente, ou diminue.
- le fuselage avant; - le fuselage central (peut comporter une ou plusieurs parties selon la taille de l'appareil); - le fuselage arrière; - la pointe arrière du fuselage arrière; - les ailes; - l'empennage vertical; - l'empennage horizontal; - les moteurs et attaches de moteurs; - les becs (hypersustentateurs), montés ...
Explication: en réalité, les avions volent bien en ligne droite, mais en suivant la courbe de la terre. C'est la projection de la terre, ronde, sur une carte plane qui donne l'impression de ne pas prendre la trajectoire la plus courte.
La voilure est la surface assurant la portance d'un aérodyne par déflexion d'une masse d'air, due à son mouvement. Dans le cas d'un appareil « à voilure fixe » (avion ou planeur) il s'agit de l'aile, par opposition à un appareil à voilure tournante (hélicoptère, autogire), où il s'agit d'un rotor.
Les ailes sont la source de portance de l'avion. Ils sont fixés près du sommet du fuselage sur les avions à voilure haute comme le Cessna 162 et au bas du fuselage sur les avions à voilure basse, comme le Terrafugia Transition. L'avant de l'aile est appelé bord d'attaque et l'arrière de l'aile est appelé bord de fuite.
Le cockpit, ou habitacle, est la partie de l'aéronef offrant une visibilité vers l'avant et sur les côtés de l'appareil, où sont installés le ou les pilotes de l'avion et éventuellement d'autres membres de l'équipage (dans les anciens avions de transport de passagers, avec un équipage à trois, ou dans certains avions ...
Re : Calculer trajectoire verticale d'un avion
Exemple, si perte de moteurs à 3000 m d'altitude, l'avion peut parcourir 3000*17 = 51000 m (51 km) avant d'arriver au sol. MAIS, ces 51000 m (dans l'exemple) est une distance par rapport à l'air qui diffère de la distance par rapport au sol en cas de vent.
L'air passe sur ses ailes bombées et quand la vitesse est suffisante, l'accélération les fait monter comme si elles étaient aspirées vers le haut. En même temps, le dessous de chaque aile étant plat, l'air qui arrive par en-dessous “pousse” l'appareil.
Il vous faut de la portance, une force verticale allant vers le haut pour contrer la gravité et soulever l'avion du sol. C'est le travail des ailes. Quand un oiseau bat des ailes, la source de cette poussée ascensionnelle est assez évidente.
Définition. Voler dans la même direction, les ailes à l'horizontal et à une altitude constante et à une vitesse choisie. Vol rectiligne : Voler en ligne droite à vitesse constante. Vol en palier : Voler à la même altitude.
Le fuselage est la carcasse en forme de fuseau constituant le corps d'un avion ou d'un planeur et dont la forme facilite la pénétration dans l'air. Il est, avec la voilure, l'empennage et le train d'atterrissage, un constituant de la cellule d'un aérodyne.
Dans le jargon aéronautique le nez désigne la partie avant du fuselage d'un aéronef.
Les turboréacteurs sont utilisés sur tous les avions civils moyen et gros porteurs, car ils sont les seuls à pouvoir atteindre des vitesses transsoniques (entre mach 0,8 et mach 1) de manière économique.
Sur la quasi-totalité des routes aériennes, une altitude correspond à une direction et une vitesse, et les avions sont donc alignés à grande distance les uns derrière les autres à vitesse stable, gardant un espacement constant.
Comment démontretons que la force de portance subie par l'aile d'un avion vaut : F=1/2*rho*S*v²*Cz ?
Elle dépend, entre autres, de la masse à l'atterrissage, de la température et de la pression atmosphérique. Elle peut être légèrement majorée en cas de vent de face. On peut retenir comme valeur moyenne 140 nœuds (environ 260 km/h).
Généralement lors d'un vol en jet d'affaires, les 2 pilotes ont des fonctions qui se complètent. L'un est le commandant de bord, le pilote principal, l'autre est son co-pilote capable de le relayer à tout instant, mais aussi de prendre en main d'autres missions annexes lors du trajet.
Empr. à l'angl. cockpit désignant à l'origine une arène de combats de coqs, composé de cock « coq » et pit « fosse, emplacement, parterre ».
Aux débuts de l'aviation le pilote était souvent appelé aviateur. Ce terme dérivé du mot avion (néologisme créé en 1875 par Clément Ader) a été repris dans différentes langues. Mais les termes aviator en anglais, ou Aviatiker en allemand, sont aujourd'hui remplacés par le pilot ou Flugzeugführer (conducteur d'avion).
L'avant de l'appareil est l'endroit le plus calme de l'avion. Si vous choisissez une place à l'avant, les moteurs se situeront généralement derrière vous et il devrait donc y avoir moins de bruit. Ce n'est pas pour rien que les classes affaires et premium sont situés à l'avant des appareils !
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol.
Étymologie. (1875) Ce mot est au départ un nom propre, créé vers 1875 par son inventeur Clément Ader, à partir du mot latin avis (« oiseau ») et du suffixe -on (brevet déposé en 1890). En effet, si son premier prototype s'appelle l'Éole, Ader baptise son second Avion II, et le suivant Avion III.