Pendant des millénaires, la médecine s'est identifiée partout à des pratiques magiques et religieuses. Les techniques médicales se limitaient à la thérapeutique par les plantes et à quelques opérations chirurgicales simples telles que la trépanation et la réduction des fractures.
Pour guérir il fallait restaurer l'équilibre au moyen de diverses méthodes, telles qu'un changement de régime, la saignée de certains points du corps ou la confection de remèdes à base de plantes. Le médecin grec Galien est le seul auteur d'ouvrages médicaux à avoir atteint la renommée du mythique Hippocrate.
Aujourd'hui : la médecine ayurvédique. Considéré comme la médecine holistique la plus ancienne du monde, l'ayurvéda (du sanscrit ayur, vie, et veda, connaissance) est né il y a plus de cinq mille ans en Inde.
Les médecines traditionnelles sont la somme de toutes les connaissances, compétences et pratiques reposant sur les théories, croyances et expériences propres à différentes cultures, qu'elles soient explicables ou non, et qui sont utilisées dans la préservation de la santé (…) ou le traitement des maladies.
Le plus influent médecin et professeur de cette époque est Hippocrate. Hippocrate :Hippokrates, du siècle de Périclès (460-377 av JC) considéré comme le plus grand médecin de l'antiquité, en Grèce antique, la médecine est une affaire de famille. Hippocrate est fils, petit-fils, père et grand-père de médecins.
Certaines pratiques que nous qualifions parfois de « médecine douce », comme l'aromathérapie, s'appuient en réalité sur les principes de la médecine moderne. La médecine conventionnelle se focalise sur le symptôme, la médecine traditionnelle voit des symptômes pour tout.
− Science qui a pour objet l'étude, le traitement, la prévention des maladies; art de mettre, de maintenir ou de rétablir un être vivant dans les meilleures conditions de santé.
Les médecines traditionnelle, complémentaire et parallèle (ci-après « médecine traditionnelle ») sont couramment utilisées pour traiter ou prévenir les maladies chroniques et pour améliorer la qualité de la vie. Certains éléments indiquent que la médecine traditionnelle est prometteuse.
La médecine traditionnelle et l'éducation sanitaire traditionnelle, notamment les exercices traditionnels, contribuent de façon significative à promouvoir la santé et à améliorer la qualité de vie d'un grand nombre de communautés.
La médecine contemporaine utilise l'examen clinique, les soins de santé, la recherche et les technologies biomédicales pour diagnostiquer et traiter les blessures et les maladies, habituellement à travers la prescription de médicaments, la chirurgie ou d'autres formes de thérapies.
Dans la mythologie grecque, l'apparition de la maladie est expliquée par l'ouverture de la boîte de Pandore. Zeus, qui voulait se venger des hommes à la suite du vol du feu par Prométhée, ordonne la création de Pandore, femme qu'il envoie auprès du frère de ce dernier.
Apparues entre 5000 et 3000 av. J. -C., trois civilisations antiques donnèrent naissance à des formes de médecine déjà très élaborées : l'Égypte des pharaons, la Mésopotamie antique et la Chine. La façon dont la maladie était perçue y différait cependant.
En Mésopotamie, on sait par le code d'Hammourabi (1792-1750 environ avant J. -C.) qu'il existait déjà un embryon de législation médico-sociale. Dans l'Égypte pharaonique, des dispositions régissaient l'activité des médecins, dont les connaissances étaient relativement étendues.
Au Moyen Âge, un mire, évolution phonétique du latin medicus, est un médecin (un docteur en médecine appelé « physicien »), un chirurgien (terme usité jusqu'à la Renaissance), ou encore un apothicaire. On appelait indistinctement mire ceux qui exerçaient ces trois professions.
Grâce à des papyrus égyptiens (1500/1200 av. J.C) on apprend comment nos anciens incisaient les abcès, traitaient les luxations, soignaient les brûlures et utilisaient les plantes médicinales. Des traces du Code d'Hammourabie (roi de Babylone 1793-1750 av.
Des apothicaires-épiciers aux pharmaciens
Les ordres monastiques ayant pour mission de soigner les malades et cultivant les plantes médicinales consultent les Réceptaires (recueils de remèdes) et cumulent les fonctions de médecins et d''apoticarius'.
La médecine traditionnelle, ont-ils dit, constitue une source d'espoir pour les efforts visant à améliorer la situation sanitaire dans le monde. Elle est pratiquée par tous les pays de la planète, 80% de la population des pays d'Asie et d'Afrique y recourant régulièrement, ont fait observer les intervenants.
Parmis les avantages de la médecine moderne : utilisation des nouvelles technologies (scanner,IRM..) permet de faire le examens. pour dépister ou suivre certaines maladies. Transmettre son savoir et rassurer les patients .
Définition de l'allopathie
L'allopathie utilise des médicaments composés de substances actives, qui aident l'organisme à lutter contre les maladies. Ces substances ont des effets opposés à ceux des pathologies rencontrées.
Le moringa olifeira, ou "arbre à raifort", peut-il guérir 300 maladies, y compris les tumeurs cancéreuses et le diabète ?
5111-1) définit ainsi le médicament : « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l'égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l'homme ou chez l'animal ou pouvant leur être administrée, en vue d' ...
Les disciplines médicales proposent : allergologie ; anatomie et cytologie pathologique ; anesthésie ; cardiologie ; dermatologie ; endocrinologie-nutrition ; génétique ; gériatrie ; gynécologie médicale ; hématologie ; hépato-gastro-entérologie ; maladies infectieuses et tropicales ; médecine du travail ; médecine ...
Professionnel central du monde de la santé, le médecin examine et établit un diagnostic, ordonne des examens et prescrit le traitement pharmaceutique ou hospitalier qui s'impose. Le médecin suit ses malades et gère leur santé dans sa globalité.
Les traités hippocratiques ont été la référence des médecins occidentaux jusqu'au XIXème siècle et dans notre imaginaire à tous, Hippocrate passe pour être le « père de la médecine ». Aujourd'hui encore, les médecins en Occident prononcent le « serment d'Hippocrate » avant d'exercer leur activité.
Comment prononcer « médecin » en français ? En français, médecin se prononce /metsɛ̃/, en détails : son /m/ : Fermez vos lèvres et expulsez l'air par votre nez.