Comment savoir si je suis en zone inondable ? Vous souhaitez savoir si vous risquez de vous faire inonder ? Pour le savoir, il vous pouvez vous renseigner directement auprès de votre préfecture ou votre mairie. En effet, celles-ci possèdent les documents où sont notifiées les différentes zones inondables.
Autre façon de savoir si votre logement est en zone inondable : consulter à la mairie de sa commune le plan de prévention des risques (PPR) qui indique si la zone est inconstructible, constructible sous conditions ou constructible avec conditions.
Pour savoir si vous habitez ou si vous allez vivre en zone inondable, vous pouvez vous rendre en mairie de la commune concernée. Vérifiez si elle dispose d'un Plan de prévention des risques d'inondation (PPRI).
Si vous êtes propriétaires et que vous souhaitez savoir si votre propriété est située dans une zone inondable, il est possible de consulter les documents reçus lors de l'achat de sa propriété. Le certificat de localisation devrait faire partie de ces documents.
Les ZIP sont consultables sur le site vigicrues.gouv.fr, dans l'onglet « zone inondable » de certaines stations de mesure.
Ce document est disponible à la préfecture, sur le site de la préfecture, ou à la mairie. Il est important de noter que le PPRI a plusieurs objectifs : Identifier les zones qui risquent d'être inondées, ainsi que du niveau d'aléas.
Le site Géorisques met à la disposition de chacun des dossiers thématiques, l'état des risques majeurs pour chaque commune de France… Il est complété par le portail interministériel www.risques.gouv.fr. l'information des citoyens passe également par l'entretien de la mémoire des événements passés.
Si vous êtes sur une zone inondable, il vaut mieux préférer une clôture ouverte qui permet à l'eau de s'écouler correctement. Notons également que vous devez également respecter les règles qu'impose le PLU de votre parcelle.
Sur le plan national, 124 Territoires à risques importants d'inondations (TRI) ont été recensés. Le delta et la vallée du Rhône en concentrent un certain nombre, tout comme le reste du pourtour méditerranéen, une partie du bassin de la Seine (notamment Paris), le littoral charentais et le Nord-Pas-de-Calais.
Une zone à risques se définit comme un secteur où la probabilité qu'un sinistre survienne est plus élevée qu'ailleurs. Avant de définir les zones à risques, il convient de définir les types de risques identifiés : Les catastrophes naturelles : sécheresse, tremblements de terre, cyclones, inondations, avalanches, etc.
Si vous souhaitez acheter en zone inondable, privilégiez une zone bleue. En effet, le risque de sinistre y est moindre, et la zone n'a peut-être même jamais été touchée par une inondation.
En cas de vente d'un terrain situé en zone inondable, le propriétaire est dans l'obligation de signaler ce fait aux acquéreurs potentiels. Cette mention doit être faite à la fois via la publicité de vente du bien mais aussi au sein du compromis de vente.
Une zone inondable (ZI), reprise également sous l'appellation de terrain inondable, est un lieu géographique délimité qui a été recouvert par les eaux lors d'une inondation. Les ZI sont liées à deux catégories de phénomènes : les inondations naturelles et les inondations dues aux activités humaines.
Si le terrain n'est pas inondé très régulièrement, une fosse toutes eaux avec tampons étanches et clapet antiretour de sortie est envisageable pour le prétraitement. Pour le traitement, des tranchées d'infiltration, mêmes inondées de temps à autre (pas plus d'une fois par an) sont envisageables, selon le type de sol.
Les zones rouges : il s'agit d'espace ou le risque est le plus élevé. Ici, aucune construction n'est autorisée et ce, même avec une dérogation.
Comment lire un PPRI
Le PPRI est un document à la fois cartographique et réglementaire : Côté cartographie : Il délimite visuellement les zones exposées aux risques. Côté réglementaire, il prévoit des interdictions ou prescriptions spécifiques (portant sur des constructions, ouvrages, aménagements, exploitations…)
Antibes, Nice et Cannes: les trois grandes villes les plus touchées.
La Haute-Saône détient le record du nombre d'inondations reconnues comme catastrophe naturelle, avec plus de 4 000 arrêtés depuis 1986. Le Pas-de-Calais se situe en deuxième position avec plus de 3 600 arrêtés sur la même période.
Le 28 janvier 1910 , 22 000 caves et des centaines de rues sont envahies par une eau glacée et de plus en plus polluée car les égouts refluent. En effet, des dizaines de milliers de fosses d'aisance dans les sous-sols qui ne sont pas raccordées aux collecteurs municipaux sont inondées.
Le portail Géofoncier propose une couche de données dédiée au risque inondation. Cette couche de données définit les zones de prescriptions et d'interdictions sur une commune, vous permettant d'évaluer les risques d'inondation d'un terrain selon les Plans de Prévention des Risques Inondations (PPRI).
Pour régulariser votre situation devant la loi, vous devez effectuer une demande de permis de construire à la mairie en arrêtant les travaux actuels. Vous ne pourrez pas les reprendre tant que votre situation n'aura pas été régularisée.
La zone bleue : construction autorisée
En pratique, cela signifie qu'il est autorisé de construire des nouveaux bâtiments, mais de façon sécurisée et limitée. La délivrance du permis de construire fera l'objet d'une analyse approfondie afin d'assurer la sécurité des biens et des personnes.
les risques naturels : feu de forêt, inondation, mouvement de terrain. les risques technologiques : risques industriels, ruptures de barrage. les risques de transports de matières dangereuses : il s'agit de risques technologiques particuliers car les enjeux varient en fonction de l'endroit où se développe l'accident.
Le préfet du département
Le préfet de département élabore le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) pour sensibiliser les élus et les citoyens.
Le risque peut être latent (il n'est pas encore manifeste), apparent (il se manifeste) ou disparu (il ne peut plus se manifester).