Exprimer un point de vue subjectif, c'est-à-dire un parti pris (pour ou contre), le plus net possible, mais le propos doit porter sur l'œuvre, il ne s'agit pas de parler de soi. Être subjectif, mais avoir des arguments objectifs (qui s'appuient sur des éléments, des passages que l'on peut vérifier).
Le critique construit son point de vue sur le livre, et met en évidence son originalité ou, au contraire, l'absence d'intérêt du livre. La critique entremêle donc 3 types d'éléments: narratifs, informatifs et argumentatifs.
La réflexion critique implique la mise en question de ce qui est normalement considéré comme acquis, en particulier les hypothèses sur lesquelles se fonde le projet (colonne 4 de la matrice du cadre logique, module 3). Pour cela, il faut réfléchir à ce qui n'a pas fonctionné ou à ce qui ne fonctionne pas.
Les trois étapes pour faire une analyse critique
Il vous faut d'abord identifier les éléments qui le composent, comme le thème, la problématique, les concepts, la thèse ainsi que et les arguments utilisés par le philosophe pour soutenir celle-ci, selon la nature du texte analysé.
Comme son nom l'indique, la critique littéraire doit introduire une réflexion critique, qu'elle soit positive ou négative, sur (toutes) les particularités du livre en question. À l'inverse, un avis littéraire n'est pas un essai littéraire, mais une simple description du texte, avec son intrigue et ses personnages.
Il s'agit ici d'identifier la question posée par les auteurs et la ou les hypothèses théoriques avancées comme explication. Une hypothèse théorique porte sur des concepts et s'ancre en général dans un modèle plus large de la fonction cognitive étudiée.
Evitez de réagir à chaud: les réactions immédiates se font dans l'expression d'une colère tournée vers l'autre, alors qu'en réalité, elle nous parle de nous. Prendre le temps d'écouter son message, c'est assurer que la critique exprimée sera la bonne, aussi préférez la réflexion au rôle surjoué de reine outragée.
N'émettez aucun jugement de valeur. Préférez dire “Je ne trouve pas les dossiers dont j'ai besoin dans ton bureau” plutôt que “tu es vraiment bordélique !”. De manière générale, employez plutôt des phrases qui commencent par “je” plutôt que par “tu” : vous limiterez ainsi les risques !
La première règle est de ne pas réagir à chaud, sous le coup de l'émotion, en s'aidant éventuellement d'un réflexe "Stop". Se laisser du temps permet de prendre du recul pour mieux comprendre ce qui se joue et élaborer la stratégie la plus adaptée pour amener l'autre à changer.
Définition de acerbe adjectif
➙ acrimonieux, caustique, sarcastique.
L'esprit critique nous permet de remettre des choses en question, ce qui nous donne les moyens d'élaborer de nouvelles idées à partir des connaissances que nous possédons en nous appuyant sur ce savoir lieu de compter sur les autres pour nous « aider » ou nous « conseiller » sans nous y appliquer d'abord.
Porter sur quelqu'un, quelque chose un jugement défavorable en en faisant ressortir les défauts, les erreurs, etc. ; blâmer, désapprouver, censurer, condamner : Se faire critiquer pour sa négligence.
La critique interne consiste à évaluer le texte dans la forme en montrant : la cohérence de l'argumentation. * l'adéquation ou l'inadéquation entre la démarche argumentative et l'intention de l'auteur. * les forces et /ou les faiblesses des arguments. * la pertinence de la démarche argumentative.
Soyez précis et objectif : dites en détail à votre collègue ce qu'il peut faire pour exploiter ses forces ou pour s'améliorer. Formulez des critiques positives et négatives (au besoin), en mettant l'accent sur le positif. La communication constructive favorise la motivation au travail.
Exprimez ses critiques à une tierce personne avant de les exprimer à celle concernée. On privilégiera ainsi un dialogue en face à face, dans un endroit calme et discret. Ne pas laisser une chance au collaborateur de s'exprimer et ne lui donner que des ordres directs.
1ère étape : « Décrire les faits »
C'est présenter la situation avec des faits concrets et observables. La description doit rester simple, sans exagération. Et surtout elle doit être objective. Vous devez donc bien faire la différence entre un jugement (subjectif) et un fait (objectif).
L'étude critique de documents est l'une des deux épreuves de la spécialité HGGSP. Il s'agit de questionner un ou plusieurs documents, et de dégager le sens général de ceux-ci, en relation avec la question historique à laquelle il(s) se rapporte(nt).
L'analyse critique est un ensemble d'activités visant à décortiquer l'entreprise dans laquelle l'étudiant a fait son stage, à évaluer objectivement le matériel, à se faire une idée du travail et à émettre des recommandations en vue de l'améliorer.
La critique externe d'un document se fait le contextualisant dans son environnement : elle concerne son contexte social, scientifique, éditorial, juridique, économique … Elle répond aux questions : Qui écrit ?
Également appelée critique de restitution, la critique textuelle est l'opération visant à reconstituer, d'après les témoins subsistants, la teneur originelle d'un texte, forme écrite d'une œuvre. Elle comporte deux types d'exercices distincts, la critique externe et la critique interne.