Choisissez le site d'injection approprié. Tenez le stylo injecteur dans le poing ; tenez le pouce à distance du bouton de dose. En tenant le stylo selon un angle de 90 degrés par rapport à la surface de la peau, enfoncez délicatement l'aiguille dans la peau. Soulevez un pli cutané si nécessaire.
Pour mesurer la glycémie, on se pique sur le côté du doigt, ou à la base du pouce avec certains lecteurs, avec une lancette montée sur un auto-piqueur. On met en contact avec la goutte de sang la bandelette du lecteur de glycémie, qui affiche le résultat en quelques secondes.
Le diabète de type 1, maladie auto-immune
Le diabète de type 1 (DT1) est causé par le dysfonctionnement de lymphocytes T (des cellules du système immunitaire) qui se mettent à identifier les cellules ß du pancréas comme des cellules étrangères à l'organisme du patient, et à les éliminer.
Nettoyez le site d'injection à l'aide d'un tampon alcoolisé BD. Fixez une aiguille BD pour stylo-injecteur et retirez les 2 embouts protecteurs. Amorcez le stylo-injecteur. Tournez le bouton de dose jusqu'à ce que vous ayez atteint le nombre d'unités requises et injectez.
Insérez rapidement et fermement l'aiguille dans la peau à un angle de 90 degrés (perpendiculaire à la surface du corps). Une fois que l'aiguille est à l'intérieur, relâchez la peau pincée. Appuyez doucement sur le piston pour injecter le médicament. Retirez ensuite l'aiguille de la peau.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Dans ce type de diabète, la fabrication d'insuline par le pancréas est quasi nulle. L'apparition de ce diabète est le plus souvent rapide. Il se révèle par un amaigrissement malgré un appétit augmenté, accompagné d'une polyurie (urines abondantes) et d'une polydipsie (sensation de soif intense).
Evitez de piquer le pouce et l'index dont on se sert le plus au quotidien. Il vous reste les 3 derniers doigts de chaque main soit 12 localisations !
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Piqûre d'insuline, un geste souvent mal effectué
Les diabétiques traités par insuline doivent effectuer entre une à cinq injections par jour. Sur ces patients, 4 sur 10 affirment ressentir une douleur lors des injections ; Et 8 sur 10 relèvent des traces de saignements ou d'hématomes.
Le traitement par insuline est associé à deux effets secondaires importants et fréquents : l'hypoglycémie et la prise de poids. La prise de poids est en contradiction avec l'effet central de l'insuline qui résulte en une diminution de la prise alimentaire, comme la leptine.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Une pizza affecte le taux de sucre dans le sang d'un patient diabétique de type 1 pendant plus de huit heures, nécessitant un apport lent et régulier d'insuline pour maintenir un taux de sucre optimal , montre une étude américaine. L'équipe du Dr Robert A.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Il semblerait que le fait de presser la zone d'injection avec le pouce ou la main pendant dix secondes avant l'injection soit de nature à «légèrement réduire la douleur».
Dans la littérature, il est admis qu'aucune aspiration ne doit être réalisée avant l'injection du vaccin (5) car la mobilisation (obligatoire) de l'extrémité coupante de l'aiguille augmente la douleur liée au geste, peut entraîner des lésions (hématome) et est inutile en l'absence de gros vaisseaux dans les sites d' ...
La zone que l'on considère généralement comme la plus adaptée pour pratiquer une injection est la partie antérieure de la fesse droite ou de la fesse gauche.