Le mariage en Inde est financé par les parents des futurs mariés. Parfois, il est assumé en grande partie par les parents de la mariée. En effet, il est possible que cela soit inclue dans la dot, selon la négociation effectuée entre les familles.
Aussi appelé « Saptapadi », ce rituel consiste à unir les mariés qui, se tenant la main, tourneront sept fois autour d'un feu sacré tandis que le pandit récite à voix haute différents mantras religieux. Chaque tour représente une promesse et symbolise l'une des 7 vies que les mariés passeront ensemble.
La fête a commencé la veille au soir et comme ce mariage a lieu dans la caste des guerriers (elle suit, par ordre d'importance, celle des brahmanes, la plus prestigieuse dans l'ordre symbolique indien) qui autorise la consommation de viande mais aussi d'alcool, quelques participants sont un peu éméchés.
La dot est une pratique encore largement répandue en Inde. Cette tradition hindouiste consistait à l'origine à sceller un mariage par l'attribution par la famille de la mariée de bijoux, d'argent, d'or ou d'un terrain à la famille du futur époux.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
Dans les sociétés de l'Ancien Régime, la dot était indispensable pour avoir accès au marché matrimonial, dans toutes les couches sociales ; dans ce but, de nombreuses institutions publiques ou privées, laïques ou religieuses, prenaient en charge le paiement d'une dot.
Qui paie quoi - la famille du marié.
C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église. La famille de l'époux paie également le voyage de noces.
En bois richement sculpté ou en osier tressé, le trône est un élément incontournable du mariage indien. Ajoutez des coussins et des lanternes pour un espace intime et feutré.
Sari signifie vêtement de femme
JC et il semble qu'il était déjà porté par les femmes de la civilisation de la vallée de l'Indus. Cette longue étoffe s'est adaptée aux époques, aux modes, aux castes, métiers et régions, s'enroulant autour des corps féminins de maintes façons.
La notion de famille, en Inde, s'entend au sens large: frères, sœurs, parents et grands-parents, mais aussi beaux-frères et belles-sœurs et leurs propres parents, frères et sœurs, etc. Le mariage est le moyen de perpétuer cette structure clanique.
Le tilak, tika, ou pottu est une marque portée sur le front par des hindous. C'est une marque censée porter bonheur, apposée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bienvenue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe religieux.
Cette cérémonie a souvent lieu sept jours avant le mariage mais elle se pratique parfois la veille de celui-ci. Le henné symbolise l'alliance mais aussi la bénédiction ou baraka de l'union (chance, fécondité). Au cours de cette cérémonie, on dessine au henné sur les mains et les pieds de la future mariée.
Après la cérémonie religieuse, une fête est organisée généralement sur plusieurs jours, parfois jusqu'à une semaine, selon le désir des familles. Dans les pays musulmans, ces festivités ont souvent lieu le jeudi et vendredi.
On explique Haldi
Dans le cadre de la célébration du mariage hindou, la cérémonie haldi est censée éliminer le mal et est un moyen d'offrir des bénédictions au couple. Une pâte faite d'épices est appliquée sur les corps de la mariée et du marié dans leurs maisons séparées comme rite de purification.
Les cadeaux
Lorsqu'on est invité par des amis, il est préférable d'apporter un petit présent, tel qu'une boîte de chocolats ou des fleurs. Si votre hôte a des enfants, un petit cadeau comme un livre ou un jouet est un bon geste. Côté fleurs, les bonnes manières indiennes sont un peu complexes.
En effet, la première fois peut faire un peu mal mais ce n'est pas toujours le cas. Cela dépend de nombreux critères, parmi lesquels la taille de l'hymen. Mais si tout est fait en douceur et avec beaucoup d'écoute entre les deux amoureux, il n'y a pas de raison d'avoir très mal.
La nuit de noces est la première nuit qu'un couple passe ensemble après le mariage. Elle est parfois suivie de la lune de miel.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée. Mais les temps ont changé.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.
Fonction. La dot traditionnelle incombait intégralement à la famille de la mariée et avait pour vocation de constituer une « mise de départ » pour le patrimoine du couple. Elle visait à aider le couple à démarrer sa vie commune.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.