Comme nous sommes des êtres humains, nous sommes sociables. Et donc, nous ne pouvons pas faire abstraction, ni empêcher le regard et le jugement des autres. Il est donc important de : prendre du recul : respirer par le ventre, laisser passer du temps, élargir sa vision, analyser son émotion.
En résumé, la meilleure façon de te protéger des critiques et des jugements des autres, c'est d'être pleinement conscient de qui tu es. Quand tu sais qui tu es vraiment, l'opinion des autres n'a plus autant d'importance. Après tout, la priorité d'abord et avant tout, c'est d'être bien avec toi-même.
La peur du jugement des autres est une phobie sociale qui est souvent associée à la blemmophobie. Elle trouve essentiellement son origine dans le manque de confiance en soi et se nourrit de la peur de l'échec, peur du conflit, peur du ridicule, peur de ne pas être aimé et bien d'autres.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
Par pudeur, peur du regard extérieur et du jugement, les timides ou les personnes n'ayant pas confiance en elles vont avoir tendance à éviter de regarder dans les yeux. Ainsi, il peut y avoir une sensation d'infériorité ou de puissance vis à vis de la personne qui nous regarde.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
La meilleure façon de faire face à une personne qui adopte une attitude défensive est de l'écouter. Même si vous n'êtes pas d'accord avec ce qu'elle vous dit, vous devriez lui donner l'occasion de s'exprimer.
Vivre sans jugement veut dire ne plus accorder d'importance à des choses qui n'en ont pas. Car chaque jugement fortifie l'importance et la présence de cette chose. En jugeant intensément quelque chose, nous sommes assurés de voir cette chose intensément dans notre vie.
Indépendamment du fait que vous attirez réellement les regards, il est probable que votre sentiment que tout le monde vous regarde soit dû à une perception subjective erronée. Ceci est courant chez les personnes souffrant de phobie sociale ou celles qui souffrent d'une extrême timidité.
Pour bien vivre avec le regard des autres, il faut d'abord reconnaître que les inquiétudes liées au jugement d'autrui sont extrêmement fréquentes et empêchent de profiter pleinement de la vie. Il convient donc de les atténuer autant que possible.
Laissez la personne s'exprimer jusqu'au bout, ne répondez que lorsque vous vous sentez prêt. N'hésitez pas à lui demander un moment pour réfléchir. Et faites le tri : ce que l'on vous a reproché ne remet pas en question la totalité de votre être", conseille la spécialiste.
Jugeant : Définition simple et facile du dictionnaire.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
Autrement dit, tout jugement sur l'autre est relatif à soi. Celui qui juge tel autre stupide, par exemple, ne fait que le distinguer par rapport à soi qu'il juge plus intelligent. Le jugement sert la différenciation sociale et, ce faisant, la construction identitaire.
irascible - Définitions, synonymes, conjugaison, exemples | Dico en ligne Le Robert.
Définition de jugeant | Dictionnaire français.
Comprendre qu'on a le choix. Faites une liste de choses à ne pas faire. Il est essentiel de savoir ce que vous voulez et ne voulez pas faire pour prendre confiance et vous affirmer. Réfléchissez aux choses que vous faites pour les autres qui vous amènent à vous laisser faire et écrivez-les.
Ce type de fonctionnement psychologique où l'on fait toujours passer l'autre avant soi est très répandu. Les psychologues le qualifient parfois d'assujettissement. Certaines victimes en sont parfaitement conscientes et d'autres beaucoup moins.