La mère fait coucher les jumeaux et traverse par dessus l'un après l'autre neuf fois, avant que le pater les porte. Après, tout le monde peut entrer saluer les enfants. Chez les bassa, le nom jumeau s'écrit « Mahas », qui veut aussi dire de manière littérale « né ensemble ».
« Le laver – mains » comme nous l'avons souligné en aval, est un rituel Mystique et traditionnel qui consiste à rompre de manière définitive les liens entre un mort et les membres de sa famille. Ceci se passe quatre jours (Pour la femme) et cinq jours (Pour l'homme) après le trépas de ceux-ci.
Fonction et processus de désignation des chefs traditionnels
On distingue chez les Bassa-Mpoo (Bassas et Elog Mpoo), deux types de dirigeants, les chefs traditionnels et les patriarches.
On exécute cette danse avec l'arbre de paix, les jumeaux ont en main des jujubes (sorte de fruits rouges sucrés) qui a pour but de les apaiser. Cette cérémonie des jumeaux « Nsi » chez les Bamiléké se perpétue de génération en génération jusqu'à nos jours.
Comment Appelle-t-on une femme qui a mit au monde des jumeaux ? Qui porte des jumeaux. Femelle, femme gémellipare.
En cas de jumeaux mixtes, le garçon est nommé gô-come et la fille marumaï. Enfin tout enfant, garçon ou fille, venant après des jumeaux est appelé H gelé et est considéré comme un jumeau mort qui revient.
Le bassa est une langue bantoue en voici quelques mots : Ngonda = Mademoiselle Iloga = Jeune homme Mè yéga = Merci (on utilise couramment cette expression pour dire aussi bonjour à n'importe quel moment de la journée ) kel lam = bonjour kokoa lam= bonsoir nan ii lam= bonne nuit I nkè laa?
Ba kal lela j'ai faim!!
— Yéhôva Djob nu.
En général, le mariage traditionnel africain comprend 3 importantes phases qu'on résume le plus souvent par le mot « dot », que certaines législations africaines reconnaissent. Ainsi on aura : La rencontre et la présentation des deux familles, la remise officielle des cadeaux, et le rite d'union proprement dit.
La dot est une affaire des familles
La dot constitue un ensemble des biens et/ou d'argent que le futur époux et sa famille remettent aux parents de sa fiancée pour qu'ils consentent au mariage. La dot doit être conforme à la coutume de la famille de la future épouse.
Une dot désigne dans le langage courant l'apport de biens par une des familles, ou par le fiancé, au patrimoine de l'autre, ou du nouveau ménage ; elle accompagne le mariage dans de nombreuses cultures. Il peut s'agir de biens dont la femme ou le mari sont dotés par leurs familles, mais aussi d'un don entre époux.
je t'aime en bassa. En bassa je t'aime signifie : mé ngwës wê (nous avons trouvé des traductions 1).
Les festivités s'étendent sur trois semaines.la journée qui marque la fin des activités est couronnée par la course des pirogues et l'immersion du vase sacrée par un véritable initié, qui après une longue apnée rapporte le vase qui généralement contient le message des ancêtres.
Le bassa est une langue bantoue (de la moitié sud du continent africain) parlée par plus de 2 millions de personnes, principalement au Cameroun.
Bés bobasôna di gwé ngôñ ni nwéhél inyu pil wés nkeñi!
Joyeux-anniversaire se dit Ngand li gwé li lam!!!! :) :) :) | Facebook.
En bassa merci signifie : mé ñyega (nous avons trouvé des traductions 1).
En bassa Maison ; famille signifie : Mbai (nous avons trouvé des traductions 1).
↔ Ni nwaa wem i likalô .
Minot dans le sud de la France, gamins, Titi à Paris, gone à Lyon, chiare, gosse etc. Et ne pas oublier manguè en Bassa !
C'est une croyance ancienne qui consiste à penser que le bébé qui était le plus au fond de l'utérus était « le premier installé », et par conséquent, que le jumeau qui naissait en second était l'aîné.
La transmission génétique se ferait par la mère et de manière récessive. Le phénomène de poly-ovulation peut aussi être lié à d'autres facteurs. L'âge de la mère en est un. Après 35 ans, la femme peut avoir plusieurs ovulations sur certains cycles.
Deux individus ne peuvent pas avoir les mêmes empreintes digitales, pas même les vrais jumeaux. De plus, ces empreintes ne changent pas, même avec le temps, à moins que la couche profonde, ou « basale », de la peau ne soit détruite ou volontairement modifiée par chirurgie plastique.