Dans les traditions Africaines de mariage, le mariage est une union entre deux familles, et pas seulement de deux individus. C'est donc pour cela qu'il y a une cérémonie de fiançailles. Cette dernière est aussi parfois la cérémonie où la dot est réglée.
En Afrique comme ailleurs, différentes formes d'union sont reconnues, de l'union dite libre, c'est-à-dire sans cérémonie, à des formes de mariage largement codifiées, que ce soit les mariages dits coutumiers, religieux ou civils.
La coutume de mariage veut que la famille et les invités arrivent les premiers, comme pour la cérémonie civile. Le marié arrive au bras de sa mère, et la mariée au bras de son père, au son d'une marche nuptial. A la fin de la messe, les époux et leurs témoins signent le registre.
== 1-CEREMONIES, CELEBRATION,FESTIVITES
Très unis en Afrique, nous ignorons le mot « SDF » ; on ne dormira jamais dans la rue, même en étant sans emploi, on aura toujours à manger, même si ce n'est pas à sa faim, on aura toujours à boire, même de l'alcool ! Il y aura toujours une personne qui vous tendra la main.
La cérémonie
Il n'existe pas de cérémonie officielle pour se fiancer. On peut choisir de le faire en privé ou seulement en présence de sa famille. Les fiancés peuvent, s'ils le désirent, faire bénir la bague lors d'une messe ou organiser une petite cérémonie religieuse pour cette bénédiction.
En Afrique, on appelle couramment dot, la valeur de la fiancée. Ce dernier est offert par l'homme à la famille de la femme ; c'est donc la transaction inverse de la dot proprement dite, car les biens entrent dans le patrimoine de la génération supérieure au lieu de celui du couple.
Dans le mariage traditionnel, c'est la famille de la mariée qui paie la robe de la mariée et ses accessoires ainsi que la coiffure, le maquillage, la tenue des enfants et demoiselles d'honneur, la décoration florale et les frais de la réception des invités de la mariée.
C'est la madame qui dit OUI en premier. Par ailleurs, Qui répond en premier au mariage ? Moins protocolaire que les mariages religieux, le mariage civil répond tout de même à certaines règles. Ainsi, ce sont généralement les futurs époux qui entrent les premiers dans la salle.
Une tradition veut que la mariée porte sur elle le jour du mariage 4 accessoires : un ancien, un neuf, un bleu, un emprunté, en guise de porte-bonheurs pour sa vie future.
Si vous vous mariez sans contrat de mariage, vous êtes automatiquement soumis au régime de la communauté légale. Il s'agit de la communauté réduite aux acquêts qui distingue les biens suivants : Biens propres de chacun de vous 2 : biens mobiliers : Bien qui peut être déplacé.
Mariage civil
Ainsi, quelque soit le type de mariage que vous souhaitez, le passage à la mairie reste un incontournable. C'est donc un mariage laïque, et aux yeux de la loi, c'est tout ce qu'il vous faut pour être mariés. En ce sens, si vous ne souhaitez pas de cérémonie particulière, le mariage civil est suffisant.
Le lendemain de votre mariage, ou le rebond, est l'occasion parfaite pour continuer la fête avec ses invités. Si certains doivent partir plus tôt et rentrer chez eux, d'autres, comme votre famille proche ou vos témoins, seront sûrement ravis de partager un bon repas avec les jeunes mariés.
L'amour vient après le mariage. Malgré cela, il y a des imbéciles qui tombent amoureux avant, et qui jettent en vain leur amour dans les flammes. Tout ça pour quoi ? parce qu'ils se figurent que l'amour est dans la vie ce qu'il y a de meilleur.
Les parents doivent-ils participer au paiement du mariage ? Lorsque l'on se demande « qui paye quoi » dans un mariage, on pense généralement aux parents des deux mariés. En effet, traditionnellement ce sont les familles qui financent l'union de leurs enfants.
Conformément à l'article 38 du même code, l'officier d'état civil donne lecture de l'acte aux époux et aux témoins avant la signature de celui-ci. Le maire et les adjoints sont officiers d'état civil en vertu de l'article L. 2122-32 du code général des collectivités territoriales (CGCT).
Les témoins d'un mariage sont choisis ensemble par les futurs époux. Ils doivent être âgés d'au moins 18 ans (ou être émancipés). Aucune autre condition n'est requise. Il peut s'agir de membres de la famille ou non et il n'est pas fait de distinction entre les sexes.
Les frais pris en charge par le marié et sa famille
Bien entendu, le marié et sa famille doivent également participer à l'organisation de l'événement.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Dans la majeure partie des cas, il s'agit de la personne ayant fait sa demande qui s'occupe des frais. Cependant, les futurs mariés peuvent également partagés l'achat en s'offrant chacun une bague. Parfois, il se peut également que ce soit la famille qui offre les bagues de mariage.
Ces paiements peuvent être classés en deux catégories : la dot dans les pays asiatiques implique des paiements effectués par la mariée au marié et à sa famille ; et la dot en Afrique (« prix de la mariée »), où c'est le futur époux et sa famille qui la paient à une future épouse et à sa famille.
La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.