Les symptômes les plus fréquents sont : Modifications dans les perceptions : hallucinations auditives et visuelles ; Modifications dans la pensée et les croyances : délire, propos incohérents ; Modifications du comportement : désorganisation, bizarrerie.
aux « symptômes négatifs » (appauvrissement marqué de l'expression orale, émoussement affectif, incapacité à éprouver de l'intérêt ou du plaisir et retrait social) ; et/ou. agitation extrême ou ralentissement psychomoteur, adoption de postures inhabituelles.
La schizophrénie est une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables : les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations, mais les plus invalidants sont le retrait social et les difficultés cognitives.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Quels que soient les symptômes exprimés, les schizophrènes ont beaucoup de mal à effectuer les tâches de la vie quotidienne. Leur pensée n'est pas claire, leurs rapports avec les autres deviennent difficiles, ils ont des difficultés à contrôler leurs émotions et à prendre des décisions.
La schizophrénie est une maladie au même titre qu'un diabète, une maladie chronique au long cours. Cette maladie nécessite pour la plupart des patients un traitement au long cours. On peut ensuite rentrer en rémission, donc on ne parle pas de guérison.
Il existe aujourd'hui trois critères dont l'association permet de définir une schizophrénie. La distorsion de la réalité, caractérisée par des pensées délirantes et hallucinations, une atteinte affective et enfin une désorganisation de la pensée.
Reconnaître les signes d'un déséquilibre
Devenir soudainement plus irritable, impatient, sensible pour un rien, éprouver de la difficulté à se concentrer, à réfléchir ou à prendre des décisions sont des manifestations courantes de stress.
Le «dépressif» est plutôt vu comme une personne qui s'isole, le «malade mental» comme un individu déficient, au comportement ou au discours bizarre, tandis que le «fou» serait plutôt caractérisé par la violence. Ces images ne sont guère influencées par la connaissance concrète de la maladie mentale.
Les symptômes psychotiques sont liés à un déséquilibre de la dopamine dans le cerveau. Il n'y a pas de cause unique. C'est l'association d'une vulnérabilité depuis la naissance à des facteurs de stress au cours de la vie qui peut aboutir à des symptômes psychotiques.
Dans la bipolarité, le trait le plus caractéristique est le cycle entre les phases de manie et de dépression. Ces épisodes peuvent être entrecoupés de périodes de normalité. Alors que dans la schizophrénie, les symptômes psychotiques, comme les hallucinations et les délires, sont dominants et constants.
Même si les crimes commis par des schizophrènes sont souvent très violents et défrayent la chronique, le risque demeure faible ; il est néanmoins un peu augmenté par rapport à la population générale. Le taux d'homicide chez ces patients est de 0.5 % (contre 0.03 %dans l'ensemble de la population).
Pour l'occasion, la couleur mauve est de mise, car elle rappelle l'iris, le symbole de la schizophrénie.
Les antipsychotiques de seconde génération sont recommandés en première intention car ils disposent d'une meilleure tolérance que celle des antipsychotiques de première génération. La monothérapie antipsychotique doit être privilégiée. Un abord multidimensionnel des patients souffrant de schizophrénie est nécessaire.
Folies à étiologie connue : traumatique avec blessure matérielle, traumatique psychique. Après un traumatisme crânien grave, avec lésions du cerveau, il n'est pas rare qu'apparaissent des changements de caractère, des incapacités professionnelles, éventuellement associés à divers syndromes neurologiques.
Personne dont le comportement ou le langage est extravagant, déraisonnable, insensé : Fou du volant.
Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances. Cognitifs : difficultés importantes à se concentrer, à raisonner normalement, troubles de la mémoire.
Les symptômes du trouble oppositionnel avec provocation comprennent la colère ou l'irritabilité, la tendance à argumenter ou à défier et la malveillance. Les symptômes du trouble des conduites comportent l'attaque d'êtres humains et d'animaux, le vandalisme, le mensonge et le viol intentionnel du règlement.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
L'imagerie cérébrale montre également que chez les patients atteints de schizophrénie, il y a une diminution de volume du cervelet, petite zone du cerveau qui a un rôle important dans tout ce qui est capacité cognitive et cognition sociale, d'interaction avec les autres.
ses émotions se modifient : par exemple, elle paraît indifférente aux personnes de son entourage, détachée ou coupée du monde. Elle éclate de rire ou se fâche sans raison; elle a des idées délirantes, c'est-à-dire des idées étranges ou fausses, des préoccupations ou des croyances bizarres.