Au Moyen Âge, l'usage de la brosse à dent se perd et les gens se contentent de se rincer la bouche avec de l'eau, une soupe de vin ou se frottent les dents avec un linge.
À l'époque, les Hommes utilisaient pour se nettoyer les dents, des bâtons dont l'extrémité étaient effilochés en fibre, des végétaux à mastiquer ou même des cure-dents parfois fabriqués avec des épines de porcs-épics !
En effet, l'ancêtre du dentifrice a été inventé en Égypte, pendant la période de l'Antiquité. Il s'agissait d'un mélange de sel, de menthe, de poivre et de fleurs séchées broyées. Les Égyptiens mélangeaient cette poudre avec un peu d'eau pour former une sorte de pâte et frottaient leurs dents à l'aide d'un roseau.
Au Moyen-Âge, les femmes portaient les cheveux très longs. Pour les nettoyer, elles utilisaient des onguents à base de graisses animales et des infusions de plantes. Le blond étant alors très à la mode, elles fabriquaient une lotion formulée à partir de noix, d'alun et de pomme de chêne pour décolorer leur chevelure.
C'est au siècle des Lumières qu'apparaît la première brosse à dents moderne, telle que nous la connaissons aujourd'hui. Un obscur papetier- relieur anglais, William Addis, né en 1734 à Clerkenwell dans le district de Londres, conçoit une brosse à dents pour son usage personnel.
Depuis déjà de longues années, le docteur Washington Sheffield vendait à ses patients du dentifrice en pot, qu'il fabriquait lui-même. C'était une pâte épaisse, parfumée à la menthe…
Son bout coloré sert à bien doser le dentifrice pour que la quantité soit adaptée et limite les risques qu'un surplus de produit vienne gêner votre brossage.
Durant les XVIe et XVIIe siècles, l'eau héritait de la vision négative transmise depuis le Moyen Âge selon laquelle elle contribuait à propager le fléau qui s'était abattu sur toute l'Europe : la peste.
La démocratisation du bain sous Louis XV et Louis XVI
Le monarque dispose d'une baignoire pour se laver et d'une autre pour se rincer, ainsi que d'une arrivée d'eau froide et d'une arrivée d'eau chaude, grâce aux cuves et des foyers installés au-dessus de la pièce.
Au Moyen Âge, on se lave fréquemment, pour être propre, mais surtout par plaisir. En effet, se laver, se baigner est une réelle habitude dans les villes médiévales car l'eau est considérée comme bienfaisante et purificatrice.
D'abord formulée en 1879 par le Dr Joseph Lawrence et Jordan Wheat Lambert à Saint-Louis en tant qu'antiseptique chirurgical, la Listerine est introduite dans la dentisterie en 1895 et devient dès 1914 le premier bain de bouche vendu au-delà des frontières américaines.
ceux qui contiennent plus d'agents abrasifs qu'un dentifrice ordinaire (souvent du bicarbonate de sodium) les dentifrices qui renferment un agent blanchissant, soit du peroxyde d'hydrogène. et finalement, ceux qui ont comme ingrédient du dioxyde de titane (ou anhydride titanique).
Comme celle qui dit qu'à l'époque de Louis XIV on ne se lavait pas. Et que le roi Soleil lui-même n'aurait pris qu'un seul bain de toute son existence, pourtant longue de 76 années.
Au cours du XIIe siècle, la baignoire, ronde, est en bois, fabriquée par le tonnelier, et revêtue d'un drap qui protège des échardes. Elle est parfois enfermée derrière des étoffes de lin destinées à contenir la chaleur, pour un bain de vapeur.
Il suffit d'une lavette trempée dans une cuvette pleine d'eau et passée rapidement sur tout le corps ». Le terme « rapidement » est là très important : on ne doit pas se laver n'importe comment, morale oblige !
1 - Australie
Les Australiens sont les champions de la propreté, ils se lavent au moins deux fois par jour.
Une rumeur raconte que les français sentent mauvais et ne se lavent que très peu. Cette légende internationale date du XVIème siècle, époque à laquelle les Parisiens se défaussaient de leurs déchets par les fenêtres, ne prévenant que très peu les passants.
L'hygiène corporelle dans l'Égypte antique
Les égyptiens portaient une très grande importance à l'hygiène. Ils se lavaient plusieurs fois par jour, les pauvres dans le Nil, les plus riches eux avaient dans leur habitation une baignoire. Chaque jour, ils se lavaient en se levant le matin et après chaque repas.
Sans cloison entre vous et les autres personnes. Donc, on s'assoyait sur un trou, et on s'essuyait les fesses en passant le tersorium par un autre trou, entre les jambes, jusqu'à ce qu'elles semblent « propres ». Les peuples pauvres partageaient un même tersorium – un bâton éponge pour une latrine commune.
Comme toute l'aristocratie de l'époque, il se lavait en se frottant régulièrement le corps avec des serviettes humides et imprégnées d'alcool, tout en changeant de chemise après chaque grosse transpiration.
Au Moyen Âge, comme avant au cours de l'Antiquité gréco-romaine et égyptienne, l'essuyage des fesses à l'aide d'un tissu dédié (et non un morceau de vêtement) est l'apanage des élites. Balle de laine, filaments de chanvre ou de lin (…) mais aussi dentelle, à chacun sa fibre.
Attention aux fausses informations !
Carré rouge : dentifrice qui contient des ingrédients naturels et chimiques. Carré bleu : dentifrice qui contient des ingrédients naturels et médicinaux. Carré vert : dentifrice qui ne contient que des ingrédients naturels.
Dentifrice : du solide élastique au fluide
Dans ce cas, le dentifrice rayé est introduit dans le tube à l'aide de buses. Grâce à leurs propriétés viscoélastiques, les deux couleurs sont en contact mais ne se mélangent pas. Dans le tube, le dentifrice se comporte comme un solide élastique.
Le dentifrice améliore l'effet nettoyant de la brosse à dent. Il existe plusieurs types de dentifrices, mais la plupart d'entre eux combinent le fluor, qui renforce l'émail et prévient les caries, avec d'autres ingrédients qui préviennent la plaque dentaire, le tartre et les problèmes gingivaux.