-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
que Jeanne viendra demain = subordonnée complétive. que Jeanne vienne demain = subordonnée complétive. que Jeanne vienne demain = subordonnée complétive. Une subordonnée complétive occupe une place essentielle dans la phrase : sans elle, la phrase n'a pas de sens.
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé. b) Vous compléterez le dossier que vous avez reçu. c) Je l'aperçois qui arrive en toute hâte.
Une proposition subordonnée relative est toujours introduite par un pronom relatif : -qui –que –quoi –dont -où -lequel et ses composés ( laquelle, desquels ...) La proposition subordonnée relative a toujours la même fonction : elle est toujours complément de l'antécédent du pronom relatif (c.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
La conjonction de subordination n'a aucune fonction dans la proposition subordonnée conjonctive, de même que le mot interrogatif dans la proposition subordonnée interrogatif. En revanche, le pronom relatif occupe une fonction variable dans la proposition subordonnée relative.
Il y a trois types de propositions complétives : la propositions subordonnée introduite par la conjonction que, la proposition infinitive et la proposition interrogative indirecte.
La subordonnée relative est une phrase enchâssée à la suite d'un nom ou d'un pronom.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
La proposition subordonnée relative est complément de son antécédent : « dont je vous ai parlé » est complément de l'antécédent « maison ». La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec.
relative, qui est introduite par un pronom relatif (ex. : J'ai lu le livre dont tu me parlais). Subordonnée relative déterminative. Subordonnée relative explicative.
La subordonnée relative qui m'ont le plus marqué a la fonction de complément du pronom ceux. Du point de vue du sens, la subordonnée relative sert à préciser le sens du nom ou du pronom, à ajouter une caractéristique à ce qu'il désigne.
Lorsqu'une phrase contient plusieurs verbes conjugués, elle est complexe. Exemple : Je vais au concert ce soir et je rentrerai tard. Le verbe conjugué est le noyau d'une phrase, il y a donc autant de propositions que de verbes conjugués.
Mais, ou, et, donc, or, ni, car. Retenez bien cette phrase, et plus jamais vous n'oublierez les sept conjonctions de coordination. Une petite phrase toute simple permet de les retenir : "Mais où est donc Ornicar ?".
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…