Les symptômes de la ménopause sont notamment l'absence de menstruations mensuelles, une sécheresse vaginale, des bouffées de chaleur et des sautes d'humeur. En raison de la baisse du taux des œstrogènes, les femmes ménopausées ont un facteur de risque accru d'ostéoporose et de maladies cardiaques.
Le diagnostic de la ménopause est très simple : vous n'avez plus été réglée depuis plus d'un an. Dans votre corps, vos ovaires ont libéré leurs derniers ovules et ne sécrètent plus d'hormones féminines. Ce diagnostic doit évidemment être confirmé par votre gynécologue qui fera avec vous les examens nécessaires.
Certaines femmes ressentent des douleurs articulaires à la ménopause ou la préménopause. Genoux, mains, pieds, épaule ou nuque, il s'agit malheureusement de l'un des symptômes les plus courants de la ménopause et l'on compte au moins 50% de femmes concernées en période de la ménopause.
Les règles à la pré-ménopause. Lors de la phase qui précède la ménopause, le cycle menstruel est souvent perturbé. Les règles deviennent de plus en plus irrégulières avant de disparaître complètement. Chez certaines femmes, c'est toute l'horloge biologique qui se détraque.
La ménopause n'arrive pas brutalement. Elle est précédée d'une période plus ou moins longue appelée...
Cette période de transition est reconnaissable par de nouveaux symptômes, comme une accentuation du syndrome prémenstruel : ventre gonflé, douleurs, irritabilité, déprime… mais également par des règles et ovulations irrégulières, des bouffées de chaleur ou des suées nocturnes.
Contrairement à la ménopause, pendant la préménopause ou le climatère, bien que la probabilité soit très faible, il est possible de tomber enceinte.
Durant la périménopause, les perturbations du cycle menstruel : règles plus longues ou abondantes, ou encore des règles irrégulières, engendrent forcément une fatigue intense, appelée asthénie, avec parfois une carence en fer ou anémie.
Pendant la ménopause, il n'est pas rare de voir son ventre gonfler et de se sentir ballonnée. Et ça n'a clairement rien de réjouissant. La ménopause possède son lot de contrariétés, et notamment le ventre gonflé et les ballonnements.
l'âge : la pré-ménopause survient plutôt entre 40 et 45 ans alors que la ménopause s'installera en général à partir de 50 ans.
La périménopause peut durer de quelques mois à 8 ans. En moyenne, elle dure environ 4-5 ans (3-6). Au cours de la périménopause, les taux d'hormones subissent des fluctuations,avant de diminuer, ce qui provoque de nouveaux symptômes, sensations ou changements.
Une sexualité épanouie peut se poursuivre bien au -delà de l'âge de la ménopause, qui ne sonne nullement l'heure de la retraite sexuelle. La très grande majorité des femmes continue d'avoir après la ménopause une activité sexuelle satisfaisante.
Selon le Professeur John Studd, un gynécologue de la Clinique PMS à Londres, la ménopause agît aussi bien sur le physique des femmes que sur leur mental. Dans certains rares cas, elle peut même être synonyme des troubles mentaux, d'hystérie et d'hallucinations.
À noter que les cycles ne cessent pas du jour au lendemain : la ménopause est précédée d'une période de « périménopause » avec des règles de plus en plus espacées et des carences en œstrogènes, susceptibles de générer d'autres symptômes.
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Si l'âge moyen de la ménopause est de 51 ans, certaines femmes peuvent voir apparaître les premiers symptômes dès la quarantaine. Pour apporter une réponse aux interrogations de certaines femmes, des tests sont désormais disponibles en pharmacie.
La plupart du temps, aucune prise de sang n'est nécessaire pour confirmer le diagnostic de ménopause, à moins que votre utérus ait été retiré. La plupart du temps, aucune prise de sang n'est nécessaire pour confirmer le diagnostic de ménopause, à moins que votre utérus ait été retiré.
Un bilan sanguin pour vérifier que vous vous portez bien
La première étape consiste à analyser le niveau d'œstradiol et de FSH (hormone folliculostimulante). Un taux bas d'œstradiol associé à un taux élevé de FSH permet de confirmer une ménopause.
Plus précisément, la diminution de la fonction des ovaires qui se produit à la ménopause cause une diminution de la dépense énergétique associée au métabolisme de base, et ce sans changement à la dépense énergétique par l'activité physique ou à autre (1).