Les produits employés étaient variés : Pour laver la peau, on préparait des « savons » avec du natron, de la crème constituée de graisse végétale ou animale mélangée à de la craie ou du calcaire ; Pour assouplir la peau le corps était enduit avec des huiles aromatiques qui protégeait aussi contre les insectes.
La bouse de crocodile comme contraceptif
Lana Williams spécifie que des anciens textes de médecine font état de plusieurs méthodes. L'un d'entre eux, vieux de 3.800 ans, détaille une recette à base de bouse de crocodile et de miel. Mais il ne spécifie pas par quel moyen la mixture devait se retrouver dans le corps.
Les pharaons étaient certes mieux nourris que le peuple, mais cela n'en reste pas moins inhabituel, écrivent les scientifiques zurichois. La taille moyenne des hommes à l'époque oscillait entre 1,65 et 1,68 mètre, précise l'UZH dans un communiqué.
L'éviscération crânienne
Il s'agit de l'ablation du cerveau par la voie nasale au moyen d'une tige de métal (bronze) recourbée que l'opérateur enfonçait dans la narine gauche de façon à perforer le toit des fosses nasales (ethmoïde) et à accéder directement à la cavité crânienne.
Pendant l'Égypte antique, les enfants (garçons et filles) avaient le crâne rasé avec une tresse sur le côté appelée Tresse de l'Enfance. Cette coiffure traditionnelle rendait hommage à Horus, le dieu solaire qui portait la même tresse au cours de son enfance.
Les Égyptiens dormaient sur des oreillers en pierre
Peu confortables au regard des normes actuelles, il s'agit d'un socle surmonté d'un pilier sur lequel repose une coupelle évasée où les Égyptiens faisaient reposer leur cou.
Le brun est la couleur de la peau des Égyptiens et des Égéens, les Nubiens et les Soudanais étant noirs. On distingue régulièrement l'homme de la femme en rendant la peau de l'homme plutôt en brun-rouge, et celle de la femme en ocre pâle.
Au sens propre du terme, la momification consiste en l'action de momifier toute dépouille humaine ou animale, c'est-à-dire conserver un cadavre, de l'embaumer, au moyen de matières balsamiques.
"Dans les temples ou les tombes, la partie endommagée est la partie qui avait une fonction pendant un rituel. Si le rituel requiert que la statue sente, voie, entende ou encore mange, alors le nez, les yeux, les oreilles ou la bouche étaient détruits pour empêcher le rituel de fonctionner.
Selon les mythes funéraires des Anciens Égyptiens, l'au-delà est le lieu où séjournent les dieux, les bienheureux et les damnés. Domaine d'Osiris, ce monde supranaturel est à la fois souterrain, terrestre et céleste.
En résumé, les anciens Egyptiens appartenaient à une race africaine (Négre) qui d'abord établie en Ethiopie est venue s'installer en Egypte en suivant le cours du Nil. Par la suite, la Grèce a pris à l'Egypte tous les éléments de sa civilisation, jusqu'au culte des dieux.
Dites-lui « Ana Ba-heb-bak », qui est la traduction de « Je t'aime » en égyptien. Si vous vous adressez à un homme, vous devrez lui dire « Bahibak ».
Les autorités égyptiennes sont compétentes pour célébrer tous les mariages en Égypte, quelle que soit la nationalité des époux. N.B. : Il faut déclarer une religion et produire un document en attestant. Une femme de confession musulmane ne peut épouser un homme d'une autre confession.
Les anciens Égyptiens croyaient que les principes fondamentaux de la vie, de la nature et de la société furent déterminés par les dieux lors de la création du monde.
La détention d'esclaves proviendrait de captifs de guerre que le pharaon aurait donnés comme butins ou récompenses aux soldats et généraux vainqueurs ou à d'autres personnages importants. Pour d'autres, les premières ventes d'esclaves stricto-sensu, quant à elles, auraient émergé au cours de la XXVe dynastie.
L'ultime représentant de l'institution pharaonique proprement dite est le dernier Lagide, Ptolémée XV (dit Césarion), fils de Jules César et de Cléopâtre.
À l'origine de ce long nez, la célèbre formule du philosophe Pascal (XVIIe siècle) qui, à une époque où les nez courts passaient pour laids, fit du nez de Cléopâtre, tout en finesse, le signe de sa beauté.
Le rituel funéraire de l'enterrement des cadavres est une pratique aussi vieille que l'humanité, et a pris rang d'une sorte de réflexe. Il permet de protéger le cadavre des dents des carnivores, des insectes nécrophages et du bec de certains oiseaux, et de limiter la propagation des maladies ou germes pathogènes.
La toilette mortuaire consiste à laver le corps, maintenir la bouche et les yeux fermés, coiffer et habiller le défunt avec les vêtements choisi par ses proches. Elle est effectuée par le personnel de la chambre mortuaire si le corps séjourne à l'hôpital, ou par le personnel des pompes funèbres.
suturation et nettoyage des orifices et plaies (souvent sources de prolifération bactériennes, risques d'écoulement imprévu) nettoie le corps du défunt. Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés.
Lors de l'étape finale, les préparateurs funèbres ajustent la peau (sans doute conservée dans de l'eau de mer) sur le tout, refixent les cheveux sur le crâne et peignent le corps avec une pâte noire à base de manganèse (d'où leur nom de momies noires) ou d'ocre rouge (d'où leur nom de momies rouges).
Parce que les chats sont très utiles ! Les Égyptiens l'ont vite compris. En éloignant les rongeurs des récoltes, les petits félins préviennent les famines. Et en chassant les scorpions, les serpents et surtout les rats des foyers, ils contribuent à lutter contre la peste.
Ce qui signifie que les habits normaux sont les bienvenus dans les lieux : pantalon, chemise, et plus spécialement un châle pour les femmes. Ensuite, le plus important lors d'une visite dans une mosquée en Egypte, c'est le choix des chaussures.