Il s'agit d'une négociation avec le Procureur sur la peine proposée. – soit par convocation dans le cadre d'une COMPOSITION PENALE (procédure simplifiée de condamnation). Il s'agit d'une convocation devant le procureur de la République aux fins de remise de votre proposition de peine.
Vous risquez jusqu'à 10 ans de prison et 150 000 € d'amende si vous êtes responsable d'un accident mortel. Votre véhicule peut être immobilisé. 6 points sont retirés de votre permis de conduire. Vous risquez également les peines complémentaires : Sanction qui peut s'ajouter à une peine principale de prison ou d'amende.
Le conducteur épinglé pour conduite sous stupéfiant a la possibilité de solliciter la non-inscription des charges retenues contre lui dans son casier judiciaire. Le recours à un avocat est alors indiqué pour une lettre d'effacement du casier judiciaire b2.
Les vices de procédure permettant de voir la procédure annulée ou faire l'objet d'une relaxe sont de deux ordres: l'absence de notification du taux de cannabis et l'impossibilité de solliciter une contre-expertise; la mesure d'un taux insuffisant pour permettre des poursuites.
En cas de suspension liée à l'alcool ou aux stupéfiants, ou de suspension supérieure à 1 mois, vous devez passer un contrôle médical pour pouvoir récupérer votre permis de conduire. Ce contrôle inclut un examen psychotechnique.
Si la suspension administrative est de 6 mois et que le juge suspend le permis pour 12 mois, le permis de conduire pourra être récupéré au bout des 12 mois.
Le préfet prononce la suspension dans les délais suivants : dans les 72 heures de rétention du permis, ou dans les 120 heures en cas d'infraction liée à l'emprise d'alcool ou l'usage de stupéfiants et nécessitant des vérifications.
Maître Dufour est un avocat expert du permis de conduire, qui saura vous défendre en cas d'interpellation pour conduite sous stupéfiants. Il contrôlera l'ensemble de la procédure en sachant que : Aucun point ne peut être retiré pendant la procédure.
Le montant de l'amende forfaitaire majorée est de 450 €. Le paiement de l'amende met fin aux poursuites judiciaires. Si l'auteur des faits ne paie pas l'amende, un procès peut avoir lieu devant le tribunal correctionnel. Dans ce cas, l'usager de drogues risque 1 an de prison au maximum et 3 750 € d'amende au maximum.
Refus du dépistage ou de la vérification de l'usage de stupéfiants. Refuser le dépistage ou la vérification de l'usage de stupéfiants est puni de 2 ans de prison et de 4 500 € d'amende. 6 points sont retirés du permis de conduire.
soit récupérer le droit de conduire, étant précisé qu'à défaut de décision de suspension dans le délai de 72 heures prévu par l'alinéa 1 de l'article L224 du Code de la route, le permis de conduire est remis à la disposition de l'intéressé soit faire l'objet d'une suspension de permis de conduire.
Peine : 1ier infraction: Minimum obligatoire amende de 2 000 $ 2e infraction Minimum obligatoire 30 jours d'emprisonnement; maximum 10 ans d'emprisonnement.
La quantité de produits stupéfiants retrouvée sur le contrevenant rentrera en ligne de compte dans la possibilité d'avoir recours à une AFD. Elle ne devra pas dépasser un plafond fixé à 10 grammes pour la cocaïne et 100 grammes pour le cannabis.
Même les condamnations prononcées lorsque vous étiez mineur y figurent. C'est le bulletin le plus complet. Le bulletin n°1 comprend les éléments suivants : Condamnations prononcées par la justice pénale (par exemple, amende, peine de prison ferme ou avec sursis, privation de droits civiques)
Cette amende de 200 € est appliquée à tous les types de drogues, mais elle concerne principalement les usagers de cannabis.
L'article L. 235-8 du code de la route punit le fait de refuser de se soumettre aux vérifications destinées à établir une conduite sous stupéfiants. Il n'est pas interdit de refuser le dépistage. Il est interdit de refuser le prélèvement salivaire qui succède au dépistage.
SE SERVIR D'URINE SYNTHÉTIQUE
La façon la plus infaillibe pour un test d'urine est de ne pas utiliser la vôtre. Cela veut dire obtenir un échantillon d'urine réelle et propre d'une autre personne que vous connaissez ou se servir de fausse urine.
Pour faire valoir un vice de procédure par notification auprès du greffe du tribunal, il est fortement conseillé de faire appel à un avocat. En effet, cela doit se faire de façon encadrée, et la démarche doit être communiquée par écrit au procureur de la République.
Le conducteur devra se soumettre à une nouvelle visite médicale devant la commission médicale départementale pour récupérer son permis conduire. Pour cela, il doit s'adresser à la préfecture de son département pour obtenir un rendez-vous.
1- Les forces de l'ordre retirent physiquement le permis de conduire et remettent à l'automobiliste un avis de rétention. L'automobiliste ne peut plus reprendre le volant. 2- À la suite de cette rétention, sous 72 heures, le Préfet prend la décision de suspendre le permis.
Un accès aux données du SNPC
Mardi 24 mai a été publié un décret officialisant le fait que les assureurs et les employeurs pourront, dorénavant, savoir si vous avez subi un retrait de votre permis de conduire. Ils pourront avoir accès à aux données du SNPC (Système National des Permis de Conduire).
Les forces de l'ordre (police ou gendarmerie) prennent votre permis et vous remettent immédiatement en échange un exemplaire de l'avis de rétention. Si vous ne pouvez pas présenter votre permis, vous avez 24 heures pour le remettre aux forces de l'ordre qui vous ont contrôlé.
224-2 du Code de la route). Conseil pratique : dès cet instant précipitez vous chez votre Avocat expert en droit routier car, bien conseillé, vous pouvez retrouver le droit de conduire, au-delà des 72 heures et EVITER LA SUSPENSION ADMINISTRATIVE DE VOTRE PERMIS DE CONDUIRE.
Une fois sa décision prise, le préfet vous la notifie (par courrier AR ou sur place) : la suspension prend effet à ce moment-là, pour la durée fixée par le préfet – 6 mois à 1 an. Vous conservez votre permis malgré l'infraction constatée.