La CHIP est une technique qui consiste à réaliser une chirurgie de cytoréduction, c'est à dire l'ablation de toutes les superficies péritonéales affectées par la tumeur. Une fois la chirurgie terminée, une dose de chimiothérapie chauffée – 41 ou 42 degrés Celsius- est appliquée à l'intérieur de la cavité abdominale.
La CHIP peut être proposée à des personnes atteintes de carcinoses péritonéales primitives également appelées maladies rares du péritoine comme le pseudomyxome péritonéal, le mésothéliome péritonéal et le carcinome péritonéal primitif.
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Quel pronostic de survie avec un cancer du péritoine ? En l'absence de tout traitement, l'évolution naturelle du cancer du péritoine est inéluctable. Pour le mésothéliome péritonéal, avec un traitement palliatif (chimiothérapie systémique), la survie médiane n'atteint pas 1 à 2 ans.
L'ablation du péritoine (péritonectomie) ou de l'épiploon (omentectomie) en cas de cancer peut éviter des troubles, tels que l'accumulation de liquide dans l'abdomen, mais aussi prolonger la survie.
La méthode de Chimio-Hyperthermie Intra-Péritonéale (CHIP) a ensuite été initiée en France par le Pr François Noël Gilly et est devenue depuis, le traitement de référence pour ces types de cancers. Elle offre désormais des perspectives de rémission, voire de guérison chez certains patients.
Le facteur de risque principal de cancer du péritoine est donc la présence d'un cancer primitif situé dans la cavité abdominale (ovaire, foie, utérus, côlon, estomac) ou un antécédent de cancer pouvant récidiver sous forme de carcinose péritonéale.
La carcinose péritonéale se diagnostique par la présence de nodules sur la superficie de la couche péritonéale. La chimiothérapie PIPAC s'applique sous forme d'aérosol par cœlioscopie et de manière homogène directement sur les cellules cancéreuses de l'abdomen, une zone peu vascularisée.
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
Il peut résulter d'une tumeur donnant comme résultat que le corps produit une plus grande quantité de liquides ou la tumeur peut entraîner une obstruction du passage de liquide à travers le système de lymphe ou d'autres systèmes corporels.
Le traitement standard actuel des CP repose sur la chimiothérapie systémique. Certains cas sélectionnés bénéficient d'approches thérapeutiques multimodales plus agressives comme la chimiothérapie intra-péritonéale post-opératoire immédiate ou la chimio-hyperthermie intra-péritonéale [1, 2].
Le nom, qui s'emploie toujours au pluriel, vient de l'anglais chip, « éclat », « copeau de bois ». En français, selon Larousse 1959 et Robert 1972, chips était un nom masculin pluriel. Les Belges utilisent ce nom au masculin. D'autres lui donnent le féminin comme genre.
La PIPAC peut être proposée à des malades atteints d'une carcinose péritonéale qu'il s'agisse d'une carcinose d'origine colorectale, d'une carcinose gastrique, d'une carcinose ovarienne ou d'une maladie rare comme le pseudomyxome péritonéal ou le mésothéliome péritonéal.
Le péritoine est une membrane séreuse formée de deux feuillets qui recouvre la cavité abdominale et les viscères qu'elle contient.
La voie intrapéritonéale (IP) d'administration d'insuline permet une absorption portale d'environ 90 % de l'insuline. Elle est donc la voie la plus physiologique pour administrer l'insuline.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
Somnolence. En s'approchant de la mort, une personne peut dormir davantage, être somnolente ou être difficile à réveiller. Elle peut tomber endormie même en parlant. Elle peut aussi perdre lentement conscience au cours des jours ou des heures qui précèdent sa mort.
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.
En l'absence de tout traitement, l'évolution naturelle du cancer du péritoine est inéluctable. "Cependant après une chirurgie complète et une chimiothérapie, la médiane de survie peut atteindre plus de 50 mois avec un taux de survie à 5 ans de 20 à 40 % selon les statistiques", indique l'oncologue.
Ce sont les cancers de la peau les plus fréquents. Ils se divisent en carcinome basocellulaire et carcinome spinocellulaire ou épidermoïde. Le carcinome basocellulaire est le plus fréquent des cancers.
La carcinose péritonéale est une forme de dissémination intra-abdominale du cancer d'origine gastro-intestinale, gynécologique ou du péritoine lui-même, et qui est diagnostiquée par la présence de nodules tumoraux sur la surface péritonéale.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Réduire la consommation de sel
Une première étape du traitement consiste à réduire l'apport en sel dans l'alimentation par un régime sans sel. L'ascite empêche l'élimination des sels à travers l'urine, en réduire sa consommation permet d'enlever l'ascite naturellement.