Pour vaincre la peur du rejet, vous n'avez rien à apprendre. Il suffit de vous observer tel que vous êtes et non selon ce que vous voudriez être. C'est le secret. Mais vous cherchez tous, à mettre l'importance sur le futur (ce qui devrait être) sans accepter ni comprendre le présent, donc ce qui est.
Les stratégies qui peuvent vous aider à surmonter la peur du rejet comprennent le développement de la confiance en vos propres capacités, l'existence d'un système de soutien social et la prise en charge de vous-même. Validez vos sentiments : Même si la source du rejet est différente, cela fait toujours mal.
l'anxiété une faible confiance en soi. une faible estime de soi. des pensées suicidaires.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même. l'abandon adopte le masque du dépendant : son besoin des autres est constant (demande des conseils, recherche l'attention).
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
La cause la plus fréquente de blessure est un entraînement inadéquat – par exemple, ne pas accorder aux muscles assez de temps pour récupérer après une séance d'exercice (ils ont besoin de 48 heures de repos), augmenter l'intensité trop rapidement et ne pas s'arrêter lorsque la douleur s'accroît pendant l'exercice.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
En fait, ce que l'autre rejette, ce n'est pas vous, mais la perception qu'il a de vous. Si on se définit par le regard de l'autre, c'est un symptôme de dépendance affective. Si on a l'impression de ne pas avoir de valeur parce que l'autre ne nous aime pas, c'est un manque de confiance en soi et il faut s'en occuper.
Nous ne nous sentons pas digne d'être aimé comme on le mérite, et d'une certaine manière nous repoussons et rejetons inconsciemment l'autre. Ce comportement est une forme d'auto-sabotage inconscient comme pour confirmer que nous ne sommes pas dignes d'amour, même si consciemment nous le recherchons éperdument.
Du grec “philo” qui signifie “amour” et phobos pour “peur”, la philophobie est littéralement, la peur de tomber amoureux. S'il peut s'agir d'une angoisse à l'idée d'aimer de manière globale, ce trouble anxieux est le plus souvent lié à une peur de l'engagement et des sentiments amoureux.
Souvent, le phobique a vécu dans son passé une telle situation de rejet. Une mésentente avec ses parents, une amitié brisée ou une rupture amoureuse sont autant de déclencheurs possibles de la phobie, si ces événements ont été vécus de manière particulièrement intense.
La peur de l'abandon n'est pas une pathologie en soit, mais "un ensemble de manifestations anxieuses relatives aux relations et à l'attachement", indique la psychologue. Lorsque l'on souffre du syndrome d'abandon, on vit dans la crainte permanente d'être rejeté(e) et délaissé(é) par l'autre.
Si vous êtes sensible à la colère ou au comportement des autres, comme boire trop, exprimez-le et dites-lui ce dont vous avez besoin, fixez des limites. Encore une fois, en s'affirmant, vous faites maintenant en tant qu'adulte ce que vous ne pourriez pas pu faire en tant qu'enfant.
En effet, pour guérir d'une blessure de rejet, il est déterminant d'en prendre conscience et de l'identifier. Sans conscience de la blessure de rejet, la personne va manifester des comportements réactifs et ne pourra ni agir dessus ni la soigner.
"Un paranoïaque se caractérise par un "moi" fragilisé et nourrit des fantasmes sur un objet extérieur, qu'il considère comme dangereux pour lui-même. Il a l'impression qu'on lui en veut, qu'on le trompe, qu'on a l'intention de lui nuire ou de le manipuler. Des angoisses qui peuvent aller jusqu'au délire."
Pour guérir ses blessures d'âme, nous devons commencer par nous confronter à la réalité et vivre chaque expérience pleinement sans chercher à fuir quoique ce soit ! La vie est une expérience ou un jeu qu'il faut vivre, nous devons donc accepter les épreuves que nous traversons en les vivant plutôt qu'en les fuyant.
Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice : cinq blessures fondamentales à l'origine de nos maux, qu'ils soient physiques, émotionnels ou mentaux. Lise Bourbeau, grâce à une description très détaillée de ces blessures, nous mène vers la voie de la guérison.