1- Les élèves sont motivés s'ils se sentent capables de réaliser la tâche. Les élèves qui estiment avoir les qualités nécessaires pour réaliser la tâche demandée vont se lancer plus facilement dans l'activité, vont persévérer et ne pas craindre la difficulté.
Six dimensions de la motivation pour le travail scolaire ont été mesurées : le sentiment d'efficacité personnelle, la valeur intrinsèque, l'anxiété face au test, l'orientation envers la tâche, l'orientation envers soi et la tendance au moindre effort.
D'après les travaux sur la motivation scolaire, un élève motivé est un élève qui s'engage, participe et qui persiste dans une activité d'apprentissage. l'autre (les élèves, le professeur), de l'activité proposée (valeur, contrôlabilité/maîtrise). ➢ Le plaisir que l'acticité lui procure.
Vous pouvez par exemple : Instaurer une enquête annuelle sur la satisfaction de vos salariés et l'accompagner d'un NPS. Faire un point tous les mois ou tous les trimestres sur vos KPI les plus importants comme le turn-over et l'absentéisme. Mettre en place un système de boîte à idées dans les différents services.
Dans une recension de la littérature portant sur l'engagement de l'élève, Fredricks, Blumenfeld et Paris (2004) distinguent trois dimensions dans l'engagement de l'élève : la dimension comportementale, la dimension émotionnelle et la dimension cognitive.
Un élève engagé se distingue par sa volonté d'apprendre, son intérêt pour le cours ainsi que ses efforts pour s'approprier les connaissances.
Dans leur théorie d'autodétermination, Deci et Ryan (2002) distinguent trois principaux types de motivation : La motivation intrinsèque; La motivation extrinsèque; L'amotivation.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
Il faut lui parler et l'écouter, sans le culpabiliser. Retrouver du plaisir. Et si cela persiste, n'hésitez pas à consulter un pédopsychiatre ou un psychologue scolaire pour faire le point et comprendre ce qui se passe, avant de se lancer dans des bilans.
Donnez aux élèves un sentiment de contrôle
Par exemple, permettre aux élèves de choisir son type d'affectation ou les problèmes sur lesquels travailler peut leur donner un sentiment de contrôle, qui peut les motiver à faire mieux.
Pour eux, la motivation fait partie du système métacognitif de l'élève : « La motivation scolaire est essentiellement définie comme l'engagement, la participation et la persistance de l'élève dans une tâche » (Tardif 1992, p. 91).
Il se peut même qu'un élève qui ne semble pas motivé éprouve en fait des difficultés à apprendre et ait besoin d'une attention particulière. Bien que la motivation scolaire puisse être une tâche difficile à accomplir pour l'enseignant, les récompenses en valent largement la peine.
Actions possibles pour l'enseignant :
Rappeler régulièrement aux élèves qu'ils ont le droit de tromper. Que l'erreur est même un devoir si nous voulons la bonne méthode pour réussir. Les erreurs font partie du processus d'apprentissage. Encourager l'entraide entre les élèves dans les deux sens.
Lorsqu'une personne est motivée à (faire) « quelque chose », elle considère que ce « quelque chose » est nécessaire ou convenable. De ce fait, la motivation est le lien qui fait agir pour répondre à ce besoin.
Résumé : La motivation est l'essence de l'apprentissage. Cela est d'autant plus vrai dans le cas de l'apprentissage en ligne. En effet, la motivation donne l'envie à accomplir des tâches, d'apprendre des nouveaux savoirs à avancer dans le processus de l'apprentissage.
La motivation peut aider un travailleur à atteindre ses objectifs personnels, et peut faciliter l'épanouissement d'un individu. Une fois que ce travailleur a atteint certains objectifs initiaux, il réalise le lien évident entre l'effort et les résultats, ce qui le motivera davantage à poursuivre à un niveau élevé.
Pour les évaluations collectives : Les difficultés récurrentes, les points d'appuis, les groupes de besoin qui se dégagent... Des idées de pistes à explorer en fonction des besoins et envies de chacun : adaptations, jeux, outils, attitudes à adopter, astuces, idées d'actions de prévention, de projets de remédiation...
Elève "en difficulté" ou élève "en échec"
Même si la notion d'échec est toujours relative, ce terme est habituellement appliqué à un élève qui a accumulé un important retard dans les domaines scolaires. Ainsi, l'enfant qui possède un niveau CP en lecture et se trouve au CM est considéré en échec à l'école.
La compétence peut être évaluée de différentes façons : à l'écrit, à l'oral ou en acte. Parfois, la simple observation de ce que fait un élève suffit, telle que sa posture par exemple pour accueillir un client. L'évaluation formative est au cœur de l'évaluation par compétences.