Deux fonctions et sont réciproques l'une de l'autre équivaut à : quel que soit , si l'image de par la fonction est , alors l'image de par la fonction est . La notation de la réciproque de est . Par définition, f ( a ) = b ⟺ f − 1 ( b ) = a .
De façon générale, une fonction dont l'ensemble de départ est et l'ensemble d'arrivée admet une réciproque si à tout élément de l'ensemble correspond un unique élément de l'ensemble , et si tout élément de l'ensemble est l'image d'un unique élément de l'ensemble . On dit que est une bijection de sur ...
4. Réciproque d'une fonction. On utilise la réciproque d'une fonction y=f(x) lorsqu'on veut exprimer la variable x en fonction de la variable y, c'est-à-dire : x=f−1(y).
Pour démontrer que f f réalise une bijection de R R sur R R , on peut remarquer qu'il s'agit d'une fonction continue, strictement croissante, et telle que limx→−∞f(x)=−∞ lim x → − ∞ f ( x ) = − ∞ et limx→+∞f(x)=+∞ lim x → + ∞ f ( x ) = + ∞ .
Une application f : E → F admet une application réciproque si et seulement si elle est bijective. Si f : E → F est bijective, alors f−1 : F → E est bijective. En effet, l'application réciproque associée `a f−1 est f : (f−1)−1 = f.
La réciproque du théorème de Thalès sert à montrer que deux droites sont parallèles.
D'après le théorème des fonctions réciproques, la fonction est dérivable en tout point image d'un tel que. Mais on a : f ′ ( x ) = 0 ⇔ x = 0 , donc est dérivable en tout point autre que. Donc est dérivable sur. Représentation graphique de et de dans un repère orthonormé.
Théorème de la bijection entre segments — Si f est une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle [a, b] et à valeurs réelles, alors elle constitue une bijection entre [a, b] et l'intervalle fermé dont les bornes sont f(a) et f(b).
Si ƒ est continue et strictement monotone sur un intervalle [a ; b], alors pour tout nombre k compris entre ƒ(a) et ƒ(b), alors l'équation ƒ(x) = k admet une unique solution dans [a ; b]. Pour localiser cette solution, on pourra utiliser sa calculatrice.
Théorème (Bijectivité, réciproque et composition) Soient f : E −→ F et g : F −→ G deux applications. (i) Si f est bijective de E sur F, f −1 est bijective de F sur E et : f −1 −1 = f . (ii) Si f et g sont bijectives, g ◦ f l'est aussi et : g ◦ f −1 = f −1 ◦ g−1.
On dit qu'un polynôme P est réciproque lorsque P = Q. Auquel cas, pour x ≠ 0, P(x) = 0 ⇔ P(1/x) = 0.
Réciproque du théorème de Thalès : Si, d'une part les points A,D,C et d'autre part les points A,E,B sont alignés dans le même ordre et si les deux premiers rapports de Thalès sont égaux ( A D A C = A E A B ) alors les droites (DE) et (BC) sont parallèles.
Une fonction est paire si et seulement si sa courbe représentative est symétrique par rapport à l'axe des ordonnées. Une fonction est impaire si et seulement si sa courbe représentative est symétrique par rapport à l'origine du repère. On peut déterminer la parité d'une fonction par le calcul.
Si k \notin J_i alors l'équation f\left(x\right) = k n'admet pas de solution sur I_i. Si k \in J_i alors d'après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l'équation f\left(x\right) = k admet une unique solution sur I_i.
On distingue alors trois cas : Si (d) et (d') sont parallèles et distinctes, le système (S) n'admet aucun couple solution. Si (d) et (d') sont sécantes, le système (S) admet une solution unique.
Étudier le signe du discriminant Δ.
Si Δ < 0, alors cette équation n'admet pas de solutions réelles. Si Δ = 0, alors cette équation admet une solution unique .
Soit f : [a, b] → R une fonction. (1) Soit x0 ∈]a, b[. Alors f est dérivable en x0 si et seulement si f est dérivable `a droite et `a gauche en x0 et fg(x0) = fd(x0). (2) f est dérivable en a si et seulement si f est dérivable `a droite en a.
Il s'agit en fait d'une propriété générale : une fonction n'est pas dérivable aux points où elle n'est pas continue. Pour cet exemple, la solution la plus efficace aurait ainsi été de montrer d'abord que la fonction n'était pas continue et donc pas dérivable.
f (x0) = f1 (x0) + if2 (x0). On dit qu'une fonction f est dérivable sur un intervalle I lorsque f est dérivable en tout point de I. On note f la fonction dérivée de f qui à tout x ∈I associe f (x). Si g ne s'annule pas sur I, f g est aussi dérivable sur I et ( f g ) = f g − fg g2 .
Le théorème de Thalès affirme que dans un triangle, une droite parallèle à l'un des côtés du triangle définit un deuxième triangle aux angles proportionnels à l'aide des deux autres côtés.
Théorème de Thalès (appliqué au triangle)
D'après le théorème de Thalès, si les droites (BC) et (MN) sont parallèles, alors on a l'égalité : \frac{AM}{AB} = \frac{AN}{AC} =\frac{MN}{BC}.
La propriété « Si un quadrilatère est un parallélogramme, alors ses diagonales ont le même milieu » est vraie. Sa réciproque « Si les diagonales d'un quadrilatère ont le même milieu, alors c'est un parallélogramme » est aussi vraie.
Une fonction quelconque n'est en général ni paire ni impaire, même si son domaine de définition est symétrique par rapport à l'origine.
Solution Il faut tout d'abord déterminer la valeur de f(−x). Si f(−x)=f(x), la fonction est paire, si f(−x)=−f(x), la fonction est impaire et si on n'obtient aucune des deux égalités précédentes, la fonction n'est ni paire ni impaire.
La fonction inverse est impaire. La représentation graphique de la fonction inverse admet l'origine du repère pour centre de symétrie.