Interrompez poliment la personne
Faites cela au lieu de lui couper la parole. Même si la personne se montre agaçante, l'interrompre au milieu d'une phrase peut être assez cruel. Attendez qu'elle ait fini au moins sa phrase ou son raisonnement avant de l'interrompre.
Fixez-vous une durée de conversation
Limitez le temps accordé (par exemple, fixez-vous 15 minutes dans votre tête) et n'y dérogez pas ! Annoncez-le d'emblée ("Oui, vas-y, entre : par contre, j'ai juste 15 minutes à t'accorder"), pour que le bavard ait lui aussi ce temps imparti en tête. Placez-vous face à une horloge.
En principe, il vous suffit de prendre la parole sans attendre qu'on vous l'offre, mais je vous suggère de faire aussi un petit geste, pour capter le regard du verbomoteur. Levez la main légèrement pour signaler « stop ». Faites-le avec respect. Si la personne ne vous remarque pas, levez la main un peu plus haut.
Changez de sujet
La flatterie est l'une des meilleures façons de prendre le contrôle d'une conversation. Dites quelque chose comme : « Désolé de t'interrompre, mais cette anecdote très drôle à propos de ton chien m'a fait penser aux étés où je promenais des chiens. J'ai une bonne anecdote à te raconter à ce sujet. »
Parler beaucoup, avoir un débit verbal important, en changeant de sujet sans prévenir. Cela s'appelle la logorrhée. Lorsque ce symptôme est associé à d'autres, il peut être le signe d'un trouble psychotique.
Manterrupting, mansplaining: comment se faire entendre en réunion quand on est une femme. Couper systématiquement la parole quand une femme s'exprime ou utiliser un ton paternaliste pour lui expliquer ce qu'elle sait déjà sont des attitudes sexistes très courantes dans le milieu professionnel.
Demander de se taire
Lorsque vous avez besoin que la personne cesse de parler temporairement, cette phrase est appropriée. Exemple : « Est-ce que vous pourriez vous taire un instant, s'il vous plaît ? »
Envoyez des signes corporels : avec la main, un pouce levé, un “coucou”, ou de grands gestes pour alerter si vous êtes sur une scène par exemple. En face à face, vous pouvez aussi cesser de regarder dans les yeux pour regarder autre chose à l'opposé, ou derrière la personne.
10- Lever sa main devant le visage de la personne qui commence à parler pour donner la parole à un autre. 11- Vous lever et aller vous installer derrière l'individu prolixe, poser votre main sur son épaule pour lui imposer le silence et poser une question en regardant les autres.
La règle des questions successives s'applique et si c'est un bavard, il faudra le neutraliser sans retenue. Mais il ne faut jamais devenir complice des moqueries ou de la frustration des autres participants. Tu dois au contraire prendre au sérieux ses questions et y répondre.
loquace, prolixe, verbeux, volubile. – Familier : causant. – Vieux : babillard.
Le mot juste : volubile, bavard, prolixe…
C'est le plus souvent une question de personnalité, mais aussi de circonstances. «Certaines personnes peuvent avoir énormément confiance en elles au travail, par exemple, mais perdre tous leurs moyens face à un individu qu'elles admirent, déclare Camillo Zacchia. La nervosité les entraîne alors dans un flot de paroles.
Trouble du langage caractérisé par un abondant flot de paroles débitées rapidement sur de longues périodes. La logorrhée est un signe particulièrement caractéristique d'un trouble psychiatrique, la manie, ou accès maniaque. Le malade saute d'une idée à une autre, multiplie les jeux de mots.
Essayez de dire ce que vous avez à dire en 20 secondes et donnez l'occasion à la personne qui vous écoute de partager aussi des informations. En général, essayez de ne pas parler plus de 40 secondes d'affilée. Si vous parliez plus longtemps, l'individu qui vous écoute pourrait se sentir irrité ou s'ennuyer.
- Pour soi - parce que le silence est vital pour notre cerveau : la recherche montre que 2 heures de silence par jour régénèrent les cellules de l'hippocampe - responsable de l'apprentissage et des émotions. Et 2 minutes de silence complet suffisent déjà pour libérer le stress.
Parlez clairement et gentiment de vous en expliquant que vous êtes une personne plutôt réservée et taiseuse et que vous avez du mal a accorder de l'attention trop longtemps. La personne est peut être bavarde de nature et c'est plus fort qu'elle ou alors par habitude ne s'en rend pas compte.
s'abstenir de tout commentaire, avoir avalé sa langue, avoir la langue liée, avoir perdu sa langue, être muet comme une carpe, être muet comme une tombe, faire le black-out sur, fermer sa bouche, garder le silence, ne dire mot, ne pas broncher, ne pas ciller, ne pas desserrer les dents, ne pas dire un mot, ne pas piper ...
Si la personne qui décroche le téléphone n'est pas celle à qui vous souhaitez parler, vous pouvez demander à ce qu'on vous passe la bonne personne afin de lui parler : - Pourrais-je parler à Monsieur Dupont, s'il vous plaît ? - Je voudrais parler à Madame Duponne, s'il vous plaît.
Essayez de pratiquer l'empathie pour éviter que la situation ne dégénère. Ce choix se fait via une pensée négative que nous décidons de croire. Au moindre problème je leur crie dessus, parfois j'ai envie de les taper et quelques fois la fessée ou la claque part.
Couper la parole n'est donc pas simplement une impolitesse mais répond aux exigences d'une pratique journalistique.