Pour faire la dote en pays bété(Daloa) il faut se présenter le jour j avec une délégation coté paternel (des oncles) qui viennent avec les présents(kita pour le père,pagne pour la mère,gin pour la bénédiction un billet de 1OOOO F ou plus et un foulard ) demandé par la famille de la fille et il y a un buffet a offrir ...
En fait, dans la majorité des coutumes ivoiriennes, la dot est perçue comme le mariage lui-même, le mariage civil étant dans ces circonstances une formalité qu'il est libre aux personnes coutumièrement mariées d'accomplir.
Elles sont reparties comme suit : une bouteille pour la famille maternelle de la fiancée, une autre pour sa famille paternelle, la troisième pour la communauté des ressortissants du village (dans ce cas, la cérémonie a lieu en ville). La dernière bouteille est consommée sur place et sert de témoin pour les fiançailles.
Établis en Côte-d'Ivoire et appartenant au groupe des Krou, les Bété représentent, dans les années 1990, 18 p. 100 de la population ivoirienne, soit 2 millions de personnes environ.
Krou (peuple) — Wikipédia.
Est prohibé le mariage entre : 1°) en ligne directe, les ascendants (père, mère, grand-pères, grand- mères, arrières-grands-pères et arrières-grands-mères etc.)
Il n'y a pas de mariage forcé chez les Baoulé et Agni. Les différentes étapes du mariage traditionnel : Le « Kôkô » ou les fiancailles : Chez les deux peuples, le « Kôkô » est l'étape qui fait office de fiançailles. C'est ici que l'homme se présente officiellement aux parents de sa future femme.
la dot de mariage, apportée par la famille de l'épouse à celle-ci ou au ménage (pratique qui avait cours dans la bourgeoisie) ; le prix de la fiancée apporté par le mari ou sa famille à la famille de son épouse ; le douaire apporté par le mari à son épouse.
La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
En Côte d'Ivoire, les femmes ne jurent que par la dot. Certaines considèrent qu'elle est beaucoup plus importante que le mariage civil ou religieux par exemple. Et pourtant, cette pratique est juridiquement interdite sur l'ensemble du territoire ivoirien et sanctionnée de forte amende.
Pour obtenir le droit de vivre avec la femme, il fallait encore remettre un ou deux bœufs ou, à défaut, du petit bétail. On pouvait encore faire quelques cadeaux à l'occasion de la naissance du premier enfant (par exemple cinq dāgo, un cabri, un sofrolo, un kamatiè), mais ceci n'était pas partout la coutume.
Elle est indisocciable du mariage coutumier ou traditionnel. La dot consiste pour la famille du fiancé à offrir à la famille de la fiancée, lors d'une cérémonie solennelle, un ensemble d'objets et de cadeaux, en espèces ou en nature, et d'accomplir certains rituels afin d'unir les futurs époux.
En Côte d'Ivoire, l'âge légal du mariage pour les hommes est de 21 ans et celui de 18 ans pour la femme. Mais avec une autorisation parentale, en dessous de l'âge légal fixé, la jeune fille ou le jeune homme peut se marier.
« La femme mariée n'a d'autre domicile que celui de son mari »4. 4 Article 108 du Code civil.
Le jour du mariage religieux
Le samedi, ils ne peuvent être célébrés qu'après le coucher du soleil. Outre ces interdits, les mariages sont préférentiellement célébrés les mardi et jeudi dans certaines communautés traditionnelles.
Le mariage consanguin est un mariage entre deux personnes présentant un degré élevé de consanguinité.
Belle-soeur Epouse du frère ou du beau-frère. Soeur du conjoint. Bisaïeul(e) Père, mère des aïeuls.
L'Indonésie et l'Arabie Saoudite remportent la palme des pays les plus “paresseux” du monde avec seulement 3 500 pas effectués par jour.
Agni est décrit dans les Écritures comme de couleur rougeâtre et ayant deux visages – un bienfaisant et un malin. Il a trois langues, des cheveux qui se dressent comme des flammes, trois jambes et sept bras.
Autrefois donc, les Gouro, outre leurs activités de chasseurs-cueilleurs, cultivaient le riz pluvial et l'igname, exploitaient le palmier et la cola qu'ils échangeaient contre de l'or, des barres de fer ou du sel.
Les Wê(guéré et wobé) et sénoufo/Gouro. Les yacouba et les peulh.