Comment traiter une peur des maladies ou hypocondrie ? Le traitement de l'hypocondrie repose essentiellement sur un abord psychothérapique. Les psychothérapies cognitives et comportementales sont particulièrement recommandées, mais d'autres abords peuvent aussi avoir leur place comme l'EMDR ou un abord systémique.
"On parle d'un problème d'hypocondrie lorsque la personne n'arrive pas à se rassurer sur son état de santé. À la différence des anxieux, les hypocondriaques ne parviennent pas à apaiser les inquiétudes qu'ils ont en eux, même après une ou plusieurs visites chez le médecin.
Le terme nosophobie est issu du grec « nosos » pour maladie et « phobos » pour phobie. Attention à ne pas confondre nosophobie avec hypochondrie. Le nosophobe n'est pas malade, et il le sait, mais il est obsédé par son envie de garder un bon état de santé.
Parmi les principaux citons l'alimentation (consommation de pesticides, ingestion de parabènes, etc.), la consommation d'alcool et de tabac (a fortiori avec la prise d'une pilule contraceptive), l'exposition à des toxiques, l'hérédité (cancer du sein et du côlon notamment), certaines pathologies susceptibles d'évoluer ...
Les causes de l'hypocondrie
En effet, de nombreux facteurs peuvent être à l'origine d'inquiétudes sur son état de santé. L'hypocondrie peut se développer sur une période bien précise de sa vie, à la suite d'une maladie ou d'un décès dans la famille, ou encore du développement d'une hypocondrie dans son entourage.
Pour prévenir les crises d'hypocondrie, il est recommandé de travailler sur son anxiété, si on a tendance à souffrir de son stress, grâce à des techniques de relaxation quotidiennes, plusieurs fois par jour si nécessaire, ainsi qu'à une bonne hygiène de vie et une alimentation équilibrée.
"L'hypocondrie est souvent liée à une peur de la mort et de vieillir", note le Pr Pelissolo. "Elle a d'ailleurs tendance à augmenter avec l'âge, mais pour des raisons rationnelles". En vieillissant, nous sommes en effet davantage confrontés à la maladie, que ce soit pour nous-mêmes ou nos proches.
Changements ou manifestations physiques : modification de la forme d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement qui ne diminue pas, quel qu'en soit l'endroit, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes ...
Une autre piste est la thérapie corporelle, comme la sophrologie, qui permet de mieux appréhender la relation entre son corps et son esprit. Enfin, une psychothérapie psychodynamique centrée sur la prise de conscience des processus inconscients peut aussi être efficace. »
Vous devez trouver la distance adéquate : ne vous moquez pas de son trouble, car vivre dans la peur permanente d'avoir une maladie grave est une réelle angoisse, mais ne lui accordez pas non plus trop de crédit en affirmant avec lui que le corps médical se trompe.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Certaines pathologies sont connues du grand public, comme la trisomie 21, la drépanocytose ou la mucoviscidose, mais d'autres beaucoup moins : l'oesophagite à éosinophiles, le syndrome du QT long familial, l'embryopathie à cytomégalovirus, la neuropathie périphérique génétique, etc….
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Il n'existe à ce jour pas de traitement médicamenteux contre la mythomanie mais la thérapie peut en revanche aider. Comprendre les causes des mensonges et faire un travail sur l'estime de soi des menteurs maladifs, permet parfois de les aider à sortir petit à petit de cette pathologie.
La psychothérapie cognitivo comportementale (TCC) est le traitement le plus approprié au trouble hypocondriaque. Elle permet en effet de corriger les fausses croyances relatives à la santé/maladie, typiques de l'hypocondriaque.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Les examens de radiologie diagnostique et de médecine nucléaire sont particulièrement utiles pour dépister les cancers, déterminer leur stade (c'est-à-dire leur étendue, par exemple la taille des tumeurs et leur éventuelle propagation au-delà du site primaire), et assurer le suivi, la planification thérapeutique, l' ...