Pour parvenir à se calmer, il faut se vider la tête. Et ça, les exercices physiques le rendent possible. Certains trouvent la détente en courant au grand air, d'autres décompressent mieux avec le yoga. D'autres encore ont besoin d'une bonne séance de HIIT pour atteindre un état de calme intérieur.
Se concentrer pour en finir avec l'agitation mentale
Il faut pour cela que la tâche choisie soit à la fois prenante, pour court-circuiter le mode « automatique » du cerveau, et qu'elle ne perturbe pas les processus physiologiques à l'œuvre à ce moment de la journée : exit les écrans !
Pensez à un paysage, un décor de voyage, un souvenir agréable, une étendue d'eau aussi calme que vous ne l'êtes pas, et photographiez mentalement ce que vous voyez. Vous pouvez aussi choisir des images qui « n'existent » pas mais qui vous font rêver.
Tout d'abord, cela correspond à un rythme de respiration basé sur 6 respirations par minute pendant 3 à 5 minutes. Ce rythme est obtenu en expirant sur 5 secondes et en inspirant sur 5 secondes pour atteindre le point de cohérence.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. "Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces", explique-t-il.
On les appelle des “pensées automatiques”. Elles ne sont pas le fruit d'une réflexion, mais d'un automatisme acquis le plus souvent dans l'enfance. Ces pensées sont à la limite de la conscience, et il faut souvent faire un effort mental pour les identifier.
Pour arrêter de ruminer, il faut les accueillir pleinement. On essaye d'abord de comprendre laquelle de ces émotions se cache derrière sa pensée négative. Dans un second temps, on s'efforce de ne pas culpabiliser mais plutôt de l'accepter telle qu'elle nous apparaît, de lâcher-prise.
Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
En effet, l'agressivité et la colère proviennent souvent des frustrations et des insatisfactions que vous rencontrez dans votre vie. C'est souvent sur celles-ci que vous devrez travailler, pour régler votre problème d'agressivité et mieux contrôler ses humeurs.
Bonjour, Si vous éprouvez soudain le besoin incontrôlé de "tout casser" face à une frustration c'est probablement qu'il y a une situation primordiale sous-jacente que vous rejouez et sur laquelle vous n'arrivez pas à mettre de mots.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.