Fractionner l'alimentation : faire 5 à 6 repas de préférence d'égale importance (3 petits repas et 2 à 3 belles collations). Eviter de boire pendant les repas mais plusieurs fois (6 à 8 prises) dans la journée à chaque fois la valeur d'un demi-verre d'eau. Eviter les aliments trop salés, trop sucrés et trop épicés.
Dans le cas où tout l'estomac doit être enlevé chirurgicalement, une anastomose (suture) est réalisée entre l'œsophage et l'intestin grêle, et la nourriture passe directement de l'œsophage dans l'intestin grêle (au niveau du jéjunum).
Après une ablation totale de l'estomac, il est impératif pour le patient d'adapter son alimentation. Cela passe, entre autres, par l'adoption d'une hygiène de vie irréprochable et par l'adaptation de certaines habitudes alimentaires.
Essayez de consommer de petits repas ou des collations environ 6 fois par jour. Cela s'avère habituellement plus facile que de prendre 2 ou 3 gros repas par jour. Évitez de boire des liquides pendant vos repas, en particulier des boissons gazeuses. Ces liquides peuvent rapidement remplir l'estomac.
Et bien, la nature est bien faite puisque l'estomac est régénéré tous les quatre à cinq jours pour éviter qu'il ne se fasse attaquer par ces acides puissants.
Le taux de survie du cancer de l'estomac est aujourd'hui très faible puisqu'il n'est en moyenne que de 23 % à 5 ans chez les hommes (32 % pour ceux âgés de 55 ans et 17 % pour ceux âgés de 80 ans) et de 28 % chez les femmes (47 et 25 % en fonction de l'âge).
On peut très bien vivre sans estomac mais à condition de modifier son alimentation pendant plusieurs mois. En effet, l'estomac est un réservoir dans lequel les aliments sont brassés. Quand on l'enlève, les aliments passent trop vite dans l'intestin. C'est ce que les chirurgiens appellent le "dumping syndrome ".
La maladie et les traitements augmentent les besoins en protéines et en énergie. Cependant, s'alimenter correctement peut s'avérer difficile, c'est pourquoi il est fréquent que l'alimentation ne suffise plus à couvrir les besoins, ce qui entraîne une perte de poids involontaire.
Dans le cas du cancer de l'estomac, on considère que le suivi minimal est de 5 ans (1). Si aucune récidive n'est survenue dans les 3 ans qui suivent le diagnostic, le patient a alors plus de 90 % de chances d'être guéri (2).
Ce sont la bouche, le pharynx (gorge), l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle et le gros intestin.
Cette opération est pratiquée chez les patients souffrant généralement d'un cancer de l'estomac, d'une perforation de la paroi stomacale, d'un ulcère compliqué ou encore d'hémorragie digestive (méléna ou hématémèse). En cas de rétrécissement du duodénum, la gastrectomie peut également être indiquée.
Ces lésions peuvent être causées par l'âge (facteur de risque commun à tous les cancers) mais aussi par des facteurs environnementaux (nourriture, bactérie Helicobacter pylori…), des facteurs comportementaux (tabac, consommation de sel), des prédispositions génétiques ou encore des antécédents médicaux ou familiaux.
Agents chimiothérapeutiques administrés pour le cancer de l'estomac. Les agents chimiothérapeutiques les plus souvent employés, seuls ou en association, pour traiter le cancer de l'estomac sont les suivants : fluorouracil (aussi appelé 5-fluorouracil ou 5-FU); capécitabine (Xeloda);
Les produits laitiers
Contrairement aux idées reçues, certains produits laitiers n'empêchent pas une bonne digestion et permettent alors d'éviter les brûlures d'estomac. Les yaourts et les fromages à pâte cuite (gruyère, emmental, cantal, …) sont généralement bien tolérés.
Le chocolat
Cependant, cette petite gourmandise peut parfois coûter à notre estomac et à notre oesophage. Les méthylxanthines contenues dans le chocolat vont affaiblir la tension au repos du sphincter oesophagien. Ces dernières causent donc les reflux gastriques.
Les métastases osseuses sont la principale cause de douleur chez les personnes atteintes d'un cancer, avec une plus forte intensité durant la nuit.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Ils ont alors découvert que la perte de poids involontaire était liée à 10 types de cancer : le cancer de la prostate, colorectal, du poumon, œsophagien, pancréatique, de l'ovaire, de l'appareil rénal et biliaire, mais aussi en cas de lymphome non hodgkinien ou encore de myélome.
L'estomac sécrète une protéine appelée facteur intrinsèque qui sert à absorber la vitamine B12. La carence en Vitamine B12 entraîne une anémie qui sera corrigée par l'injection intramusculaire de vitamine B12 tous les 6 mois.
Cette technique est utilisée lorsque la tumeur est située dans les deux tiers supérieurs de l'estomac (tumeur proximale) ou lorsqu'elle est située au niveau de la jonction oesogastrique sans toucher l'œsophage. Le chirurgien retire la totalité de l'estomac, une partie de l'œsophage et du duodénum.