des anti-vomitifs pour calmer les vomissements de l'intoxication ; le Smecta (pansement digestif) est conseillé dans le traitement des diarrhées de l'intoxication alimentaire ; un antispasmodique (type Spasfon) contre les crampes d'estomac ; kit de réhydratation orale contenant des sels minéraux pour se réhydrater.
Il est important de boire en cas d'intoxication alimentaire. Les vomissements et diarrhées provoquent en effet une déshydratation qu'il est nécessaire de compenser. Buvez des liquides « clairs » (eau, bouillon, thé par exemple) par petites gorgées fréquentes.
Combien de temps dure une intoxication alimentaire ? La durée des symptômes d'une intoxication alimentaire peut varier d'un cas sur l'autre, mais la crise passe généralement au bout de 2-3 jours maximum. Parfois, cela ne dure que quelques heures.
Les symptômes de l'intoxication alimentaire sont essentiellement les vomissements et la diarrhée. On peut aussi souffrir de crampes abdominales. Et parfois, on a de la fièvre avec des frissons, une forte fatigue et une perte de poids associée.
Parfois l'intoxication alimentaire peut aussi être due à : un virus ( comme les norovirus ou les rotavirus) ; une mycotoxine ( toxines produites par des champignons microscopiques comme les moisissures retrouvées sur des denrées notamment d'origine végétale) ; une amibe (elles sont une forme de parasite.
Pour diminuer l'inflammation et calmer les symptômes d'intoxication, vous pouvez consommer de la réglisse ou de la camomille. Afin de traiter l'infection, vous pouvez essayer la racine de consoude. Il faut savoir que la banane peut être une aide efficace en cas d'intoxication alimentaire.
Quoi manger et boire en cas d'intoxication alimentaire ? Un apport en eau suffisant (au moins 2 litres par jour), afin d'éviter la déshydratation liée aux diarrhées et vomissements. Privilégiez l'eau, l'eau sucré ou les bouillons de légumes.
Une intoxication alimentaire (aussi appelé toxi-infection alimentaire) est une infection digestive. Elle est due à l'ingestion récente d'aliments ou d'eau contenant des bactéries, des parasites, des virus, des poisons ou des métaux lourds (plomb ou mercure notamment).
Une intoxication alimentaire due à la bactérie Listeria peut causer des problèmes pour l'enfant à naître tandis qu'une infection par Escherichia coli peut créer des problèmes avec les reins. D'autres complications comme l'arthrite et des problèmes de saignement pourraient survenir.
La fatigue
En cas d'intoxication alimentaire, l'organisme doit faire face à un virus ou à une bactérie. Une grande fatigue peut donc être ressentie car le corps mobilise toute son énergie pour lutter. Elle perdure généralement plusieurs jours après l'intoxication.
L'intoxication alimentaire provoque l'apparition de plusieurs symptômes dont la diarrhée. Il existe deux types de diarrhées liés à une intoxication alimentaire : Le premier type de diarrhée survient quelques heures après un repas et n'est pas accompagné de fièvre.
Un adulte en bonne santé va guérir en quelques jours. Mais il peut y avoir des complications, comme une septicémie. Et pour un nourrisson déjà moins bien protégé par son système immunitaire, le risque de déshydratation est bien plus élevé.
Certaines personnes s'empressent de consommer notamment du lait ou du miel en guise d'antidote «antipoison». Mais, selon Georgette Biebie Songo, experte en toxicologie, le lait et le miel n'ont pas les vertus de lutter contre le poison.
Le miel a tellement de vertus qu'on devrait en manger au petit déjeuner, au déjeuner voire même au dîner. Parce qu'il contient de la propolis, ce produit naturel est un excellent atout pour booster son système immunitaire. Antiviral, anti-inflammatoire, il facilite la formation d'anticorps.
Le miel est riche en nutriments et en antioxydants
Le miel a un effet prébiotique bénéfique pour la flore intestinale. Il est riche en potassium et en antioxydants, les flavonoïdes. Contrairement au sucre raffiné, il contient d'autres éléments comme des minéraux, vitamines et oligo-éléments.
Le charbon activé est administré le plus tôt possible après l'ingestion : 50 g chez l'adulte, 1 g/Kg chez l'enfant. Cette dose initiale constitue le traitement unique de l'intoxication dans la majorité des cas.