Le pronom relatif a une fonction, contrairement aux autres mots qui introduisent une proposition subordonnée. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).
Une proposition est dite conjonctive quand elle commence par une conjonction de subordination (en français : que, dès que, pendant que, quand, parce que, puisque, bien que, quoique, si, même si, etc).
La proposition subordonnée relative est une expansion du nom. Elle est complément de son antécédent auquel elle est rattachée par un pronom relatif simple ou composé. (Le terme « antécédent » vient du fait que le nom développe la relative, est toujours placé avant le pronom relatif).
La proposition subordonnée relative est complément de son antécédent : « dont je vous ai parlé » est complément de l'antécédent « maison ». La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
La proposition subordonnée complétive conjonctive
Elle occupe le plus souvent la fonction de complément d'objet direct (COD) ou indirect (COI) du verbe de la proposition principale : Je veux que tu viennes. La subordonnée « que tu viennes » est COD de « veux ». Je travaille à ce que le projet réussisse.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé.
Elle présente toujours trois caractéristiques : - elle est introduite sans mot subordonnant ; - son verbe est à l'infinitif ; - cet infinitif a un sujet qui est exprimé dans la phrase et qui est différent de celui du verbe de la proposition principale.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
La proposition subordonnée relative est toujours introduite par un pronom relatif : qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses composés. Le pronom relatif a toujours une fonction dans la subordonnée : sujet, COD, COI, complément de lieu, etc. Qui me serre le cœur dans ses replis ardents.
Proposition subordonnée qui est introduite par une conjonction de subordination telle que : que, puisque, lorsque, comme, quoique, quand, si ; ou par une locution conjonctive (bien que, parce que). Exemple : Nous souhaiterions vraiment qu'ils soient présents à notre mariage.
Elle est introduite par un mot subordonnant comme que, quand, lorsque, parce que, bien que… Pour analyser une phrase complexe comprenant une ou plusieurs subordonnées, il faut repérer les mots subordonnants et couper la phrases en propositions : la principale et la subordonnée (ou les subordonnées).
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
En fonction du mot qui les articule (conjonction de subordination, pronom relatif, mots interrogatifs), on va distinguer la Proposition Subordonnée Relative (PSR), la Proposition Subordonnée Conjonctive (PSC) et la Proposition Subordonnée Interrogative Indirecte (PSInterro Indirecte).
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Pour retenir les conjonctions de coordination, une petite phrase existe: Mais où est donc Ornicar. Pour: Mais ou et donc or ni car. Une variante: Mais où est donc Carnior ? Pour Mais ou et donc car ni or.
La conjonction de subordination n'a aucune fonction dans la proposition subordonnée conjonctive, de même que le mot interrogatif dans la proposition subordonnée interrogatif. En revanche, le pronom relatif occupe une fonction variable dans la proposition subordonnée relative.
Membrane muqueuse transparente qui recouvre la face interne des paupières (conjonctive tarsale) et tapisse une partie du globe oculaire (conjonctive bulbaire).
Une proposition subordonnée relative est une proposition dépendante d'une proposition principale, et elle est toujours introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, etc.) une locution pronominale (ce que, ce dont, etc.) ou un relatif indéfini complexe (qui que, quoi que, etc.).