Les liaisons chimiques sont dues aux réarrangements des électrons de valence des atomes. 2. La structure électronique d'un atome est donnée par sa position dans le tableau périodique. ═> Le type et nombre de liaisons chimiques formées par un atome peuvent être prédits par sa position dans le tableau périodique.
Elle est formée par le partage d'électrons entre les atomes, ils ne gagnent donc ni de perdent d'électrons. Dans les liaisons covalentes les atomes "mettent en commun" des électrons de leur couche électronique la plus externe. Ces électrons forment alors un nuage électronique qui englobe les deux atomes.
C'est très simple : Le noyau d'un atome se compose de protons et de neutrons. Les électrons gravitent autour de ce noyau atomique. Les électrons se répartissent par couches autour du noyau, en allant de la couche la plus proche du noyau à la couche la plus éloignée.
Une liaison covalente est une liaison chimique dans laquelle deux atomes se partagent deux électrons (un électron chacun ou deux électrons venant du même atome) d'une de leurs couches externes afin de former un doublet d'électrons liant les deux atomes.
La liaison ionique se forme toujours entre des ions chargés positivement, appelés cations, et des ions chargés négativement, appelés anions. Dans les deux cas, les ions ont la configuration électronique d'un gaz noble.
Électrons dans les liaisons chimiques
En effet, Le type d'une liaison chimique dépend du nombre d'électrons partagé entre les atomes liés : les liaisons simples comportent deux électrons partagés ; les liaisons doubles comportent quatre électrons partagés ; les liaisons triples comportent six électrons partagés.
- les liaisons métalliques, les liaisons ioniques, les liaisons covalentes, les liaisons hydrogène et les liaisons de Van Der Waals. Les liaisons de Van Der Waals existent dans tous les types de composés solides, liquides ou gaz.
Une liaison permet généralement aux deux atomes impliqués d'être plus stables en obtenant la même configuration électronique qu'un gaz inerte. Un gaz inerte est très stable, puisque sa dernière couche électronique contient le nombre maximal d'électrons permis.
Une liaison covalente entre deux atomes intervient lorsque ces atomes se rejoignent et est également produite par le comportement des électrons, pour atteindre l'octet stable, en partageant des électrons du dernier niveau (sauf pour l'hydrogène qui atteint la stabilité lorsqu'il possède 2 électrons).
Une liaison covalente est une paire partagée d'électrons de valence. Elle se forme généralement entre des non-métaux. Une liaison ionique est une attraction électrostatique entre des ions de charge opposée. Elle se forme généralement entre des métaux et des non-métaux.
La structure d'un composé covalent peut être représentée à l'aide d'un modèle compact ou d'un modèle éclaté. Dans le cas d'un composé ionique, les électrons sont complètement transférés d'un atome à un autre pour former un cation—un ion chargé positivement—et un anion—un ion chargé négativement.
La liaison chimique est une interaction entre deux atomes. Elle permet la formation de molécules et de composés stables. Cette liaison est généralement formée par la mise en commun de deux électrons, situés sur la couche externe des atomes. Elle peut être également due à des interactions électrostatiques.
Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons. En revanche, les atomes ayant la même électronégativité partagent des électrons dans des liaisons covalentes, parce qu'aucun des deux atomes n'attire ou ne répulse de préférence les électrons qu'il partage.
Une molécule est un assemblage électriquement neutre d'atomes. Il résulte de la formation de liaisons entre les atomes. La liaison entre les atomes peut être simple si les atomes ne sont liés que par une seule liaison ou multiple si les atomes sont liés par 2 ou 3 liaisons (elle est dite double ou triple).
Si une molécule s'est formée, c'est qu'il y a des forces appelées liaisons qui tiennent les atomes reliés entre eux. Ces forces sont de nature électro-magnétiques (liaisons ioniques et covalentes). Ces liaisons correspondent à une certaine énergie et il faut en fournir au moins autant pour les rompre.
L'énergie de liaison est l'énergie requise pour briser la liaison covalente entre les deux atomes de carbones. Grâce à l'énergie de liaison hydrogène, un atome d'hydrogène relie simultanément deux atomes électronégatifs, l'un par une liaison covalente et l'autre par une liaison hydrogène.
Dans une liaison covalente simple, deux atomes partagent une paire d'électrons. Un électron provient de chaque atome. Dans une liaison covalente double, deux atomes partagent deux paires d'électrons. Deux électrons proviennent de chaque atome ; au total, quatre électrons sont partagés.
Pour être plus précis, les atomes ont besoin d'avoir des niveaux d'énergie complets qu'ils peuvent atteindre en échangeant des électrons avec d'autres atomes qui ont le même genre de besoin et c'est ce qui va créer des attaches très puissantes à l'origine des molécules, c'est ce qu'on appelle les liaisons covalentes.
Jusqu'à cette récente découverte, on distinguait trois types de liaisons chimiques : la liaison covalente, la liaison ionique et la liaison hydrogène. La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons.
Une autre caractéristique importante des liaisons est leur polarisabilité α, c'est-à-dire la facilité avec laquelle elles se déforment sous l'effet d'un champ électrique E extérieur, acquérant l'énergie supplémentaire : 1/2 αE2.
Dimère et liaison hydrogène
Elle implique un atome d'oxygène (électronégatif) d'une molécule avec un des atomes d'hydrogène (électropositif) de l'autre molécule, les trois atomes O–H–O formant un enchaînement à peu près linéaire (figure 1). Ce type de liaison existe également dans d'autres liquides comme les alcools.
Liaisons covalentes et doublets d'électrons liants
Les électrons impliqués dans une liaison covalente forment des paires, ou doublets, d'électrons liants. Lorsque les atomes partagent deux doublets, on parle de liaison double ; lorsqu'ils partagent trois doublets, on parle de liaison triple.
Elles regroupent les interactions de Van de Waals et la liaison hydrogène.
Ce sont des liaisons qui résultent de l'attraction électrostatique entre des ions de charges opposées. Par exemple, le chlorure de sodium (sel de table) est constitué de cations sodium (ions positifs) et d'anions chlorure (chargés négativement) liés par des liaisons ioniques.