La bradycardie se diagnostique via un examen appelé électrocardiogramme, qui permet d'enregistrer l'activité électrique du cœur. L'électrocardiogramme permet de savoir la fréquence, la synchronicité ou encore la régularité de l'excitation électrique des atriums et des ventricules.
En dessous de 60 battements par minute, le cœur est en situation de bradycardie. Ce n'est pas forcément pathologique. Les sportifs bien entraînés, comme les marathoniens, ont un rythme cardiaque naturellement lent, autour de 40 battements par minute au repos.
Le Scanner cardiaque : il permet d'obtenir une image détaillée des artères coronaires en quelques minutes, pour détecter des plaques de cholestérol (athérome) qui peuvent rétrécir le calibre de l'artère ou l'obstruer totalement. Si cet examen est normal, le pronostic dans les 5 ans suivants est excellent.
La bradycardie (ou plus simplement bradycardie sinusale) est une arythmie associée à un rythme anormalement lent du cœur (moins de 60 fois par minute). Cette pathologie est généralement asymptomatique. Chez certains patients, néanmoins, la bradycardie peut provoquer des vertiges, une faiblesse ou des évanouissements.
Ce type de tachycardie, qui se traduit par un pouls compris entre 120 et plus de 200 battements par minute, peut être grave et nécessite une prise en charge médicale urgente. En effet, quand elle se produit, les ventricules peinent à se remplir et à se contracter de façon optimale.
Les arythmies peuvent se produire par crises passagères, pendant plusieurs jours ou durablement. Il convient de consulter un médecin en cas de battements de cœur trop forts, accélérés ou irréguliers ou de palpitations, en particulier si les symptômes mentionnés ci-dessus les accompagnent.
Un électrocardiogramme (ECG) d'effort, ou épreuve d'effort, enregistre la réaction de votre cœur au cours d'un exercice physique soutenu, habituellement en marchant sur un tapis roulant. Il sert à mesurer l'activité électrique du cœur, la pression artérielle et le rythme cardiaque.
On estime que chez l'adulte, au repos, une fréquence cardiaque normale est comprise entre 60 et 100 battements par minute (bpm). Elle est légèrement plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Le cœur des enfants bat plus rapidement : chez le nouveau-né, entre 120 et 160 fois par minute !
L'exercice physique contribue à renforcer le cœur pour qu'il travaille plus efficacement. Il permet d'augmenter le bien-être et l'autonomie. Lorsque l'insuffisance cardiaque est stable, il est recommandé de pratiquer une activité physique modérée comme la marche.
À plus long terme, le tabac abîme progressivement les artères. Le risque est la même, quel que soit le type de tabagisme (cigarettes avec ou sans filtre, pipe, cigare, narguilé, tabac à mâcher, etc.) Le risque cardiovasculaire (et particulièrement d'infarctus du myocarde) est augmenté en cas de tabagisme passif.
Elle est le plus souvent attribuable à un muscle cardiaque endommagé par une crise cardiaque (infarctus du myocarde) et la coronaropathie. Une autre cause fréquente de l'insuffisance cardiaque est une pression artérielle trop élevée (hypertension artérielle).
La bradycardie peut être due à une anomalie du système nerveux autonome, à une maladie du muscle cardiaque ou à l'utilisation de certains médicaments. Une bradycardie peut être asymptomatique ou provoquer des symptômes tels que la fatigue, l'essoufflement, la syncope (évanouissement) ou la mort subite.
Lorsqu'une personne est atteinte de bradycardie, son cœur bat à moins de 50 pulsations par minute. À ce rythme, le cœur n'est pas capable de pomper suffisamment de sang riche en oxygène vers le reste du corps, pendant les activités quotidiennes ou une séance d'exercice physique.
Lorsque le cœur est sain, une bradycardie sinusale n'est généralement pas grave. Elle devient problématique lorsqu'elle entraîne des évanouissements ou des signes d'insuffisance cardiaque.
En dessous de 40 et au-dessus de 120, signe d'une possible fibrillation cardiaque, il faut absolument consulter. Pour prendre son pouls, deux points de pression sont possibles: la carotide sur le côté à la base du cou, ou l'artère radiale sur l'intérieur du poignet.
La puissance du coeur est une inépuisable source d'amour, de sagesse et d'intelligence en chacun d'entre nous et à la portée de tous. C'est une puissance qui surpasse celle de l'intelligence cérébrale. C'est votre véritable identité et votre puissance authentique.
Au repos, chez un adulte, une fréquence cardiaque comprise entre 55 et 85 est normale. A partir de 100 battements par minute et plus au repos, un avis médical est justifié.
Durant la nuit, il est tout à fait normal d'observer une baisse de la fréquence cardiaque, qui peut diminuer de 20 à 30%, parfois même jusqu'à 40 battements par minute sans que cela soit considéré comme inquiétant.
Lors d'un effort physique ou d'un stress important, le cœur a besoin de plus d'oxygène pour subvenir à la demande. Lorsqu'il n'en reçoit pas assez, on ressent alors un serrement, une douleur ou une brûlure au centre de la poitrine : c'est ce qu'on appelle une « crise d'angine ».
Un pouls au repos inférieur à 60 pulsations par minute est le signe d'un rythme cardiaque lent (bradycardie). Chez les sportifs ou les personnes bien entraînées, un pouls au repos compris entre 50 et 60 pulsations est en revanche normal.
L'impact du stress se manifeste d'abord dans le cerveau, mais il entraîne par la suite des effets sur tout le corps, y compris, bien sûr, le cœur et le système circulatoire. Combattez les maladies du cœur avec nous.
En 2005, une étude anglaise prouve que certains anti-inflammatoires non stéroïdiens, et en particulier ceux à base d'ibuprofène et de diclofénac, augmentent le risque d'infarctus.